Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne Le Parisien, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. C’est pour cette raison que l’on vous en parle en ce jour car cette nouvelle vidéo pourrait piquer votre intérêt.
En effet, la chaîne Youtube Le Parisien a décidé aujourd’hui de poster une nouvelle vidéo qui porte le titre de “A Tchernobyl, les forces ukrainiennes se préparent à une éventuelle invasion russe”. Évidemment, vous pouvez dès à présent la retrouver en lecture intégrale sur notre site pour votre plus grand plaisir !
Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube Le Parisien qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.
Il peut exister une hypothèse où vous avez besoin de contacter le vidéaste auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos critiques, remarques ou bien conseils. Première solution pour contacter l’auteur de cette vidéo, c’est sur Youtube que ça se passe : Essayez de trouver son adresse email dans “A propos”. Si vous n’avez pas de réponse, vous pouvez réessayer de le contacter mais sur une autre plateforme. Twitter semble être un moyen assez simple pour interpeller un Youtuber à propos d’un de ses contenus.
N'hésitez pas à nous faire un retour sur les réseaux sociaux si vous avez apprécié lire cet article à propos de la vidéo A Tchernobyl, les forces ukrainiennes se préparent à une éventuelle invasion russe. Retrouvez dès maintenant d’autres vidéos similaires sur notre plateforme, on vous fait confiance pour dénicher d’autres pépites. Si et seulement si vous avez déjà fait le tour de notre site, alors foncez sur Youtube voir d’autres contenus exclusifs de Le Parisien.
Et voilà c’est déjà fini, on se revoit très bientôt sur Allo Trends pour un nouvel article. Bisous bisous !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo A Tchernobyl, les forces ukrainiennes se préparent à une éventuelle invasion russe publiée par la chaine Youtube Le Parisien :
Des tirs de mitrailleuses résonnent dans les bâtiments abandonnés de Pripyat en Ukraine, dans la zone d'exclusion de Tchernobyl, alors que les troupes de la Garde nationale ukrainienne effectuent des exercices de combat urbain. Cet entraînement à balles réelles, qui se déroule dans l'un des endroits les plus radioactifs de la planète, intervient alors que les craintes d'une éventuelle invasion russe s'intensifient. En effet, les Occidentaux accusent la Russie d'avoir déployé des dizaines de milliers de soldats depuis des mois aux frontières de l'Ukraine, y voyant le signe d'une opération militaire d'envergure à venir. Près de 30 000 militaires russes sont présents en Biélorussie, à 10 km au nord de Pripyat. La Russie, qui dément tout projet en ce sens, dit en retour se sentir menacée par l'Alliance atlantique et réclame pour faire baisser les tensions la fin de sa politique d'élargissement et son retrait d'Europe de l'Est. Une demande jugée inacceptable par les Européens et les Américains. Le gouvernement ukrainien a donc voulu envoyer un message au Kremlin. « Nous devons montrer que nous sommes prêts à réagir à tous les événements », a répliqué Denys Monastyrsky, ministre des Affaires Intérieures. Près de 7500 soldats ukrainiens ont donc été envoyés s’entraîner dans la zone d’exclusion. Pripyat est une ville fantôme depuis l’explosion de la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986. Mais depuis quelques jours, elle est une zone militaire stratégique car elle est située à seulement 10 km de la frontière biélorusse. « Peu importe si c'est contaminé ou si personne n'y vit. C'est notre territoire, notre pays et nous devons le défendre », a expliqué le lieutenant-colonel, Yuri Shakhraichuk, au New York Times. Avant le début des entraînements, la zone a été vérifiée par des agents de décontamination pour mesurer le taux de radioactivité. En cas d’exposition trop élevée, les militaires sont remplacés afin d’éviter les risques de contamination.