Vous le savez bien, ce n’est pas nouveau, nous suivons avec un très grand intérêt l'actualité de la chaîne Youtube Le Parisien depuis pas mal de temps déjà car nous savons que son contenu plait tout particulièrement à notre communauté. Voilà pourquoi nous avons décidé d’en faire un article, car on est sûr que cette nouvelle vidéo devrait vous plaire.
Voici donc aujourd’hui la dernière vidéo de la chaîne youtube Le Parisien. Elle s’appelle À Stalingrad, "la police nous dit que les toxicos sont trop nombreux, impossible de venir" et comme vous vous en doutez, elle intéresse déjà beaucoup les internautes. Vous pouvez la retrouver juste ici.
De nombreuses personnes parlent de cette nouvelle vidéo depuis plusieurs heures sur les réseaux sociaux et elle a également fait naître de nombreux commentaires sur les forums qu’on trouve sur la toile. D’ailleurs la chaîne Youtube Le Parisien n’en est pas à son coup d’essai en publiant une vidéo qui fait sensation. Nous savons bien que vous êtes souvent très intéressés par ce type de contenu.
Vous avez une question à faire part à l’auteur de cette vidéo ? Ou peut-être tout simplement un message à faire passer. C’est pour cela que Youtube a mis en place une section "À propos" qui vous permettra de contacter tous vos youtubers préférés ainsi que toutes les chaînes dont vous avez besoin. Dans l'hypothèse où malgré ces conseils vous n’arrivez pas à joindre la chaîne souhaitée, il vous reste les réseaux sociaux comme twitter où il est très simple d’envoyer un message pour faire remonter une information.
Avant de se quitter, on espère déjà que la vidéo À Stalingrad, "la police nous dit que les toxicos sont trop nombreux, impossible de venir" vous a plu, ou qu’elle a répondu en temps cas à vos attentes. On espère vous revoir très vite sur notre site, en attendant vous pouvez retrouver d’autres vidéos de Le Parisien en vous baladant sur notre site ou bien même en allant directement sur la chaîne Youtube.
Il est maintenant temps de nous quitter, merci d’avoir lu cet article, on se revoit très vite sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo À Stalingrad, "la police nous dit que les toxicos sont trop nombreux, impossible de venir" publiée par la chaine Youtube Le Parisien :
Depuis 2019, Nicolas, un riverain proche de la place de Stalingrad à Paris (19 e) vit un enfer. Comme tous les autres habitants du quartier. « Ça va faire presque deux ans que la situation s’est dégradée ici. Depuis l’évacuation de la colline au crack Porte de la Chapelle en 2019, les dealers et les consommateurs se sont regroupés ici », soupire-t-il. Au début de l’avenue de Flandre, chaque soir, des centaines de toxicomanes viennent squatter les trottoirs en bas de leurs fenêtres. Toute les nuits, ils se rassemblent pour récupérer des doses de crack ou d’héroïne, certains se battent, poussent des cris, lancent des objets en verre… Malgré de nombreux signalements à la police, au maire d’arrondissement et sur les réseaux sociaux, les riverains qui n’arrivent plus à trouver le sommeil, se sentent complètement laissés à l’abandon. « On a beau signaler, documenter en postant des photos, des vidéos sur les réseaux sociaux, ça ne bouge pas. Il y a une présence policière régulièrement, mais le problème revient toujours », se désole encore Nicolas. La tension est d’ailleurs montée d’un cran le week-end dernier durant deux nuits consécutives. Dans la nuit de vendredi à samedi, 14 tirs de feux d'artifice ont été constatés, puis la nuit suivante 23 tirs de mortiers d'artifice ont été tirés en direction des toxicomanes.
Sur des vidéos filmées par des riverains et diffusées sur Twitter, on s’aperçoit que ces tirs proviennent du rez-de-chaussée d’un immeuble, sans pour autant en identifier les auteurs. Mais pour Nicolas et d’autres habitants du quartier, cela ne fait presque aucun doute : il s’agirait de riverains excédés qui auraient visés un groupe de consommateurs de crack. Une enquête a été ouverte mardi pour « violences avec arme » pour identifier les auteurs de ces tirs de mortiers et leurs motivations.