Et oui, la chaîne Youtube LeHuffPost a encore le droit à un article sur Allo Trends aujourd’hui, et en même temps c’est tout à fait logique vu la passion que met notre communauté à chaque fois qu’une nouvelle vidéo est disponible sur internet. C'est pourquoi nous avons décidé de faire un billet sur le sujet, car nous sommes sûrs que vous apprécierez cette nouvelle vidéo.
Aujourd'hui, 14 novembre 2021, la chaîne Youtube LeHuffPost a publié un nouveau contenu qui porte comme titre En Équateur, des affrontements à la prison de Guayaquil font des dizaines de morts. Si vous souhaitez regarder cette vidéo en streaming, vous êtes tombé au bon endroit !
La vidéo fait un très bon démarrage depuis qu’elle a été téléversé sur la chaîne Youtube de LeHuffPost et elle pourrait bien finir en tendance si les scores restent à ces niveaux. Il ne faudra cependant pas trop s’enflammer et attendre quelques jours pour voir si ce bon démarrage se confirme avec un buzz sur la durée.
Parfois lorsqu’on regarde une vidéo sur internet, on peut avoir des retours à faire au créateur de contenu. Pour lui parler d’un souci ou bien d’une erreur que l’on a découverte par exemple. Beaucoup de gens galèrent à contacter les créateurs de contenus sur internet, mais sur Youtube c’est pourtant très simple, il suffit juste de se connecter sur la chaîne en question, et d’aller dans la partie “A propos” pour trouver l’adresse email que vous cherchez ! Cependant Twitter reste toujours une très bonne alternative qui fonctionne relativement bien pour entrer en contact avec un Youtuber.
Et voilà, on arrive bientôt à la fin de cet article, vous venez de découvrir tout ce qu’on savait à propos de la vidéo En Équateur, des affrontements à la prison de Guayaquil font des dizaines de morts. Le saviez-vous ? Sur Youtube, vous pouvez trouver d’autres vidéos de LeHuffPost qui ont pu être uploadé par d’autres utilisateurs et qui ne sont pas encore référencés sur Allo Trends. Si jamais vous êtes curieux, allez y faire un tour, on ne sait jamais !
On se retrouve bientôt pour un nouveau contenu sur Allo Trends, et en attendant on se dit Ciao à la prochaine !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo En Équateur, des affrontements à la prison de Guayaquil font des dizaines de morts publiée par la chaine Youtube LeHuffPost :
ÉQUATEUR - Des affrontements d’une extrême violence entre gangs de détenus se sont poursuivis samedi 13 novembre dans le pénitencier de Guayaquil, dans le sud-ouest de l’Équateur. Les autorités ont affirmé “contrôler” la situation dans la soirée, après la mort d’au moins 68 prisonniers en 24 heures.
Corps mutilés et brûlés, scènes d’une grande “sauvagerie”, “barbarie”... À coups d’armes blanches, d’armes à feu et d’explosifs, les affrontements ont débuté vendredi soir dans le bloc 2 de ce vaste centre pénitentiaire, le plus grand du pays. Le bilan officiel samedi à la mi-journée était de 68 détenus tués et de 25 blessés.
900 policiers déployés à la prison
Samedi soir, alors que la police avait pourtant assuré avoir pénétré le matin-même dans ce bloc 2, le porte-parole de la présidence Carlos Jijon a reconnu que “de nouveaux incidents se produisaient à l’intérieur du pénitencier”, avec “des attaques d’un quartier à l’autre”. Le même porte-parole a affirmé peu après que la police était à l’intérieur de l’établissement et que la situation y était “sous contrôle”. Près de 900 policiers ont été déployés pour faire face aux incidents, dont 500 à l’intérieur même du complexe pénitentiaire.
Le président Guillermo Lasso “tient une réunion avec le haut commandement des forces armées et de la police, un cabinet de crise a été mis en place”, selon Carlos Jijon. Le chef de l’État “a invité des représentants de la société civile à commencer à organiser un dialogue à l’intérieur de la prison afin de mettre fin à la barbarie qui s’y déroule”, toujours selon le porte-parole présidentiel.
Le chef de bloc libéré il y a deux jours avant
Débutées dans le bloc 2, les violences se sont étendues à d’autres blocs de cellules, où les gangs criminels (“Tiguerones”, “Lobos” et autres “Latin King”) liés au narcotrafic font régner la terreur. Vendredi soir, l’électricité de l’établissement a été sabotée pour faciliter l’attaque de nuit. Selon le gouverneur de la province de Guayas (dont Guayaquil est la capitale), Pablo Arosemena, “les échanges de tirs étaient très intenses, très près des portes d’entrée du pénitencier, avec des détonations”.
Les assaillants ont “essayé d’assiéger, de coincer” les détenus du bloc 2. Le chef de ce bloc, connu comme le leader des “Tiguerones”, a été libéré mercredi dernier après avoir purgé 60% de sa peine. “Ce bloc cellulaire (avec quelque 700 prisonniers) étant désormais sans chef, d’autres blocs, avec d’autres gangs, ont essayé de les briser, d’entrer et d’y perpétrer un massacre total”, a expliqué le gouverneur, dénonçant la “sauvagerie” des assaillants, qui ont fait usage d’explosifs pour percer les murs.
Selon la chef de la police, le général Tannya Varela, il y a un “vide” dans la prison en raison de l’absence de dirigeants dans plusieurs ailes, ce qui a déclenché une “une lutte pour le leadership”. Ce nouveau massacre “pourrait éventuellement conduire à d’autres actions”, a-t-elle averti.
Une nouvelle crise carcérale après celle de septembre
Samedi matin, le cadavre d’un détenu gisait sur le toit du bâtiment, aux murs blancs maculés de glaçantes traces de sang. Des images insoutenables diffusées dans la nuit de vendredi à samedi sur les réseaux sociaux ont montré des détenus dans une cour de la prison, s’acharnant à coups de bâtons sur un tas de corps entassés et en train de se consumer dans les flammes. Dans un tweet, le président Guillermo Lasso a présenté ses “sincères condoléances aux familles qui ont perdu des êtres chers” et a demandé la mise en place d’“outils institutionnels appropriés” pour faire face à cette nouvelle crise carcérale.
Le 28 septembre, 119 personnes sont mortes dans les mêmes circonstances dans cette même prison, lors du plus grand massacre de l’histoire carcérale de l’Équateur et l’un des pires en Amérique latine. Certains détenus avaient été démembrés, décapités, ou brûlés. Le président Lasso avait alors proclamé “l’état d’exception” dans les 65 prisons équatoriennes, promettant le déploiement d’importants renforts militaires. Le 12 octobre, la Cour constitutionnelle avait cependant limité la durée de cet ”état d’exception” à la fin novembre, et interdit que les militaires ne pénètrent à l’intérieur des prisons.
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