Vous avez encore été très nombreux sur les réseaux sociaux ces dernières semaines à nous demander de vous partager des nouveaux contenus issus de la chaîne Youtube LeHuffPost, continuez à nous envoyer des messages ça nous fait très plaisir de savoir que nos contenus vous plaisent. Et c’est ainsi que nous avons pris la décision de vous partager en ce jour ce dernier contenu qui pourrait éveiller votre intérêt.
Pour regarder la vidéo Ces deux espèces se sont répandues dans le monde entier et c’est une catastrophe qui a été postée aujourd’hui par la chaîne Youtube LeHuffPost, cliquez sur la vidéo juste en haut. Vous pourrez ainsi la découvrir en streaming gratuitement directement sur notre site !
Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube LeHuffPost qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.
Ce qui est pratique avec internet, c’est que lorsqu’on a un souci avec un contenu, on peut très facilement rentrer en contact avec son auteur pour lui en faire part. Première solution pour contacter l’auteur de cette vidéo, c’est sur Youtube que ça se passe : Essayez de trouver son adresse email dans “A propos”. Si vous n’avez pas de réponse, vous pouvez réessayer de le contacter mais sur une autre plateforme. Twitter semble être un moyen assez simple pour interpeller un Youtuber à propos d’un de ses contenus.
On est bientôt à la fin de la news sur la vidéo Ces deux espèces se sont répandues dans le monde entier et c’est une catastrophe, toute l’équipe Allo Trends espère que vous l’avez trouvé intéressante à lire. Vous avez déjà regardé la vidéo en entier ? Pensez à checker notre site pour trouver d’autres contenus liés à LeHuffPost, on en a pas mal de disponible et de nouvelles vidéos arrivent très prochainement, faites nous confiance !
Il est maintenant temps de nous quitter, merci d’avoir lu cet article, on se revoit très vite sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Ces deux espèces se sont répandues dans le monde entier et c’est une catastrophe publiée par la chaine Youtube LeHuffPost :
Les invasions biologiques d’espèces d’amphibiens et de reptiles, source de nombreux dégâts dans les écosystèmes qu’elles colonisent, sont nombreuses et font l’objet de dépenses astronomiques. Selon une étude réalisée par Scientific Report, 17 milliards ont été dépensés en un peu plus de trente ans pour lutter contre les amphibiens et les reptiles invasifs. Deux espèces sortent très nettement du lot.
La ouaouaron, aussi appelée grenouille-taureau, et le serpent brun arboricole sont ainsi les responsables quasi-uniques de ces efforts d’éradication très coûteux. La grenouille rassemble à elle seule 96,3% des 6,3 milliards de dollars engagés dans la lutte contre les amphibiens invasifs. Le serpent brun de son côté, représente 99,7% de l’effort de 10,4 milliards contre les reptiles.
Ces deux espèces présentent beaucoup de aspects extrêmement néfastes pour la biodiversité et pour les exploitations agricoles. La grenouille se reproduit très vite et se nourrit d’espèces parfois importantes à l’écosystème. Le serpent quant à lui peut ravager sur son passage toute une exploitation agricole. Grâce à un plan d’éradication de la grenouille-taureau par l’Union Européenne en 2016, la France avait d’ailleurs connu une baisse massive de cet passager clandestin.
De l’invasion à l’extinction
Ce sont d’ailleurs l’Europe et l’Australie qui arrivent en tête des pays en ayant déboursé plus de 10 milliards de dollars pour les voir disparaître. Mais la raison de leur venue n’est autre que le transport d’espèces exotiques à travers le globe.
Le transport des espèces exotiques vers de nouvelles régions est d’une intensité sans précédent et s’accélère avec la mondialisation des réseaux de commerce et de transport. Ces phénomènes conduisent souvent à des invasions, dont les impacts écologiques comprennent des extinctions d’espèces indigènes et des perturbations du fonctionnement des écosystèmes locaux.
Logiquement, les auteurs de l’étude suggèrent donc que les coûts économiques liés aux invasions d’amphibiens et de reptiles pourraient être réduits en investissant dans des mesures visant à limiter le transport mondial des espèces invasives et à permettre la détection précoce des invasions.
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