Vous avez encore été très nombreux sur les réseaux sociaux ces dernières semaines à nous demander de vous partager des nouveaux contenus issus de la chaîne Youtube Le Parisien, continuez à nous envoyer des messages ça nous fait très plaisir de savoir que nos contenus vous plaisent. C'est pourquoi nous avons décidé de faire un billet sur le sujet, car nous sommes sûrs que vous apprécierez cette nouvelle vidéo.
La chaîne Youtube Le Parisien a publié aujourd’hui une nouvelle vidéo qui s’appelle Compiègne : déchaînement de violence aux abords du lycée Mireille-Grenet, ce qu'il s'est passé. Vous voulez découvrir cette vidéo et la regarder en streaming, vous êtes chanceux on vous l’a mis de côté !
Et comme on pouvait s’y attendre, la dernière vidéo de la chaîne Youtube Le Parisien fait un tabac sur les premiers retours qu’on a pu lire ! Elle réussit à intéresser de nombreux internautes, ce qui n’est pas toujours facile au vu de la quantité de contenus qu’on trouve maintenant sur internet ainsi que sur les applications telles que TikTok, Facebook ou Instagram.
Il peut exister une hypothèse où vous avez besoin de contacter le vidéaste auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos critiques, remarques ou bien conseils. Cependant, rien ne vous garantit qu’il vous répondra. Mais qui ne tente rien n’a rien ! Pour entrer en contact direct avec un vidéaste, essayez de trouver ses réseaux sociaux et envoyez lui un message public ou privé. Vous pouvez aussi trouver le mail d’un Youtuber sur sa chaîne Youtube en cliquant sur “A propos”. Vous obtiendrez ainsi sa précieuse adresse email.
Et voilà, on arrive bientôt à la fin de cet article, vous venez de découvrir tout ce qu’on savait à propos de la vidéo Compiègne : déchaînement de violence aux abords du lycée Mireille-Grenet, ce qu'il s'est passé. Avant de se dire au revoir, on vous rappelle quand même que vous pouvez regarder d’autres vidéos de Le Parisien en naviguant sur Allo Trends. Bien qu’on ait pas encore autant de contenus que Youtube, on y travaille chaque jour pour vous offrir le meilleur d’internet !
On se retrouve bientôt pour un nouveau contenu sur Allo Trends, et en attendant on se dit Ciao à la prochaine !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Compiègne : déchaînement de violence aux abords du lycée Mireille-Grenet, ce qu'il s'est passé publiée par la chaine Youtube Le Parisien :
Des lycéens et des jeunes casseurs ont mis le feu à des poubelles et attaqué les pompiers. Une voiture de police a été caillassée. Quatre personnes ont été interpellées selon la préfecture.
Tout a commencé vers 7h30, ce lundi matin, devant le lycée Mireille Grenet de Compiègne (Oise), des dizaines de jeunes cagoulés ont mis le feu à des poubelles devant l'établissement scolaire et attaqué une voiture de police en patrouille.
L'équipage, visé par des tirs de mortier, a dû rapidement abandonner le véhicule. Ces mêmes individus ont ensuite commencé à caillasser la voiture de police, la piller et même tenté de la renverser. De nombreuses vidéos relayées sur les réseaux sociaux montrent le déchaînement de violence qui s'est déroulé pendant plusieurs minutes, avant l'intervention des forces de l'ordre.
Sarah, une lycéenne, arrivée sur place peu avant huit heures témoigne. « Il y avait de la fumée partout, à cause des poubelles qui brûlaient devant la grille d'entrée de mon lycée. J'ai vu des jeunes saccager une voiture de police qui était stationnée à côté. Heureusement qu'il n'y avait aucun policier à l'intérieur. Ils ont ont tout cassé, certains ont dérobé des gilets pare-balles et ils ont essayé de la renverser », raconte la jeune lycéenne, encore sous le choc.
Vers 8h10, des renforts du commissariat sont intervenus pour disperser la foule et procédé à quatre interpellations. Lors de ces incidents, un pompier a également été légèrement blessé à l'avant-bras par un tir de mortier alors qu'il tentait d'éteindre une poubelle en feu.
Le rectorat d'Amiens considère, lui, que ces incidents résultent d'un « climat de violence externe », quelques jours après des violences urbaines dans un quartier proche du Clos-des-Roses. « Il ne s'agit pas du tout d'éventuelles revendications en lien avec le protocole sanitaire ».