Final Fantasy XIV : le studio s'excuse et offre 7 jours de jeu gratuit

Final Fantasy XIV : le studio s'excuse et offre 7 jours de jeu gratuit

Les équipes nous avaient prévenus : les joueurs en accès anticipé devront faire la queue pour pouvoir essayer la nouvelle extension du MMORPG de Square Enix, Final Fantasy XIV : Endwalker.

Le lancement de la nouvelle extension de Final Fantasy XIV, Endwalker, n'est pas une sinécure pour les équipes. Ce n'est pas le premier jeu à rencontrer des problèmes de serveur lors de sa sortie. Cet automne, c'est le MMORPG New World d'Amazon Games qui en a fait les frais. Contrairement à son concurrent, l'éditeur japonais Square Enix avait tenté d'anticiper le problème en informant la communauté des joueurs à l'avance. Cela n'a toutefois pas empêché les joueurs de se connecter en grand nombre, ce qui a entraîné des problèmes de serveurs surchargés et de joueurs qui ne pouvaient plus se connecter.

Dans un article publié sur le site officiel de Final Fantasy XIV, Naoki Yoshida, le réalisateur et producteur du MMORPG, a pris la parole. Il a expliqué que les serveurs avaient atteint leurs limites, ce qui rendait la connexion des joueurs extrêmement difficile. Bien que l'extension Endwalker ne soit officiellement lancée que demain, les personnes ayant précommandé le jeu y ont accès en avant-première depuis quelques jours. Yoshida explique notamment que cette ruée vers le jeu a non seulement conduit à des régions totalement saturées, mais aussi à des files d'attente dont la progression est particulièrement ralentie.

Face à cette situation exceptionnelle, les équipes de Square Enix ont décidé d'offrir 7 jours de temps de jeu à tous les joueurs, y compris ceux qui sont encore dans la phase gratuite de 30 jours. Yoshida a également expliqué qu'en fonction de l'évolution des événements, il n'était pas exclu d'offrir à nouveau du temps de jeu aux joueurs afin d'éviter une trop grande déception et une migration vers d'autres MMORPG concurrents comme World of Warcraft ou le tristement célèbre New World (auquel nous ne croyons que partiellement).