Beaucoup d’entre-vous nous suivent depuis bien longtemps sur Allo Trends, et vous savez déjà que nous partageons très régulièrement les nouveaux contenus vidéos de la chaîne Youtube Art du Backgammon dont notre communauté est extrêmement friande. C'est pourquoi nous avons décidé de faire un billet sur le sujet, car nous sommes sûrs que vous apprécierez cette nouvelle vidéo.
En effet, la chaîne Youtube Art du Backgammon a décidé aujourd’hui de poster une nouvelle vidéo qui porte le titre de “Enquête sur l'assaut du Capitole: Pourquoi le nœud coulant se resserre autour de Donald Trump”. Évidemment, vous pouvez dès à présent la retrouver en lecture intégrale sur notre site pour votre plus grand plaisir !
Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube Art du Backgammon qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.
Vous avez une question à faire part à l’auteur de cette vidéo ? Ou peut-être tout simplement un message à faire passer. Par contre, même si vous trouvez l’adresse email d’un Youtuber en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne Youtube, rien ne vous garantit qu’il va vous répondre… Essayez dans ce cas de le contacter sur les réseaux sociaux, la plupart utilisent Twitter, d’autres Instagram, les plus vieux sont quant à eux toujours sur Facebook !
Vous avez maintenant toutes les informations sur la vidéo Enquête sur l'assaut du Capitole: Pourquoi le nœud coulant se resserre autour de Donald Trump, on espère que ça vous convient et que vous y avez trouvé votre intérêt. Nous espérons vous retrouver au plus vite sur Allo Trends, d’ici là vous allez pouvoir regarder d’autres vidéos de Art du Backgammon en cherchant un peu sur notre plateforme dédiée. Si vous avez déjà fait le tour, allez sur Youtube, le contenu y est quasi infini !
Mesdames et messieurs, nous arrivons à la fin de cet article Allo Trends, nous espérons que vous avez pris beaucoup de plaisir à lire, enfin au moins autant que nous on a eu à l’écrire !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Enquête sur l'assaut du Capitole: Pourquoi le nœud coulant se resserre autour de Donald Trump publiée par la chaine Youtube Art du Backgammon :
# #Enquêtelassaut #Capitole #Pourquoinœud
https://gotopnews.com/post/1165986
La commission d'enquête parlementaire sur l'assaut du Capitole du 6 janvier 2021 recommande des poursuites pénales contre l'ancien président américain, notamment pour appel à l'insurrection et complot contre l'État. C'est l'aboutissement de 18 mois d'enquête. La chambre d'enquête sur l'assaut du Capitole, survenu le 6 janvier 2021, a recommandé, lundi 19 décembre, l'ouverture de poursuites pénales contre l'ex-président Donald Trump, notamment pour appel à l'insurrection et complot contre l'État américain. . Cette décision est historique, car elle vise un ancien chef d'État. Lequel a d'ailleurs aussitôt dénoncé une manœuvre visant, selon lui, à entraver sa nouvelle candidature à la présidence américaine. "C'est bouleversant", a déclaré mardi sur franceinfo Marie-Cécile Naves, directrice de recherche à l'Institut des relations internationales et stratégiques . Pour ce spécialiste venu des Etats-Unis, la publication de cet avis marque une nouvelle étape cruciale. "L'étau se resserre autour de Donald Trump", note-t-elle. Franceinfo vous explique pourquoi. Parce que la commission d'enquête recommande des poursuites pénales à son encontre La "cause principale" de la prise d'assaut du Capitole américain en janvier 2021, "était un homme : l'ancien président Donald Trump, suivi de tant d'autres". C'est la conclusion de la commission d'enquête parlementaire dédiée à cette agression, dans un rapport préliminaire publié lundi. C'est pourquoi ses neuf membres - sept démocrates et deux républicains - ont recommandé que des poursuites pénales soient engagées contre l'ancien président américain. "Aucun des événements du 6 janvier n'aurait eu lieu sans lui", insistent-ils dans leur imposant rapport final. Il doit sortir mercredi, mais 154 pages de résumé ont été publiées lundi. Selon l'AFP, qui en dévoile l'essentiel, le document cite clairement les articles de loi qui, de l'avis de la commission parlementaire, auraient été bafoués par Donald Trump, soutenant ainsi les quatre chefs d'accusation recommandés au ministère de la Justice : appel à insurrection, complot contre l'Etat américain, obstruction à une procédure officielle et fausses déclarations. Ainsi, selon leur récit, l'ancien président américain savait que certaines de ses déclarations étaient fausses, et que son choix de se déclarer - à tort - vainqueur de l'élection de 2020 "était prémédité". Les neuf membres de la commission ont voté à l'unanimité en faveur de ces recommandations. Mais leur vote est largement symbolique, car ils ne peuvent pas inculper eux-mêmes l'ex-magnat de l'immobilier. Comme l'a résumé un chroniqueur de MSNBC : « La commission ne peut pas forcer la main au ministère de la Justice. C'est lui qui a le dernier mot et décidera de poursuivre ou non Donald Trump. Parce que les preuves s'accumulent En tout état de cause, le procureur général des États-Unis, Merrick Garland, n'est pas tenu de suivre les recommandations de la commission. En première ligne dans ce dossier extrêmement politique, le "Attorney General" voudra très certainement d'abord s'assurer qu'il a un dossier concret avant de prendre le risque d'agir. Parce qu'il cultive une image de neutralité et qu'il sait bien que, dans l'histoire des États-Unis, pas un seul ancien président américain n'a été inculpé pour un crime. C'est d'ailleurs la principale raison pour laquelle il a nommé, le 18 novembre, un procureur spécial censé être indépendant, Jack Smith. Ce dernier a repris le travail déjà bien avancé des dizaines de procureurs fédéraux et de policiers du FBI, qui ont rassemblé une masse de preuves dans d'autres enquêtes, notamment sur les manœuvres du leader républicain pour contester l'élection présidentielle de 2020 et sur les agissements de ses partisans qui ont conduit aux troubles du 6 janvier 2021. Jack Smith pourra donc jauger s'il convient ou non de poursuivre Donald Trump. Néanmoins, il pourrait privilégier des accusations différentes de celles recommandées par les parlementaires. Par exemple, l'appel à l'insurrection est le chef d'accusation le plus grave dont pourrait être accusé l'ex-président, aujourd'hui âgé de 76 ans, mais c'est aussi, selon les experts, l'imputation la plus difficile. prouver. Parce qu'il est visé dans d'autres procédures judiciaires Outre l'enquête sur la prise d'assaut du Capitole, Jack Smith est en charge d'une deuxième enquête, qui concerne la manipulation par Donald Trump de documents potentiellement hautement confidentiels à son domicile de Mar-a-Lago, en Floride, alors qu'ils sont censés être archivés. Au moment de sa nomination, le procureur avait, avec le ministre américain de la Justice, "souligné qu'ils entendaient faire avancer au plus vite" ces deux enquêtes, rappelle Politico . Dans cette deuxième enquête, la célèbre résidence floridienne de Donald Trump a été