Ça y est : La Casa de Papel est terminée ! Netflix vient de publier les cinq derniers épisodes de la série espagnole, mais si cela peut vous consoler, un spin-off sur le personnage de Berlin est déjà en préparation sur la plateforme de streaming. Si le final du show a été à la hauteur de nos attentes, les derniers épisodes contenaient comme à chaque fois de nombreuses incohérences, dont nous présentons ici les plus marquantes. Parmi celles-ci, il y avait notamment le passage où Denver embrasse son cousin (et maintenant sa cousine) Manille. De nombreux fans ont été abasourdis par cette action et n'ont pas compris la décision des auteurs de la mettre en scène.
Cette histoire est en effet assez choquante et n'a pas vraiment de sens. Dans le premier esclave de la partie 5, Manille avait dit à son cousin qu'elle était amoureuse de lui depuis l'enfance. Denver lui avait alors expliqué qu'il ne se passerait jamais rien entre eux, car il était éperdument amoureux de Monica. Bien que sa relation avec Stockholm ait été rompue depuis longtemps, il ne s'était jamais montré ouvert à une idylle avec sa cousine. Quelle ne fut donc pas notre surprise, dans les derniers épisodes, de voir le braqueur de banque répondre aux appels de Manila lorsqu'il commençait à l'embrasser ...
Hormis la tentative d'ajouter du drame à l'histoire, on ne comprend pas vraiment le sens de cette scène. Mis à part le fait que Denver a embrassé sa cousine, cette intrigue n'a pas vraiment été poursuivie par la suite. Le braqueur de banque a regretté son acte et a avoué la vérité à Monica, qui est toutefois rapidement passée à autre chose. Là encore, on s'étonne de la réaction de sa petite amie, qui non seulement a été trompée par son partenaire, mais accepte en plus que cela se soit passé avec un membre de la famille de son partenaire. Maintenant que la série a tiré sa révérence, on peut imaginer que la production s'exprimera sur cette intrigue, mais en attendant, vous pouvez découvrir ce que le professeur a pu écrire à son neveu Rafael pour récupérer l'or.