À Marseille, un supermarché coopératif comme alternative à la grande distribution

Une nouvelle vidéo de Le Parisien est apparue sur Youtube le 26 janvier 2023 et elle a reçu un gros accueil de la part des internautes.

Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne Le Parisien, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. Voilà pourquoi nous vous écrivons aujourd’hui cet article, car on sait déjà que cela va susciter votre intérêt.

Voici donc aujourd’hui la dernière vidéo de la chaîne youtube Le Parisien. Elle s’appelle À Marseille, un supermarché coopératif comme alternative à la grande distribution et comme vous vous en doutez, elle intéresse déjà beaucoup les internautes. Vous pouvez la retrouver juste ici.

La vidéo est actuellement en vogue sur le web et pourrait se retrouver au top dans les tendances de la plateforme de VOD de Google. Après son upload il y a à peine 30 minutes par la chaîne Youtube Le Parisien, beaucoup d’internautes ont commencé à la regarder avec grand intérêt. C’est d’ailleurs souvent comme ça sur cette chaîne qui publie régulièrement des vidéos semblables à celle dont nous vous parlons aujourd’hui.

N’oubliez pas que vous pouvez contacter l’auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos remarques et conseils ou bien même pour le questionner sur le sujet de son contenu. Lorsqu’on souhaite envoyer un petit mot à un créateur de contenu sur internet, le plus souvent on utilise son adresse email tout simplement ! Vous pouvez l’obtenir en vous rendant sur sa page Youtube, rubrique “A propos”. Mais attention, ils ne lisent pas tous leur boite mail, dans ce cas passez par Twitter.

Nous espérons que vous avez apprécié cet article, et que la vidéo À Marseille, un supermarché coopératif comme alternative à la grande distribution a répondu à toutes vos attentes. Nous espérons vous retrouver au plus vite sur Allo Trends, d’ici là vous allez pouvoir regarder d’autres vidéos de Le Parisien en cherchant un peu sur notre plateforme dédiée. Si vous avez déjà fait le tour, allez sur Youtube, le contenu y est quasi infini !

Mesdames et messieurs, nous arrivons à la fin de cet article Allo Trends, nous espérons que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire, enfin au moins autant que nous on a eu à l’écrire !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo À Marseille, un supermarché coopératif comme alternative à la grande distribution publiée par la chaine Youtube Le Parisien :

Ici, le client est plus qu’un simple client : à la fois bénévole mais aussi un peu propriétaire… Ouvert depuis septembre, le supermarché « Super Cafoutch» compte désormais 1260 coopérateurs. Le principe : donner un peu d’argent tout au début, puis un peu de son temps chaque mois pour pouvoir y faire ses courses. Comme La Louve, créée en 2016 à Paris, sur le modèle de la Park Slope Food Coop de New York, une quinzaine de supermarchés à but non lucratif ont ouvert en France. Désormais, Marseille a donc aussi le sien. Seule obligation pour pouvoir faire ses courses : y travailler bénévolement trois heures par mois. Pour être économiquement viable, la structure devra atteindre environ 2 000 coopérateurs, « dont 60% feraient leurs courses avec un panier moyen de 150 euros par mois », précise sa présidente de « Super Cafoutch», Eva Chevallier. S'ils sont bien actionnaires du Super Cafoutch, moyennant l'achat de dix parts sociales pour 100 euros -une seule part à 10 euros pour les plus modestes-, le retour sur investissement attendu par les coopérateurs est bien loin des logiques de marché. Les économies réalisées sur la masse salariale et les intermédiaires permettent au supermarché d'appliquer une marge fixe de 20% à tous les produits. Alors certes, reconnaît Hugues, l’un des trois salariés permanent du magasin, « le contexte d'inflation joue aussi » dans la décision de rejoindre la coopérative. Mais « cela va bien au-delà », insiste la présidente : « C'est aussi un modèle selon lequel on souhaiterait que notre société fonctionne, de façon plus collaborative, plus amicale », pour que « tout le monde trouve son compte », y compris les producteurs, sur lesquels « on ne va jamais faire pression pour avoir le prix le plus bas possible ».