Vous le savez bien, ce n’est pas nouveau, nous suivons avec un très grand intérêt l'actualité de la chaîne Youtube Le Parisien depuis pas mal de temps déjà car nous savons que son contenu plait tout particulièrement à notre communauté. C’est pour cette raison que l’on vous en parle en ce jour car cette nouvelle vidéo pourrait piquer votre intérêt.
Nous vous proposons aujourd’hui de retrouver la dernière vidéo de la chaîne Youtube Le Parisien qui s’appelle tout simplement Variant anglais à Bagneux : "On se fait tester parce qu'on est inquiets". Si vous l’avez apprécié, n'hésitez pas à like le contenu pour ainsi soutenir l’auteur de la vidéo !
Très bons retours pour le moment pour la dernière vidéo de la chaîne Youtube Le Parisien, même si c’est souvent le cas sur les commentaires qu’on retrouve sur cette chaîne que les internautes adorent depuis bien longtemps déjà. Si les retours continuent à être aussi positifs, l'algorithme de Google pourrait décider de la proposer à de nombreux internautes.
Grâce à Internet, on peut aisément parler aux vidéastes pour leur poser toutes les questions qu’on a en tête, ou bien même leur faire part de critiques (constructives s’il vous plaît!). Beaucoup de gens galèrent à contacter les créateurs de contenus sur internet, mais sur Youtube c’est pourtant très simple, il suffit juste de se connecter sur la chaîne en question, et d’aller dans la partie “A propos” pour trouver l’adresse email que vous cherchez ! Cependant Twitter reste toujours une très bonne alternative qui fonctionne relativement bien pour entrer en contact avec un Youtuber.
Et voilà, on arrive bientôt à la fin de cet article, vous venez de découvrir tout ce qu’on savait à propos de la vidéo Variant anglais à Bagneux : "On se fait tester parce qu'on est inquiets". Dans notre plateforme, vous pourrez trouver d’autres vidéos de Le Parisien, jetez y un coup d'œil à l’occasion, c’est pratique et ça peut vous permettre de trouver des contenus que vous n’aviez jusqu'alors jamais vu encore sur le web !
Hâte de découvrir des nouveaux contenus en votre compagnie, à la prochaine sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Variant anglais à Bagneux : "On se fait tester parce qu'on est inquiets" publiée par la chaine Youtube Le Parisien :
« Je reviens de Londres où j'ai dû me faire tester avant de revenir en France. J'étais négative. Mais quand j'ai appris qu'il y avait un premier cas de variant britannique ici à Bagneux, j'ai eu peur un instant que ça vienne de moi », lance Martine. Comme elle, ils sont plusieurs centaines à s'être déplacés depuis samedi pour la campagne massive de dépistage au Covid-19, organisée pendant trois jours dans la salle des fêtes de cette commune du sud des Hauts-de-Seine. Seuls les cas positifs passeront l'étape du séquençage du virus, pour éventuellement détecter le variant anglais. Une enquête épidémiologique qui devrait donner ses résultats en milieu de semaine. Réputé plus contagieux que la version originale du virus, notamment chez les plus jeunes, le variant anglais inquiète, surtout les parents dont les enfants sont scolarisés dans les établissements où travaille la femme infectée par ce variant. « Quand j'ai appris la nouvelle, j'ai eu peur pour mes enfants. On s'est fait tester samedi et on sait maintenant qu'on est tous négatifs », explique Farida. Dès vendredi, une première série de tests avait été menée auprès des personnels scolaires de la ville avec 167 tests réalisés. D'ici mardi soir, la Direction générale de la santé, qui pilote l'opération, espère pouvoir tester près de 2000 habitants de Bagneux. ventuellement détecter le variant anglais.
Réputé plus contagieux que la version originale du virus, notamment chez les plus jeunes, le variant anglais inquiète, surtout les parents dont les enfants sont scolarisés dans les établissements où travaille la femme infectée par le variant britannique. Il s'agit d'une animatrice scolaire municipale, présente dans deux établissements de la commune avant Noël puis pendant les vacances scolaires.
Dès vendredi, une première série de tests avait été menée auprès des personnels scolaires de la ville de 40.000 habitants, avec 167 tests réalisés.