Pollution de l’eau : comment l’industrie textile s’approprie le sujet

On a regardé avec attention la nouvelle vidéo de Actu-Environnement qui est disponible sur Youtube depuis le 28 novembre 2022 et on pense qu’elle pourrait capter l'intérêt de pas mal d'internautes…

Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne Actu-Environnement, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

Pour regarder la vidéo Pollution de l’eau : comment l’industrie textile s’approprie le sujet qui a été postée aujourd’hui par la chaîne Youtube Actu-Environnement, cliquez sur la vidéo juste en haut. Vous pourrez ainsi la découvrir en streaming gratuitement directement sur notre site !

Là vidéo est à peine postée depuis moins d’une heure qu’elle fait actuellement extrêmement parler d’elle sur le web. D’habitude les nouvelles vidéos de la chaîne Youtube Actu-Environnement font bien moins parler. Bientôt en tendances ? C’est en tout cas tout le mal qu’on lui souhaite vu le boulot que fait cette chaine depuis de nombreuses années déjà !

Vous rencontrez des soucis avec ce contenu ? Vous avez repéré une erreur dans la vidéo que vous souhaitez faire remonter au monteur ? Pour parler à un youtuber (c’est comme ça qu’on appelle les créateurs de contenus sur la plateforme Youtube), rendez-vous directement sur sa chaîne, dans la partie “A propos” plus précisément. Si il ne vous répond pas, réessayez sur ses réseaux sociaux : Facebook, Instagram ou Twitter par exemple !

Vous avez maintenant toutes les informations sur la vidéo Pollution de l’eau : comment l’industrie textile s’approprie le sujet, on espère que ça vous convient et que vous y avez trouvé votre intérêt. Dans notre plateforme, vous pourrez trouver d’autres vidéos de Actu-Environnement, jetez y un coup d'œil à l’occasion, c’est pratique et ça peut vous permettre de trouver des contenus que vous n’aviez jusqu'alors jamais vu encore sur le web !

On se retrouve bientôt pour un nouveau contenu sur Allo Trends, et en attendant on se dit Ciao à la prochaine !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Pollution de l’eau : comment l’industrie textile s’approprie le sujet publiée par la chaine Youtube Actu-Environnement :

L’industrie textile consomme beaucoup d’eau et, de surcroît, rejette une eau polluée. En France, les normes sont de plus en plus strictes et les usines doivent investir pour réduire leurs impacts. Exemple avec l’usine TIL, à Villefranche-sur-Saône.

Pour en découvrir davantage : https://www.actu-environnement.com/ae/news/video-pollution-eau-industrie-textile-traitement-surveillance-TIL-Toxmate-40722.php4

Les stations d’épuration des eaux usées (Step) urbaines doivent respecter des normes et un cadre réglementaire de plus en plus stricts avant de rejeter les eaux traitées dans le milieu naturel. C’est aussi le cas pour les sites industriels très consommateurs d’eau, à l’image de l’industrie textile. Les rejets sont très concentrés en azote, car l’industrie de l’impression ou de la teinture utilise de l’urée, un humectant qui maintient le tissu humide plus longtemps pendant la fixation de la couleur.

C’est un enjeu de taille pour l’usine Teintures et impressions de Lyon (TIL), filiale du groupe Deveaux, basée à Villefranche-sur-Saône. Le site rejette 300 000 m3 d’eau par an. Pour suivre une telle cadence et respecter les normes de rejets actuelles, les gestionnaires de la station d’épuration de la commune ont décidé d’augmenter considérablement le tarif de traitement des eaux industrielles que reçoit leur installation de traitement. À tel point que le directeur de l’usine de TIL a décidé de construire sa propre station d’épuration, adaptée aux seuls rejets de son usine : urée, colorants, soude, micropolluants… Regarder le reportage vidéo.

Le coût de l’installation s’est élevé à 3 millions d’euros financés pour moitié par l’agence de l’eau Rhône-Méditerranée, à quoi s’ajoute un budget de 500 000 euros par an pour l’exploitation de la Step, confiée au spécialiste du traitement de l’eau Veolia. Un choix qui n’a rien d’anodin financièrement, même si l’entreprise réalise un chiffre d’affaires qui oscille autour des 20 millions d’euros par an. Selon le directeur, Jean-Michel Bertrand, « ce n’est en rien rentable d’investir dans sa propre station d’épuration. L’idée, c’est davantage de changer de paradigme en gérant le plus possible sa propre pollution ».

Pour aller plus loin que la réglementation et prolonger cette approche de meilleure maîtrise des rejets, un contrôle de la qualité de l’eau rejetée dans la Saône a été mis en place. Un contrôle innovant basé sur l’état de santé de petits organismes aquatiques. Regarder le reportage vidéo. « Sur le plan législatif, ces organismes ne sont pas considérés comme des animaux. Ils sont utilisés pendant un mois avant de retrouver leur liberté dans nos bassins de retraite », explique le directeur de ViewPoint, l’entreprise qui a mis en place ce système, rencontrée sur place à l’occasion de la visite de presse organisée dans le cadre des salons Cycl’eau.