Comme vous le savez, ce n’est pas la première fois qu’on parle de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles sur Allo Trends, et à chaque fois ça vous captive toujours autant ! En même temps, on vous comprend, les contenus qu’on y trouve sont tout simplement uniques. Voilà pourquoi nous vous écrivons aujourd’hui cet article, car on sait déjà que cela va susciter votre intérêt.
Pour regarder la vidéo Le "vieux" ne sauvera pas l'économie qui a été postée aujourd’hui par la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles, cliquez sur la vidéo juste en haut. Vous pourrez ainsi la découvrir en streaming gratuitement directement sur notre site !
Là vidéo est à peine postée depuis moins d’une heure qu’elle fait actuellement extrêmement parler d’elle sur le web. D’habitude les nouvelles vidéos de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles font bien moins parler. Bientôt en tendances ? C’est en tout cas tout le mal qu’on lui souhaite vu le boulot que fait cette chaine depuis de nombreuses années déjà !
Avez-vous un problème avec cette vidéo ? Ou bien avez-vous vu une petite erreur dans le contenu que vous venez de regarder ? Si vous souhaitez faire des retours au créateur de la vidéo, n'hésitez pas à contacter l’auteur en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne youtube. Ou bien en tentant de le joindre sur ses réseaux sociaux tout simplement, c’est quand même bien pratique des fois twitter !
Normalement si vous êtes encore en train de lire cet article, c’est que la vidéo Le "vieux" ne sauvera pas l'économie a dû vous faire plaisir et qu’on ne s’est pas trompé en vous incitant à la regarder. Le saviez-vous ? Sur Youtube, vous pouvez trouver d’autres vidéos de Dernières Meta-Nouvelles qui ont pu être uploadé par d’autres utilisateurs et qui ne sont pas encore référencés sur Allo Trends. Si jamais vous êtes curieux, allez y faire un tour, on ne sait jamais !
Nous on se retrouve très prochainement pour un nouvel article sur Allo Trends, à bientôt !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Le "vieux" ne sauvera pas l'économie publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :
# #Le #vieux #sauveraléconomie
Selon une étude très éclairante de l'Institut du Québec, il est illusoire de penser que de nombreux retraités retourneraient sur le marché du travail, même avec de généreux incitatifs.
Je croyais qu'il fallait mettre nos œufs dans le panier des travailleurs expérimentés. Que leur maintien sur le marché du travail pallierait grandement la pénurie de main-d'œuvre. Que les "vieux" sauveraient l'économie, ou presque.
J'ai déchanté à la lecture de l'étude très éclairante sur la question de l'Institut du Québec (IDQ). Ses auteurs Emna Braham et Simon Savard estiment qu'il faut certes chérir ce bassin de main-d'œuvre, mais selon leurs calculs, le potentiel est somme toute limité.
Premièrement, expliquent-ils, il est illusoire de penser que de nombreux retraités retourneraient sur le marché du travail, même avec des incitations généreuses. Après avoir passé en revue les études sur le sujet, ils constatent que « le succès pour convaincre les gens de retourner au travail est très limité ».
Ensuite, les démarches pour retenir les travailleurs expérimentés encore actifs n'auraient pas autant d'impact qu'on pourrait l'imaginer. Pourquoi ? Car dans 10 ans, ce bassin de travailleurs aura fortement diminué, avec le vieillissement des baby-boomers et l'arrivée d'une génération X moins nombreuse.
Actuellement, la proportion de travailleurs âgés de 60 à 69 ans qui sont actifs sur le marché du travail est de 39,1 % au Québec, un niveau beaucoup plus bas qu'ailleurs dans le monde. En supposant que l'on atteigne le taux d'activité de l'Ontario d'ici 10 ans (46,3 %), ce qui est réaliste, seulement 37 000 personnes s'ajouteraient au marché du travail au Québec.
Ce volume n'est pas négligeable, loin de là, mais il faut savoir qu'il manque 255 000 personnes pour combler les postes actuellement vacants au Québec, dont environ 100 000 détenant un diplôme d'études postsecondaires.
L'essor des travailleurs expérimentés est dû, entre autres, au fait que cet écart avec l'Ontario, s'il se comblait instantanément aujourd'hui, ajouterait 86 000 travailleurs. Mais ce volume tomberait à 37 000 d'ici 10 ans, avec le départ des baby-boomers.
Lors de la campagne électorale, trois des cinq partis – mais pas la CAQ – ont promis de réduire davantage les impôts des travailleurs d'expérience pour les inciter à rester sur le marché du travail et ainsi combler une partie de la pénurie.
Selon l'IDQ, les mesures financières, bien que louables, finissent par coûter cher lorsqu'elles sont réduites par l'employé retenu. La raison ? Des fonds sont versés même à ceux qui seraient restés au travail de toute façon.
Le crédit d'impôt pour prolongation de carrière, d'un maximum de 1 650 $ pour les personnes âgées de 65 ans et plus, est graduellement réduit à partir de 35 650 $ de revenus et s'éteint complètement à 68 650 $. Le crédit entre 60 et 64 ans est de 1 500 $ et suit le même type de régression.
« Si elles permettent d'augmenter le bassin de travailleurs disponibles, les mesures [actuelles] ne sont pas le meilleur outil pour retenir les travailleurs les plus qualifiés », plaide l'IDQ, notamment parce que leurs revenus les rendent inadmissibles au crédit.
Selon l'IDQ, la reprise du taux d'activité des travailleurs expérimentés, bien qu'essentielle, n'est qu'un des leviers pour satisfaire le marché du travail. L'automatisation, la réorganisation du travail, notamment dans le secteur public, l'augmentation de la productivité et l'immigration sont d'autres éléments du puzzle.
« Ce n'est pas qu'une question de nombre, mais aussi d'utilisation judicieuse des compétences de ceux qui restent et de transfert de compétences », explique Emna Braham, directrice générale de l'Institut du Québec.
Autre élément : avant d'attirer des investissements au Québec, il faut penser à la rareté de la main-d'œuvre, selon les secteurs. Un informaticien engagé par une nouvelle entreprise étrangère est un informaticien de moins pour le secteur public et les entreprises existantes.
Cependant, certaines mesures peuvent être plus efficaces que d'autres pour retenir les employés expérimentés. Et pas toujours les plus spectaculaires.
Premièrement, les travailleurs expérimentés ont besoin d'un meilleur soutien pour concilier travail et famille. À cet âge, beaucoup sont des soignants – surtout des femmes – qui s'occupent de leurs parents vieillissants, dont le nombre va exploser dans les années à venir. Un système de santé mieux adapté favoriserait le maintien dans l'emploi des « enfants » de 55 ans et plus.
D'autre part, les travailleurs expérimentés ont besoin de formation pour se tenir au courant des nouveaux développements, en particulier dans le domaine technologique. Le gouvernement pourrait augmenter les incitations à la formation en entreprise pour les personnes âgées de 50 ans et plus. La formation autonome pourrait également être encour