Vous avez encore été très nombreux sur les réseaux sociaux ces dernières semaines à nous demander de vous partager des nouveaux contenus issus de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles, continuez à nous envoyer des messages ça nous fait très plaisir de savoir que nos contenus vous plaisent. C'est pourquoi nous avons décidé de faire un billet sur le sujet, car nous sommes sûrs que vous apprécierez cette nouvelle vidéo.
Comme bien souvent lorsque la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles poste un nouveau contenu sur internet, vous pouvez le trouver sur notre site. Pour regarder la toute dernière vidéo qui s’appelle “Guerre en UkraineÀ Kherson, nous nous méfions des collaborateurs russes”, c’est juste en haut !
De nombreuses personnes parlent de cette nouvelle vidéo depuis plusieurs heures sur les réseaux sociaux et elle a également fait naître de nombreux commentaires sur les forums qu’on trouve sur la toile. D’ailleurs la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles n’en est pas à son coup d’essai en publiant une vidéo qui fait sensation. Nous savons bien que vous êtes souvent très intéressés par ce type de contenu.
Grâce à Internet, on peut aisément parler aux vidéastes pour leur poser toutes les questions qu’on a en tête, ou bien même leur faire part de critiques (constructives s’il vous plaît!). Beaucoup de gens galèrent à contacter les créateurs de contenus sur internet, mais sur Youtube c’est pourtant très simple, il suffit juste de se connecter sur la chaîne en question, et d’aller dans la partie “A propos” pour trouver l’adresse email que vous cherchez ! Cependant Twitter reste toujours une très bonne alternative qui fonctionne relativement bien pour entrer en contact avec un Youtuber.
Et voilà, on arrive bientôt à la fin de cet article, vous venez de découvrir tout ce qu’on savait à propos de la vidéo Guerre en UkraineÀ Kherson, nous nous méfions des collaborateurs russes. Retrouvez dès maintenant d’autres vidéos similaires sur notre plateforme, on vous fait confiance pour dénicher d’autres pépites. Si et seulement si vous avez déjà fait le tour de notre site, alors foncez sur Youtube voir d’autres contenus exclusifs de Dernières Meta-Nouvelles.
Hâte de découvrir des nouveaux contenus en votre compagnie, à la prochaine sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Guerre en UkraineÀ Kherson, nous nous méfions des collaborateurs russes publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :
# #GuerreUkraineÀ #Kherson #méfionscollaborateurs
À Kherson, nous nous méfions des collaborateurs des Russes «Allez!Montrez vos mains, sortez vos papiers!«: Sur une plage sur les rives du Dnieper à Kherson, dans le sud de l'Ukraine, la police armée de vise deux hommes qui viennent d'accoster avec leur bateau. Emmanuel Peuchot Agence France-Press La scène se déroule sur la rive droite de la rivière, en aval de la ville libérée le 11 novembre par des soldats de Kyiv, après huit mois d'occupation par les forces russes, maintenant retirées à la rive gauche. Il symbolise le climat de suspicion qui règne à Kherson, où les autorités craignent toujours la présence de personnes qui auraient collaboré, ou même encore collaborée, avec les Russes, et cherchent à les identifier. Les deux hommes venaient d'évacuer l'une des îles bordant la côte est, une zone grise où les forces ukrainiennes sont absentes et qui est de facto contrôlée par Moscou, même si les soldats russes y sont invisibles. «Les évacuations ne sont autorisées qu'au port .C'est illégal ici ", a déclaré l'un des policiers à l'AFP. Au port, "il y a des responsables de ces" mesures de stabilisation "qui vérifient si les personnes étaient impliquées ou non" dans la collaboration, poursuit-il. Mais le contrôle est interrompu: deux roquettes tombent sur une île à 200 mètres devant la plage, libérant un panache de fumée noire. Le Dnieper est devenu la nouvelle ligne de front. Les deux hommes et la police se sont enfuis pour se cacher.L'interrogatoire reprendra une fois que le calme sera revenu. Forte présence policière Après l'euphorie de la libération, Kherson vit maintenant sous un contrôle policier étroit, qui est très présent et visible. Filtrage des points aux sorties de la ville, Patrols in the Streets: The Blue Check Identity Papers, posez des questions, recherchez les troncs des voitures, pour éliminer les "collaborateurs". Ces gens sont ici depuis plus de huit mois.Ils ont travaillé pour le régime russe et maintenant nous avons des informations et des documents sur chacun d'eux.Notre police sait tout à leur sujet et chacun d'eux sera puni.Yaroslav Yanushevich, gouverneur de la région de Kherson Lors d'un grand carrefour à la fin d'un pont qui mène à la zone industrielle et portuaire, un vieil homme s'approche de l'un des policiers qui projettent des voitures et des passants.Il lui demande où il peut aller pour remplir les deux carboys à la main avec de l'eau. "Vous dites que vous êtes un local et que vous ne savez pas où se trouve le point d'eau?" Demande, suspecte, le policier. L'homme devra montrer une photocopie usagée retirée de sa poche pour prouver son identité. Des chèques sont également faits à la gare, où certains habitants évacuent encore la ville par un train quotidien. Dans une pièce séparée, cinq policiers sont assis devant autant de petites tables et chacun interroge un évacué assis en face, a noté l'AFP. Dénoncer les «traîtres» Photo Genya Savilov, Agence France-Presse a Graffiti se lit comme suit: «La première règle du Kherson Club: Kherson est ukrainien, toujours et sans compromis." Sur certaines avenues de la ville, les grandes affiches de propagande de l'occupant qui ont salué la Russie ont disparu en faveur d'autres dans la gloire de la libération de Kherson. Mais d'autres affiches ont également semblé inviter des résidents à dénoncer ceux qui ont collaboré avec les forces russes. «Fournir des informations sur les traîtres ici», indique l'un d'eux en faisant référence au code QR d'une demande ou d'un numéro de téléphone. "Cela nous aide à les identifier, à savoir s'ils sont sur le territoire que nous contrôlons", justifie le gouverneur de la région. "La plupart des informations sont reçues de la population locale lors de conversations simples [...] Nous analysons également les comptes sur les réseaux sociaux et continuons de surveiller Internet", explique à l'AFP Andriï Kovanyi, responsable des relations publiques de la police.de la région de Kherson. Après la police, les services de sécurité ukrainiens reprennent les enquêtes. Selon le vice-ministre de l'Intérieur, Yevgen Yenin, plus de 130 personnes ont déjà été arrêtées pour collaboration dans la région de Kherson. Interrogés devant l'un des panneaux, les résidents étaient plutôt favorables au principe de dénonciation. Pavel, 40 ans, qui ne souhaite pas donner son nom, croit «toujours bon d'aider à trouver un collaborateur ou un traître.Nous devons aider nos forces armées à attraper ceux qui travaillaient pour la Russie ». Depuis la libération de la ville, les grèves russes ont ciblé les infrastructures énergétiques, mais aussi des maisons et des civils ont été tués. «Nos maisons sont également ardées pour le moment.Et je pense que ce sont des collaborateurs qui aident à cibler nos maisons », explique Iryna, 35 ans, pour sa part. D'un autre côté, Vyacheslav pense qu'il sait "que