Pour tout vous dire à la rédaction Allo Trends, on sait tout l'intérêt que porte notre communauté sur la chaîne Youtube de Le Parisien. A chaque nouveau contenu, l'intérêt est toujours plus grand que ce soit sur notre site ou bien même sur les réseaux sociaux. Et c’est pour cela qu’on vous en parle aujourd’hui, cette toute nouvelle vidéo devrait vous intéresser.
Quand nous avons vu pour la première fois la vidéo La Défense : des ouvriers de Grandpuits tentent de pénétrer dans la tour Total de la chaîne Le Parisien, nous savions que notre communauté aimerait la regarder en streaming au plus vite. Nous nous sommes donc empressé d'écrire cet article pour le publier dans les plus brefs délais.
Et comme on pouvait s’y attendre, la dernière vidéo de la chaîne Youtube Le Parisien fait un tabac sur les premiers retours qu’on a pu lire ! Elle réussit à intéresser de nombreux internautes, ce qui n’est pas toujours facile au vu de la quantité de contenus qu’on trouve maintenant sur internet ainsi que sur les applications telles que TikTok, Facebook ou Instagram.
Vous avez une question à faire part à l’auteur de cette vidéo ? Ou peut-être tout simplement un message à faire passer. Pour parler à un youtuber (c’est comme ça qu’on appelle les créateurs de contenus sur la plateforme Youtube), rendez-vous directement sur sa chaîne, dans la partie “A propos” plus précisément. Si il ne vous répond pas, réessayez sur ses réseaux sociaux : Facebook, Instagram ou Twitter par exemple !
Bon et bien c’est bientôt le moment de conclure ce papier, vous pouvez revoir la vidéo La Défense : des ouvriers de Grandpuits tentent de pénétrer dans la tour Total si vous le souhaitez, elle devrait être encore disponible quelque temps. Nous avons d’autres vidéos de Le Parisien sur Allo Trends, vous pouvez les découvrir dès maintenant en utilisant la barre de recherche. Vous devriez vous débrouiller, c’est assez facile d’accès même pour un débutant !
Mesdames et messieurs, nous arrivons à la fin de cet article Allo Trends, nous espérons que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire, enfin au moins autant que nous on a eu à l’écrire !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo La Défense : des ouvriers de Grandpuits tentent de pénétrer dans la tour Total publiée par la chaine Youtube Le Parisien :
Rassemblés devant le siège de Total de la Défense ( Hauts-de-Seine) pour manifester contre la suppression de 700 emplois dans leur raffinerie, une centaine d’ouvriers de Grandpuits en grève depuis le 4 janvier, rejoints par des militants écologistes dont Greenpeace, sont venus dénoncer la reconversion de leur raffinerie en site de production plus « écologique ». Total prévoit en effet de cesser le raffinage sur le site « fin 2023 » pour laisser place à la production de biocarburants, de bioplastiques et à l’exploitation de deux centrales solaires photovoltaïques.
« Patrick Pouyanné (le patron de Total, ndlr) a dit que ce projet était bon parce qu’ils allaient transformer cette raffinerie en raffinerie d’agrocarburants. Mais les agrocarburants, on le sait, sont parfois pires que les énergies fossiles. C’est une mascarade de transition écologique », dénonce Jean-François Julliard, directeur de Greenpeace.
Devant un cordon de CRS posté devant l’entrée, des manifestants ont même tenté de pénétrer à l’intérieur de la tour. Le ton est vite monté avant que la situation ne se calme quelques minutes après. Des manifestants ont collé sur les grandes baies vitrées de la tour, des affiches sur lesquelles était écrit : « Grandpuits, 700 emplois menacés, 7 milliards de dividendes » ou encore « Grandpuits, greenwashing, casse sociale».
« On se bat auprès des écolos parce qu’on dénonce le fait que Total ne prend pas un virage écologique. Au contraire, il veut délocaliser les capacités de raffinage à Grandpuits dans des pays où les normes sociales et environnementales sont moindres », lance Adrien Cornet, délégué CGT à la raffinerie de Grandpuits.
Total, de son côté, nie la suppression de 700 emplois. L’entreprise précise qu’elle en a prévu 150 sur le site et qu’il ne s’agit pas de licenciement, mais de « départs en retraite anticipés et des mobilités internes vers d’autres sites du Groupe ».