Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne Art du Backgammon, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.
La chaîne Youtube Art du Backgammon a publié aujourd’hui une nouvelle vidéo qui s’appelle Droit de l'immigration: Au centre de détention de Roissy "c'est un problème, nous n'avons pas à mang. Vous voulez découvrir cette vidéo et la regarder en streaming, vous êtes chanceux on vous l’a mis de côté !
Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube Art du Backgammon qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.
N’oubliez pas que vous pouvez contacter l’auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos remarques et conseils ou bien même pour le questionner sur le sujet de son contenu. Pour parler à un youtuber (c’est comme ça qu’on appelle les créateurs de contenus sur la plateforme Youtube), rendez-vous directement sur sa chaîne, dans la partie “A propos” plus précisément. Si il ne vous répond pas, réessayez sur ses réseaux sociaux : Facebook, Instagram ou Twitter par exemple !
On est bientôt à la fin de la news sur la vidéo Droit de l'immigration: Au centre de détention de Roissy "c'est un problème, nous n'avons pas à mang, toute l’équipe Allo Trends espère que vous l’avez trouvé intéressante à lire. Dans notre plateforme, vous pourrez trouver d’autres vidéos de Art du Backgammon, jetez y un coup d'œil à l’occasion, c’est pratique et ça peut vous permettre de trouver des contenus que vous n’aviez jusqu'alors jamais vu encore sur le web !
Mesdames et messieurs, nous arrivons à la fin de cet article Allo Trends, nous espérons que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire, enfin au moins autant que nous on a eu à l’écrire !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Droit de l'immigration: Au centre de détention de Roissy "c'est un problème, nous n'avons pas à mang publiée par la chaine Youtube Art du Backgammon :
#Droitlimmigration #Au #centredétention
https://gotopnews.com/post/1238876
Un centre de rétention administrative est le steak végétalien de la prison. Ça a la texture d'une prison , ça sent la prison , mais "ce n'est pas la prison", prévient le commandant de police en charge du CRA du Mesnil-Amelot, au pied du Les pistes de l'aéroport Roissy - Charles-de-Gaulle. Pour éviter toute confusion, même le vocabulaire compte. En prison, on a des « détenus » alors qu'ils ne sont que « détenus » dans un CRA, même si dans un cas comme dans l'autre, ils ne peuvent franchir librement les murs d'enceinte. Et quand ils le font illégalement, ce n'est pas une « évasion » mais une simple « fuite ». Évidemment, les différences ne s'arrêtent pas à une question lexicale. Les prisons permettent d'exécuter une décision de justice alors que les CRA ont pour objet de « maintenir dans un lieu clos un étranger faisant l'objet d'une décision d'éloignement [comme les fameuses Obligations de Quitter le territoire français ], en attendant son renvoi forcé". Mais surtout, les prisons relèvent du ministère de la Justice et les CRA relèvent de l'Intérieur, et sont à la discrétion de l'administration. Et cela a mille conséquences. Le passeport parlementaire Par exemple, visiter un ARC est beaucoup plus complexe. Il fallait donc passer par un parlementaire. Ici Julien Bayou, député Nupes-EELV de Paris, qui a le droit de se rendre à l'improviste dans un ARC en emmenant des journalistes. En ce mardi après-midi de fin décembre, nous sommes donc cinq journalistes à l'accompagner au Mesnil-Amelot, en Seine-et-Marne. Le ciel est d'un gris uniforme et il pleut, histoire de rendre un peu plus moche l'immeuble d'un étage aux tuiles oranges. La visite inopinée empêche les autorités de cacher la poussière sous le tapis, mais la commandante de la police des frontières qui gère le site n'est pas déstabilisée pour autant, elle qui reçoit « 2-3 visites par semaine ». De plus, elle semble expérimentée dans son rôle de guide et emmène la petite troupe dans ce CRA qui compte 120 places pour les hommes. La cour grillagée est en plein dans le couloir aérien de Roissy. On commence la visite par le greffe où un grand tableau répertorie les OQTF puis la salle des fouilles avec un espace de rangement où sont entreposés les effets personnels des "détenus". Après avoir traversé une grande cour grillagée, survolée de très près par un avion de ligne, on arrive dans un quartier résidentiel. Une petite pièce avec TV et deux tables rivetées sert de salle commune. Le bloc sanitaire ressemble aux vestiaires de la salle de sport commune. Enfin, les chambres - certains diraient des cellules - sont de petites pièces composées de deux lits superposés, d'une étagère et d'une table. Une seule fenêtre, pratiquée dans la porte d'entrée, donne accès à la lumière naturelle. L'intérieur d'une pièce, pour le moins sommaire. Chaque bloc résidentiel est verrouillé à la tombée de la nuit. « Nous appelons le soir puis fermons les grilles », explique le commandant. Mais l'horaire est variable, vers 21h-22h en hiver et plus tard en été s'ils continuent à jouer au foot dans la cour. En revanche, la communication entre chambres reste possible et il n'est pas rare que des "détenus" déplacent les matelas pour se regrouper dans une chambre. « Ils peuvent être 3-4 à coucher ensemble, témoigne la policière. Elle n'est pas gênante si elle est rassurante et si elle est facteur de paix. De cette façon, ils se sentent en sécurité. » Les lavabos de la salle de bain commune. Même si ce jour-là, le sentiment d'insécurité n'est pas très présent , les tensions au CRA sont monnaie courante. La police constate ainsi de plus en plus d'affrontements entre détenus, pour des vols par exemple. Des sourins artisanaux sont, selon eux, régulièrement saisis. En août dernier, une mutinerie a même éclaté. Il faut dire que dans ce CRA notamment, une grande partie des "détenus" sont d'anciens détenus, environ 70% selon une estimation policière. Après avoir purgé leur peine, ils sont envoyés à l'ARC en attendant leur expulsion. Sans oublier les personnes atteintes de troubles psychiatriques ou toxicomanes. A l'isolement "jusqu'au retour du calme" Face à ces tensions, "nous recourons de plus en plus à l'isolement", confesse le commandant du site. L'isolement est une cellule rectangulaire avec un lit superposé et des toilettes. La durée de l'isolement cellulaire est très variable. En gros, « jusqu'au retour du calme ». Ce qui fait dire à Julien Bayou que "le code est vague et qu'on a finalement très peu de règles valables". Il existe actuellement deux cellules d'isolement mais une seule est opérationnelle. La cloison de l'autre était cabossée par les métacarpiens d'un "détenu". Des travaux sont en cours pour en créer un troisième. La cellule d'isolement. Face à ces tensions croissantes, le management est peu ou pas formé.