La plupart de nos membres suivent de manière assidue nos articles sur Allo Trends, vous n'êtes donc pas très surpris que nous vous parlions aujourd’hui de la chaîne Youtube Le Parisien ! Les vidéos qui y sont diffusées intéressent grandement internet depuis pas mal de temps déjà. Et c’est ainsi que nous avons pris la décision de vous partager en ce jour ce dernier contenu qui pourrait éveiller votre intérêt.
Vous commencez à en avoir l’habitude, à chaque nouvelle sortie de vidéo sur la chaîne Youtube de Le Parisien, on essaye de vous la proposer dans les plus brefs délais sur notre site. Nous vous invitons à découvrir sans plus tarder la vidéo «Il fallait tuer pour passer»: quand Hubert Germain racontait son combat pour la Libération en vous rendant sur le player juste ici !
Depuis plusieurs heures, beaucoup d’internautes parlent de cette nouvelle vidéo sur les réseaux sociaux et elle fait aussi réagir les gens sur de nombreux forums de discussion. Ce n’est pas la première fois que la chaîne Youtube Le Parisien sort une vidéo qui fait parler d’elle, et nous connaissons votre grand intérêt pour ce style de contenus.
Des internautes peuvent parfois rencontrer des problèmes avec une vidéo, ou bien tout simplement avoir envie de transmettre des informations suite à une erreur dans le montage par exemple. C’est pour cela que Youtube a mis en place une section "À propos" qui vous permettra de contacter tous vos youtubers préférés ainsi que toutes les chaînes dont vous avez besoin. Dans l'hypothèse où malgré ces conseils vous n’arrivez pas à joindre la chaîne souhaitée, il vous reste les réseaux sociaux comme twitter où il est très simple d’envoyer un message pour faire remonter une information.
Nous espérons que vous avez apprécié cet article, et que la vidéo «Il fallait tuer pour passer»: quand Hubert Germain racontait son combat pour la Libération a répondu à toutes vos attentes. Lorsqu'on écrit un article et qu’on voit qu’il fait des vues car il plaît à notre communauté, on a qu’une hâte, c’est de réussir à vous convaincre de revenir nous lire plus souvent ! Alors faites nous plaisir et repassez régulièrement sur Allo Trends pour suivre d’autres vidéos de Le Parisien.
On se retrouve bientôt pour un nouveau contenu sur Allo Trends, et en attendant on se dit Ciao à la prochaine !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo «Il fallait tuer pour passer»: quand Hubert Germain racontait son combat pour la Libération publiée par la chaine Youtube Le Parisien :
Le dernier combattant français de la Seconde Guerre mondiale décoré par le général de Gaulle, Hubert Germain, a été inhumé au Mont-Valérien. Fils d’un général des troupes coloniales, il passait le concours d’entrée de l’école navale de la ville Bordeaux, au moment de la débâcle de l’armée française face aux troupes allemandes au printemps 1940. « Au bout de cinq minutes, je me suis dit: «Mais qu’est-ce que tu fais là ?’ », expliquait-il en 2018. « Je me suis levé en disant à l’examinateur: ‘Je pars faire la guerre’ ».
Entre juin et juillet 1940, quelque 7.000 Français prennent le chemin de la Grande-Bretagne. Parmi eux, des centaines de futurs Compagnons de la Libération, souvent âgés d’une vingtaine d’années, révoltés par la capitulation du maréchal Pétain. Hubert Germain embarque à Saint-Jean-de-Luz, à bord d’un navire transportant des soldats polonais à destination de l’Angleterre et arrive à Londres le 24 juin 1940. Il intègre la Légion étrangère : «C’est la première fois de ma vie où j’ai le sentiment volontaire de mort . Il fallait tuer pour passer », assurait celui qui allait devenir ministre de Georges Pompidou. Hubert Germain combat en Syrie, en Libye où il est engagé dans les combats de Bir Hakeim et en Egypte. Il participe aussi au débarquement de Provence : « Quand je suis arrivé sur la plage, je n’avais plus de jambes. J’ai pleuré. Pas longtemps. Trois ou quatre sanglots. La guerre continuait ».
Un tiers des compagnons de la Libération sont morts au combat, et 80% des survivants sont blessés pendant le conflit. Cinq d’entre eux reposent au Panthéon -- Felix Eboué, André Malraux, René Cassin, Jean Moulin et Pierre Brossolette. Père des Forces françaises libres (FFL), Charles de Gaulle avait créé l’Ordre de la Libération en novembre 1940 pour « récompenser les personnes ou les collectivités militaires et civiles qui se seront signalées dans l’oeuvre de libération de la France et son empire ». Seules 1.038 personnes, dont six femmes, ont reçu le titre de compagnon de la Libération.
Les derniers compagnons ont disparu les uns après les autres au cours de la décennie passée, dont Daniel Cordier, décédé à 100 ans le 20 novembre 2020. Parti à Londres le 21 juin à l’âge de 19 ans avant de devenir deux ans plus tard le secrétaire de Jean Moulin, légendaire figure de la résistance intérieure qui succombera aux mains de la Gestapo.