Lithium: Lorsque la "Battery Valley" devient un argument pour attirer l'usine de Limatech (en face d

Une nouvelle vidéo de Dernières Meta-Nouvelles est apparue sur Youtube le 14 octobre 2022 et elle a reçu un gros accueil de la part des internautes.

Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne Dernières Meta-Nouvelles, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

La chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles a publié aujourd’hui une nouvelle vidéo qui s’appelle Lithium: Lorsque la "Battery Valley" devient un argument pour attirer l'usine de Limatech (en face d. Vous voulez découvrir cette vidéo et la regarder en streaming, vous êtes chanceux on vous l’a mis de côté !

Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.

A la télévision, il est très difficile de rentrer en contact avec les animateurs ou bien même les producteurs d’une émission. Sur internet c’est beaucoup plus facile de contacter un vidéaste lorsqu’on souhaite lui faire des retours à propos d’une vidéo publiée sur Youtube ! Cependant, rien ne vous garantit qu’il vous répondra. Mais qui ne tente rien n’a rien ! Pour entrer en contact direct avec un vidéaste, essayez de trouver ses réseaux sociaux et envoyez lui un message public ou privé. Vous pouvez aussi trouver le mail d’un Youtuber sur sa chaîne Youtube en cliquant sur “A propos”. Vous obtiendrez ainsi sa précieuse adresse email.

Bon et bien c’est bientôt le moment de conclure ce papier, vous pouvez revoir la vidéo Lithium: Lorsque la "Battery Valley" devient un argument pour attirer l'usine de Limatech (en face d si vous le souhaitez, elle devrait être encore disponible quelque temps. Dans notre plateforme, vous pourrez trouver d’autres vidéos de Dernières Meta-Nouvelles, jetez y un coup d'œil à l’occasion, c’est pratique et ça peut vous permettre de trouver des contenus que vous n’aviez jusqu'alors jamais vu encore sur le web !

On se retrouve bientôt pour un nouveau contenu sur Allo Trends, et en attendant on se dit Ciao à la prochaine !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Lithium: Lorsque la "Battery Valley" devient un argument pour attirer l'usine de Limatech (en face d publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :

# #Lithium #Lorsque #BatteryValley
Elle était partie pour mieux revenir, au gré des financements si difficiles à trouver dans l'industrialisation des technologies de rupture. Le Leti, spin-off du CEA, développe depuis 2016 des batteries lithium-fer-phosphate (LFP) pour accompagner la décarbonation de l'aviation, d'abord régionale, puis moyen-courrier.

Avec trois promesses principales : proposer une technologie 3 fois plus légère, 2,5 fois plus durable, mais qui nécessiterait aussi 2 fois moins d'entretien que les batteries actuelles (à base de plomb ou nickel cadmium). "Notre technologie est aussi 20% plus performante que les batteries de notre principal concurrent américain sur le marché, grâce à l'électronique de précision que nous avons développée", souligne à La Tribune Florence Robin, présidente de Limatech.

Mais après avoir obtenu une première série de financements dédiés à la R&D à Grenoble, elle avait obtenu un prêt honorifique au sein de l'écosystème aéronautique toulousain, ce qui l'avait conduite à déménager son siège social en Occitanie.

Mais à l'aube de son industrialisation, la pépite, qui cherchait une nouvelle fois une terre d'accueil (et des financements) pour produire ses premières batteries en volume, a finalement opté pour un retour aux sources, au sein de l'écosystème grenoblois. . Et pour une bonne raison :

« Outre la présence du CEA, Grenoble est une véritable vallée de l'électronique, ce qui nous sera bénéfique pour embaucher des électroniciens mais aussi pour rapprocher nos laboratoires de R&D de la phase d'industrialisation de cette nouvelle étape », précise Florence Robin, qui planche déjà sur un plan de recrutement qui devrait faire passer ses effectifs de 28 à 100 personnes, principalement sur son site de production pilote de Voreppe, situé à quelques kilomètres de Grenoble, et où tout reste à construire.

Car sur un total de 1 200 m2 disponibles, seuls 300 m2 sont encore aménagés, sur un site isérois où devraient être logées trois lignes de production. Avec un objectif : produire 500 batteries par an dès l'an prochain, pour atteindre 30 000 unités par an d'ici 2028.

Le virage d'un investisseur russe vers d'autres options

Pour sécuriser cet investissement, la startup s'apprête à boucler un deuxième tour de table, qui aura été ralenti et bousculé par la crise ukrainienne : car alors qu'elle s'apprêtait à lever jusqu'à 20 millions d'euros, Limatech a dû rebrousser chemin vers son principal prospect il y a quelques mois, qui n'était autre qu'un investisseur russe...

Enfin, le virage à 180 degrés devra encore inclure la levée d'au moins 10 millions d'euros afin de financer sa première usine pilote. Cependant, cette chaîne de production ne sera pas la dernière : car dans le but de produire au plus près de ses marchés, Limatech envisage déjà de déployer ultérieurement d'autres sites de production à l'étranger, et notamment aux États-Unis et en Asie.

"On ne nous interdit pas non plus de déployer une deuxième usine plus proche d'Airbus", glisse Florence Robin.

Actuellement en train de finaliser cette opération, la deeptech espère désormais pouvoir l'officialiser dès décembre prochain. Avec à la clé de nouveaux investisseurs, qui viendront renforcer une première enveloppe de Bpifrance et de prêts bancaires.

"Aujourd'hui, le vrai problème, c'est que les startups industrielles ne trouvent pas de financements privés, en dehors des financements publics que nous avons déjà pu lever".

Pour Florence Robin, c'est avant tout une forme de méconnaissance des acteurs du capital investissement sur la vie des start-up industrielles qui, même si la thématique fait désormais partie des priorités abordées par le gouvernement français à travers l'émergence de clubs comme France La Tech Factory d'Industrie, peine encore à se transformer. « Des fonds sont en train d'être levés mais on parle plutôt d'une logique à plus long terme. Or, si on veut aller vers une réindustrialisation de la France, il va falloir la financer », argumente le président de Limatech.

Un marché qui peine à convaincre les investisseurs non avertis

D'autant que sur le marché aéronautique, les voies de décarbonation peuvent être jugées complexes par des investisseurs peu familiers du secteur.

Limatech estime faire face à un double défi : "on voit que, d'une part, les grands projets comme Verkor sont, par exemple, portés par des constructeurs comme Schneider Electric ou Renault, ou ont tendance à attirer principalement des fonds étrangers, et généralement hors d'Europe. Cela pose de vrais enjeux de souveraineté pour le secteur, d'autant plus que ces projets ont pu démarrer grâce à des financements publics ».

Florence Robin ne s'en cache pas : elle a déjà reçu des propositions, jugées parfois très attractives financièrement, d'investisseurs chinois, russes ou moyen-orientaux. « Dans un domaine d'excellence comme l'aéronautique,