Vous avez encore été très nombreux sur les réseaux sociaux ces dernières semaines à nous demander de vous partager des nouveaux contenus issus de la chaîne Youtube Le Parisien, continuez à nous envoyer des messages ça nous fait très plaisir de savoir que nos contenus vous plaisent. Et c’est pour cela qu’on vous en parle aujourd’hui, cette toute nouvelle vidéo devrait vous intéresser.
Comme bien souvent lorsque la chaîne Youtube Le Parisien poste un nouveau contenu sur internet, vous pouvez le trouver sur notre site. Pour regarder la toute dernière vidéo qui s’appelle “Distribution alimentaire : « La crise a doublé le nombre de bénéficiaires » chez les étudiants”, c’est juste en haut !
La vidéo est actuellement en vogue sur le web et pourrait se retrouver au top dans les tendances de la plateforme de VOD de Google. Après son upload il y a à peine 30 minutes par la chaîne Youtube Le Parisien, beaucoup d’internautes ont commencé à la regarder avec grand intérêt. C’est d’ailleurs souvent comme ça sur cette chaîne qui publie régulièrement des vidéos semblables à celle dont nous vous parlons aujourd’hui.
Vous rencontrez des soucis avec ce contenu ? Vous avez repéré une erreur dans la vidéo que vous souhaitez faire remonter au monteur ? Pour obtenir l’adresse email d’un influenceur qui fait des vidéos sur internet, rendez vous sur la partie “A propos” de sa chaîne Youtube. Si malgré vos efforts, vous n’obtenez pas de réponse, essayez de le joindre sur un autre support. Twitter est très pratique pour contacter facilement les youtubers.
Nous espérons que vous avez apprécié cet article, et que la vidéo Distribution alimentaire : « La crise a doublé le nombre de bénéficiaires » chez les étudiants a répondu à toutes vos attentes. Avant de se dire au revoir, on vous rappelle quand même que vous pouvez regarder d’autres vidéos de Le Parisien en naviguant sur Allo Trends. Bien qu’on ait pas encore autant de contenus que Youtube, on y travaille chaque jour pour vous offrir le meilleur d’internet !
Quoi ?! C’est déjà l’heure de nous quitter ?! Ne vous inquiétez pas, on se retrouve bientôt sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Distribution alimentaire : « La crise a doublé le nombre de bénéficiaires » chez les étudiants publiée par la chaine Youtube Le Parisien :
Du simple au double… A l’image de ces interminables files d’étudiants vues lors des distributions alimentaires gratuites, les épiceries solidaires connaissent elles aussi une hausse sensible de leur fréquentation. Dans le réseau des épiceries AGORAé, lancées par la Fédération des Associations Générales Etudiantes (FAGE) en 2011, les bénéficiaires n’ont jamais été aussi nombreux depuis que la crise engendrée par l’épidémie de Covid-19 a commencé. « Sur les 24 AGORAé en France, il y avait entre 6000 et 7000 jeunes bénéficiaires », explique Aymeric Corbé, vice-président en charge de l’Innovation sociale au bureau national de la FAGE. « Avec la crise, on est passés à plus de 13 000, bientôt 14 000… » Le but de ces épiceries est simple : venir en aide aux étudiants les plus précaires en leur proposant, après acceptation de leur dossier, des produits vendus entre 10% et 30% de leur valeur réelle. Et le constat est simple : il y a de plus en plus d’étudiants dans le besoin.
Sur le campus de l’université Paris-Nanterre, Sarah, co-présidente de l’AGORAé locale, peut en attester : elle compte aujourd’hui 112 bénéficiaires (y compris les dossiers en cours), contre une trentaine avant l’été. Depuis novembre, et comme certains bâtiments de la fac sont fermés, les modalités ont changé et l’épicerie, à défaut d’ouvrir régulièrement son local, propose une distribution gratuite à ses bénéficiaires tous les vendredis. Mélissa, étudiante en Anglais, a déjà fait plusieurs distributions alimentaires depuis le début de la crise. Ici, c’est sa première. « On travaille un peu moins, il y a un peu plus de stress… C’est un peu plus dur à gérer. Donc qu’il y ait des distributions sur le campus qui nous permettent de faire des économies, c’est génial », confie-t-elle, son sac de provisions sous le bras, qui lui permettra de tenir « au moins une bonne semaine ».