Au parc Borély, à Marseille, les loueurs de rosalies vont-ils disparaître ?

Le 18 octobre 2024, la chaîne Youtube de La Provence a sorti un nouveau contenu qui a attiré toute notre attention, cet article va pouvoir donner un coup de projecteur dessus et pourquoi pas vous faire découvrir cette vidéo.

Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne La Provence, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

Voici donc aujourd’hui la dernière vidéo de la chaîne youtube La Provence. Elle s’appelle Au parc Borély, à Marseille, les loueurs de rosalies vont-ils disparaître ? et comme vous vous en doutez, elle intéresse déjà beaucoup les internautes. Vous pouvez la retrouver juste ici.

Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube La Provence qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.

Vous avez une question à faire part à l’auteur de cette vidéo ? Ou peut-être tout simplement un message à faire passer. Pour obtenir l’adresse email d’un influenceur qui fait des vidéos sur internet, rendez vous sur la partie “A propos” de sa chaîne Youtube. Si malgré vos efforts, vous n’obtenez pas de réponse, essayez de le joindre sur un autre support. Twitter est très pratique pour contacter facilement les youtubers.

On est bientôt à la fin de la news sur la vidéo Au parc Borély, à Marseille, les loueurs de rosalies vont-ils disparaître ?, toute l’équipe Allo Trends espère que vous l’avez trouvé intéressante à lire. Nous espérons vous retrouver au plus vite sur Allo Trends, d’ici là vous allez pouvoir regarder d’autres vidéos de La Provence en cherchant un peu sur notre plateforme dédiée. Si vous avez déjà fait le tour, allez sur Youtube, le contenu y est quasi infini !

Les amis, c’est déjà la fin de ce petit édito, à bientôt pour un nouvel article sur Allo Trends !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Au parc Borély, à Marseille, les loueurs de rosalies vont-ils disparaître ? publiée par la chaine Youtube La Provence :

Empêchés d’exercer leur activité pendant plus de 40 jours cette année quand le parc Borély accueille des événements sportifs et culturels, les loueurs de rosalies craignent de disparaître. L’un d’eux met la clé sous la porte à la fin de l’année.
En remontant jusqu’au mois d’avril dans son calendrier, Isabelle Dubos-Michel pousse un gros soupir. Il y a quelque mois avec Didier, son mari, ils ont repris en main Tandem cycle, l’activité familiale de location de Rosalie et rien ne va plus. Elle ne compte plus les jours de restrictions de circulation dans le parc Borély, dans le 8e arrondissement de Marseille, lors d’événements sportifs et culturels. "Dès qu’il y a un festival, un concours de boules, une journée pour les enfants ou une course, nous ne sommes jamais inclus. À croire qu’on oublie notre existence et notre travail", se lamente l’entrepreneuse de 66 ans.

Pour des raisons de sécurité invoquées par la municipalité, les voiturettes à pédales, les vélos et les karts proposés à la location depuis des années doivent rester au garage pendant plusieurs heures et parfois toute une journée lors de grandes manifestations. Isabelle et Didier Dubos-Michel ont déjà reçu quatre interdictions pour le mois d’octobre, dont certaines le dimanche, le plus gros jour d’activité. "Les gens nous cherchent et repartent tellement déçus. Faire de la Rosalie à Borély, c’est quand même mythique, même Pagnol en parlait à son époque. Les gens viennent au parc aussi pour ça, et pas seulement pour des événements ponctuels", peste Isabelle Dubos-Michel.

Les restrictions d’octobre s’ajoutent à celles de septembre, et celles, encore plus nombreuses de cet été. "En juin, nous n’avons pu travailler que 8 jours sur 30, et 17 jours sur 31 en juillet, ça commence à faire beaucoup", note-t-elle. En tout, la Ville décompte 41 journées où ces véhicules de loisirs n’ont pas pu rouler dans le parc, comme lors du festival Marsatac ou des concours de La Marseillaise et du Provençal.

La clef sous la porte
"Avec 150 véhicules, les investissements pour les réparer, des employés à payer, on ne sait pas comment faire pour préparer la suite", expose Isabelle Dubos-Michel.

À sa complainte se joint aussi Guy Perez, qui exploite Mickey Boy, l’autre magasin de location du parc, ouvert dans les années 1930. "Ces restrictions qui se succèdent à un rythme effréné ont fini par me mettre dans une situation financière très dégradée", alertait-il dans un courrier adressé mi-septembre à la mairie des 6e et 8e arrondissements. Déjà fragilisé par une baisse de moitié de son chiffre d’affaires, qu’il impute aussi au parking devenu payant dans le secteur l’été dernier, il réclame des durées de restrictions moins longues pour accueillir ses clients une partie de la journée lors des grands événements. "Quand on nous bloque l’accès de 7 h à 21 h, mais qu’à 13 h il n’y a plus rien dans le parc, difficile de ne pas prendre la mouche", renchérit Isabelle Dubos-Michel.