Et oui, la chaîne Youtube LeHuffPost a encore le droit à un article sur Allo Trends aujourd’hui, et en même temps c’est tout à fait logique vu la passion que met notre communauté à chaque fois qu’une nouvelle vidéo est disponible sur internet. Et c’est pour cela qu’on vous en parle aujourd’hui, cette toute nouvelle vidéo devrait vous intéresser.
Pour regarder la vidéo Nucléaire: Macron s'explique sur le dossier Alstom, Chevènement vole à son secours qui a été postée aujourd’hui par la chaîne Youtube LeHuffPost, cliquez sur la vidéo juste en haut. Vous pourrez ainsi la découvrir en streaming gratuitement directement sur notre site !
On pourrait retrouver dans les prochaines heures ce contenu dans l’outil tendance de Youtube vu le démarrage qu’elle fait ! Depuis que la chaîne Youtube LeHuffPost l’a postée, beaucoup d’internautes ne parlent plus que de ça sur les réseaux. Attendons cependant quelques heures avant d'être fixé sur le succès au nom de cette vidéo.
Vous rencontrez des soucis avec ce contenu ? Vous avez repéré une erreur dans la vidéo que vous souhaitez faire remonter au monteur ? Pour parler à un youtuber (c’est comme ça qu’on appelle les créateurs de contenus sur la plateforme Youtube), rendez-vous directement sur sa chaîne, dans la partie “A propos” plus précisément. Si il ne vous répond pas, réessayez sur ses réseaux sociaux : Facebook, Instagram ou Twitter par exemple !
Avant de se quitter, on espère déjà que la vidéo Nucléaire: Macron s'explique sur le dossier Alstom, Chevènement vole à son secours vous a plu, ou qu’elle a répondu en temps cas à vos attentes. Avant de se dire au revoir, on vous rappelle quand même que vous pouvez regarder d’autres vidéos de LeHuffPost en naviguant sur Allo Trends. Bien qu’on ait pas encore autant de contenus que Youtube, on y travaille chaque jour pour vous offrir le meilleur d’internet !
Les amis, c’est déjà la fin de ce petit édito, à bientôt pour un nouvel article sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Nucléaire: Macron s'explique sur le dossier Alstom, Chevènement vole à son secours publiée par la chaine Youtube LeHuffPost :
POLITIQUE - Jean-Pierre Chevènement à la rescousse d’Emmanuel Macron. En se rendant à Belfort ce jeudi 10 février pour discuter énergie et nucléaire, le président de la République a voulu s’entourer de cette figure emblématique de la gauche et de la région. Un choix très stratégique, qui a été rentabilisé.
Devant un petit groupe de salariés, le chef de l’État a confirmé la signature d’un accord d’exclusivité pour le rachat par EDF d’une partie de l’activité nucléaire de GE Steam Power, dont les très emblématiques turbines à vapeur Arabelle. Ces mêmes turbines avaient été vendues fin 2014 à l’américain General Electric lorsqu’Emmanuel Macron était ministre de l’Économie, dans le cadre de la vente de la branche énergie Alstom.
Au cours de ses cinq ans de mandat, cette vente lui a été reprochée régulièrement, débouchant sur une commission d’enquête et un renforcement de la réglementation des investissements étrangers. L’annonce de ce rachat a donc été l’occasion d’une nouvelle série de critiques de l’opposition, depuis les révélations du magazine Marianne le 3 février sur ce rachat à venir.
“C’était ça ou l’arrêt”, s’est justifié Emmanuel Macron après la question des salariés. Alors que ce site stratégique va retrouver le pavillon français, avec le rachat par EDF officialisé jeudi, le chef de l’État est revenu devant des salariés de l’usine sur les conditions qui ont présidé à la cession des activités, enclenchée quand il était secrétaire général adjoint de l’Élysée (2012-2014) et parachevée lorsqu’il était ministre de l’Économie (2014-2016).
“J’étais collaborateur (de François Hollande) à l’époque”, a rappelé le président, “et ce n’était pas l’État qui était à la tête d’Alstom”. “Compte tenu de son histoire, sa structure capitalistique, son emprise, l’État avait à en connaître, y compris aussi parce qu’il peut bloquer certains types d’investissements (jugés comme stratégiques, NDLR). Mais d’abord, c’était le choix d’une entreprise privée”, a-t-il martelé.
Soulignant que le ministre de l’Économie de l’époque, Arnaud Montebourg, avait été mis au courant de la transaction “très tard”, alors que “les documents étaient signés”, Emmanuel Macron a insisté sur la volonté du gouvernement d’alors de trouver des “alternatives”, sans succès.
Le chef de l’État a aussi argué que la vente de la branche énergie avait ”évité” à Alstom “de s’effondrer”, et avait même permis au groupe de “devenir un grand champion du transport”. “Cette aventure n’aurait pas été possible s’il n’y avait pas eu à ce moment-là ce qui était quasiment un sauvetage”, a mis en avant M. Macron, affirmant que “la viabilité” du groupe français était à l’époque mise en péril.
“Je pense que ce qui va être annoncé sert la France”
Après ces justifications, il a tendu le micro à “Jean-Pierre”. Lequel n’a pas hésité à en rajouter une couche: “On vous fait quelques fois un procès un peu injuste”, a déclaré l’ancien maire de Belfort, avant de détailler. “J’ai défendu Belfort. Quand j’ai vu le projet de vente d’Alstom à GE, mon sang n’a vraiment fait qu’un tour. J’ai réagi vivement, je suis allé vous voir pour vous en parler”, a raconté l’ancien édile.
“Mais vous m’avez fait remarquer, justement, que vous n’étiez pas ministre quand la transaction s’est faite. Vous m’avez remis le document (...) et il date du mois de juin. Vous êtes devenu ministre au mois d’août 2014. Ensuite les choses ont suivi leur cours. Mais on vous fait quelques fois un procès un peu injuste”, a-t-il jugé.
Jean-Pierre Chevènement ne s’est pas arrêté au passé. Il a aussi défendu les annonces du président sur le nucléaire et le lancement de nouveaux réacteurs, attendues cet après-midi. “L’horizon 2035, 2040, 2045 ça peut paraître loin, mais c’est le temps long. C’est ce qui justifie aussi l’intervention de l’État et de grandes entreprises publiques comme EDF. Le temps long, elles peuvent le maîtriser” et éviter ainsi les “problèmes de financement” aux lourdes conséquences sociales, a anticipé l’ancien ministre.
Avant de conclure: “Je pense que ce qui va être annoncé sert la France”. Du pain béni pour Emmanuel Macron, président presque candidat dont le discours à Belfort sera inévitablement perçu comme un embryon de programme sur le nucléaire.
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