Beaucoup d’entre-vous nous suivent depuis bien longtemps sur Allo Trends, et vous savez déjà que nous partageons très régulièrement les nouveaux contenus vidéos de la chaîne Youtube France Inter dont notre communauté est extrêmement friande. Parfois on hésite à écrire un article car on ne sait pas s' il vous plaira, mais aujourd'hui nous savons que cette vidéo vous intéressera.
Aujourd'hui, 27 juillet 2023, la chaîne Youtube France Inter a publié un nouveau contenu qui porte comme titre Jean-Philippe Tanguy : "Il n'y a pas de raison de choisir entre la police et la justice". Si vous souhaitez regarder cette vidéo en streaming, vous êtes tombé au bon endroit !
Très bons retours pour le moment pour la dernière vidéo de la chaîne Youtube France Inter, même si c’est souvent le cas sur les commentaires qu’on retrouve sur cette chaîne que les internautes adorent depuis bien longtemps déjà. Si les retours continuent à être aussi positifs, l'algorithme de Google pourrait décider de la proposer à de nombreux internautes.
Parfois lorsqu’on regarde une vidéo sur internet, on peut avoir des retours à faire au créateur de contenu. Pour lui parler d’un souci ou bien d’une erreur que l’on a découverte par exemple. Cependant, rien ne vous garantit qu’il vous répondra. Mais qui ne tente rien n’a rien ! Pour entrer en contact direct avec un vidéaste, essayez de trouver ses réseaux sociaux et envoyez lui un message public ou privé. Vous pouvez aussi trouver le mail d’un Youtuber sur sa chaîne Youtube en cliquant sur “A propos”. Vous obtiendrez ainsi sa précieuse adresse email.
Nous espérons que vous avez apprécié cet article, et que la vidéo Jean-Philippe Tanguy : "Il n'y a pas de raison de choisir entre la police et la justice" a répondu à toutes vos attentes. Lorsqu'on écrit un article et qu’on voit qu’il fait des vues car il plaît à notre communauté, on a qu’une hâte, c’est de réussir à vous convaincre de revenir nous lire plus souvent ! Alors faites nous plaisir et repassez régulièrement sur Allo Trends pour suivre d’autres vidéos de France Inter.
Mesdames et messieurs, nous arrivons à la fin de cet article Allo Trends, nous espérons que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire, enfin au moins autant que nous on a eu à l’écrire !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Jean-Philippe Tanguy : "Il n'y a pas de raison de choisir entre la police et la justice" publiée par la chaine Youtube France Inter :
Jean-Philippe Tanguy, député RN de la Somme, est l'invité du Grand entretien du 6/9 de l'été. Il réagit notamment à la mobilisation d'une partie des policiers en soutien à un collègue mis en examen et placé en détention provisoire suite à de graves violences envers un jeune homme de 22 ans.
Pour le député RN, "quand Élisabeth Borne dit que la justice doit travailler sereinement, elle renvoie en fait à la première prise de parole du président de la République au lendemain de la mort de Nahel, où il avait fait des commentaires qui rompaient avec la séparation des pouvoirs". Emmanuel Macron avait jugé sa mort comme "inexplicable" et "inexcusable". "Il exprimait une opinion personnelle assez grave sur les circonstances de ce drame. Ça a empiété sur d'autres dossiers, et ils courent maintenant après les événements qu'ils ont eux-mêmes déclenchés."
"Une présomption de confiance" envers les policiers en mission
"Il n'y a pas de raison de choisir entre la police et la justice comme institutions", assure Jean-Philippe Tanguy. "Il y a par contre pour les personnes, des policiers qui sont au quotidien sur le terrain, qui ont fait des efforts et ont exposé leur intégrité personnelle, et qui ont besoin d'être soutenus. De l'autre côté, il y a des magistrats dont la grande majorité fait son travail, mais une petite minorité font de la politique."
Le RN soutient-il le mouvement de "grève" (notamment via des arrêts maladie de complaisance) des policiers pour soutenir leur collègue placé en détention provisoire ? "On soutient des revendications très anciennes sur le respect dû à l'institution de la police, sur la reconnaissance des conditions de travail, sur le fait qu'il faudrait une présomption de légitime défense... Ces sujets n'ont jamais été entendus." Mais sur la forme, "j'alerte juste les policiers sur le fait qu'ils sont très soutenus par la population, et il ne faudrait pas qu'elle puisse douter des policiers". "C'est le cas aussi pour les urgentistes, les pompiers... C'est normal de défendre ses droits, d'avoir des revendications légitimes, mais il faut toujours le faire avec le soutien des Français, et donc assurer le service public."
Jean-Philippe Tanguy milite par ailleurs pour qu'on prenne en compte le statut de policier de l'auteur d'éventuels délits, mais avec des conditions restrictives. "On tient toujours compte des statuts sociaux et professionnels, il faut arrêter de se cacher derrière son petit doigt. Donc il faut considérer que la police, quand elle exerce des missions de police, encadrées, prévues, surveillées par la hiérarchie, il doit y avoir une présomption de confiance."
"Il y a un problème de manipulation de l'émotion"
Depuis mercredi, une vidéo de l'interview de la victime du policier, Hedi, 22 ans, diffusée par Konbini, fait le tour des réseaux sociaux. On y voit le jeune homme, "miraculé" selon les médecins après un tir de flashball qui lui a valu une amputation partielle du crâne. "J'ai vu cette vidéo", assure Jean-Philippe Tanguy. "Personne ne nie le fait que cette personne ait subi une violence : la question, c'est si l'exercice de cette violence était légitime, obligatoire dans le cadre de l'exercice d'une mission de police, ou pas. Et ça, je suis désolé, même si c'est difficile pour les familles, pour les proches, pour cette personne, pour tous ceux qui regardent avec humanité cette vidéo : on ne rend pas la justice, on ne fait pas une enquête à partir de témoignages vidéo dans les médias, quels qu'ils soient."
"Il y a un problème de manipulation de l'émotion et on ne laisse pas la justice travailler sereinement", s'indigne le député RN. "La France est une des rares démocraties où la présomption d'innocence n'est jamais respectée, où le secret de l'enquête n'est jamais respecté." Assez régulièrement, d'ailleurs, par des personnalités politiques ou des syndicats de policiers après la plupart des faits divers.
Plus d'info : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-du-jeudi-27-juillet-2023-5562561