Pour tout vous dire à la rédaction Allo Trends, on sait tout l'intérêt que porte notre communauté sur la chaîne Youtube de Dernières Meta-Nouvelles. A chaque nouveau contenu, l'intérêt est toujours plus grand que ce soit sur notre site ou bien même sur les réseaux sociaux. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.
La chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles a publié aujourd’hui une nouvelle vidéo qui s’appelle Assemblée nationale: 12 minutes pour abolir le serment au roi. Vous voulez découvrir cette vidéo et la regarder en streaming, vous êtes chanceux on vous l’a mis de côté !
Là vidéo est à peine postée depuis moins d’une heure qu’elle fait actuellement extrêmement parler d’elle sur le web. D’habitude les nouvelles vidéos de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles font bien moins parler. Bientôt en tendances ? C’est en tout cas tout le mal qu’on lui souhaite vu le boulot que fait cette chaine depuis de nombreuses années déjà !
A la télévision, il est très difficile de rentrer en contact avec les animateurs ou bien même les producteurs d’une émission. Sur internet c’est beaucoup plus facile de contacter un vidéaste lorsqu’on souhaite lui faire des retours à propos d’une vidéo publiée sur Youtube ! Pour obtenir l’adresse email d’un influenceur qui fait des vidéos sur internet, rendez vous sur la partie “A propos” de sa chaîne Youtube. Si malgré vos efforts, vous n’obtenez pas de réponse, essayez de le joindre sur un autre support. Twitter est très pratique pour contacter facilement les youtubers.
Avant de se quitter, on espère déjà que la vidéo Assemblée nationale: 12 minutes pour abolir le serment au roi vous a plu, ou qu’elle a répondu en temps cas à vos attentes. Dans notre plateforme, vous pourrez trouver d’autres vidéos de Dernières Meta-Nouvelles, jetez y un coup d'œil à l’occasion, c’est pratique et ça peut vous permettre de trouver des contenus que vous n’aviez jusqu'alors jamais vu encore sur le web !
Nous on se retrouve très prochainement pour un nouvel article sur Allo Trends, à bientôt !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Assemblée nationale: 12 minutes pour abolir le serment au roi publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :
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Les députés CAQ, libéraux et solidaires n'ont finalement mis qu'une dizaine de minutes, en toute fin de session parlementaire, pour adopter le projet de loi mettant fin à l'obligation de prêter serment devant le roi d'Angleterre. • À : Serment au roi en passe d'être aboli : Sol Zanetti soulagé de ne plus avoir à « souffrir » en prêtant allégeance • : Serment au roi Charles III : le trio PQ dans l'émission « Le monde à l'envers » • À : Abolition du serment du roi : « un geste important d'affirmation nationale », dit le ministre Roberge Dorénavant, seul le serment au peuple québécois sera requis pour siéger dans la salle bleue. Le projet de loi déposé mardi par le ministre Jean-François Roberge a été sanctionné par le lieutenant-gouverneur moins d'une heure après son adoption, il est donc déjà en vigueur. Le trio péquiste, qui n'a pas pu siéger dans la salle bleue faute d'avoir dûment prêté serment au roi, doit compléter son assermentation par la signature du livre de l'Assemblée nationale au bureau du secrétaire général, vendredi après midi. Une dizaine de minutes seulement se sont écoulées, vers 14 heures, entre l'adoption du principe du projet de loi et son adoption définitive par les trois partis présents dans l'hémicycle, qui s'étaient entendus pour procéder par la méthode rapide. Seule une poignée de députés étaient présents dans l'hémicycle pour vivre ce moment historique. Rappelons que même le Parti libéral du Québec, qui était au départ beaucoup moins enthousiaste que les autres partis à l'idée d'abolir le serment du roi, s'est rallié à la volonté d'une majorité de Québécois qui voulaient mettre fin à cet ancien tradition monarchique. Après des années de débat « Nous sommes des démocrates, pas des monarchistes », a souligné le ministre responsable des Institutions démocratiques, Jean-François Roberge, avant de soumettre son projet de loi aux votes des parlementaires. "Pour moi, aujourd'hui est une belle journée, c'est une journée d'unité nationale. Ça me touche profondément. […] C'est un grand pas pour la liberté de conscience», s'est réjoui le député uni Sol Zanetti, qui a déjà témoigné par le passé s'être senti «sali à jamais» en jurant fidélité à la reine Elizabeth II. Québec solidaire avait déposé un projet de loi pour mettre fin à ce serment, lors du dernier mandat, mais il est mort au feuilleton. "Le gouvernement n'est pas à l'abri des contestations judiciaires, nous voulons que les conseils juridiques qu'il a reçus soient solides", a déclaré le leader libéral à la Chambre, Monsef Derraji. "Cette question a pris beaucoup de place dans l'espace public", a relevé le député de Nelligan, qui s'est dit heureux de pouvoir tourner "cette page d'histoire", afin de pouvoir revenir au "vrai » et les « vraies préoccupations des Québécois » lors de leur retour à la chambre le 31 janvier. Entrée du PQ le 31 janvier Le trio PQ devra attendre cette date avant de pouvoir entrer dans la Blue Room. Pour le chef péquiste Paul St-Pierre Plamondon, qui a été élu député de Camille-Laurin le 3 octobre dernier, ce sera une première. Rappelons que les trois élus du Parti québécois se sont heurtés à des portes closes au Salon bleu lorsqu'ils ont tenté d'y entrer sans avoir prêté serment au roi Charles III la semaine dernière. Le projet de loi 4 du ministre Roberge ne comportant que deux articles courts, les députés péquistes auraient souhaité que le projet de loi soit adopté et sanctionné avant la fin de la session, afin de pouvoir siéger au moins une fois dans la salle bleue avant le congé des Fêtes. Le député de Matane-Matapédia, Pascal Bérubé, a notamment accusé les autres partis d'avoir « accepté » de garder les députés péquistes à l'extérieur de la salle bleue jusqu'à la fin de la session. "C'est le prix qu'on nous fait payer pour nous lever", a-t-il écrit jeudi. « C'est un projet de loi de deux articles, là, ça a pris dix minutes, a prédit vendredi matin le chef péquiste Paul St-Pierre Plamondon. Les autres partis ont choisi de ne traiter de cette question qu'aujourd'hui, de sorte que nous ne siégeons pas. Je voulais poser une question au premier ministre. J'aurais beaucoup aimé ça. En même temps, si on prend du recul, le plus important est que cette question soit résolue. Faux complot, disent le PLQ et QS Les Libéraux et Solidarité ont nié l'existence d'une telle entente entre les partis pour empêcher le PQ de venir siéger avant la fin de la session. Ils nous rappellent que c'est le gouvernement qui contrôle l'agenda. "Je vais être très clair, c'est complètement faux", a déclaré le leader parlementaire libéral Monsef Derraji. Surtout venant d'un député d'expérience, il sait très bien comment ça marche, il sait très bien que l'ordre du jour de l'étude des projets de loi est entre les mains du leader du gouvernement. « Je pense que M. Plamondon et ses deux collègues voient