Pour tout vous dire à la rédaction Allo Trends, on sait tout l'intérêt que porte notre communauté sur la chaîne Youtube de Dernières Meta-Nouvelles. A chaque nouveau contenu, l'intérêt est toujours plus grand que ce soit sur notre site ou bien même sur les réseaux sociaux. Nous pensons que cette vidéo vous intéressera, c'est pourquoi nous avons décidé de faire cette publication aujourd’hui.
En effet, la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles a décidé aujourd’hui de poster une nouvelle vidéo qui porte le titre de “Monsieur Legault, nous ne pouvons plus nous permettre de payer trois et demi”. Évidemment, vous pouvez dès à présent la retrouver en lecture intégrale sur notre site pour votre plus grand plaisir !
Gros buzz pour le moment pour cette dernière vidéo de Dernières Meta-Nouvelles, en effet le nombre de vues que comptabilise la vidéo est actuellement bien supérieur à la normale. C’est pour cette raison qu’on imagine que si ça continue dans ce sens, la vidéo pourrait bien se retrouver très rapidement en tendance Youtube.
Grâce à Internet, on peut aisément parler aux vidéastes pour leur poser toutes les questions qu’on a en tête, ou bien même leur faire part de critiques (constructives s’il vous plaît!). Première solution pour contacter l’auteur de cette vidéo, c’est sur Youtube que ça se passe : Essayez de trouver son adresse email dans “A propos”. Si vous n’avez pas de réponse, vous pouvez réessayer de le contacter mais sur une autre plateforme. Twitter semble être un moyen assez simple pour interpeller un Youtuber à propos d’un de ses contenus.
Avant de se quitter, on espère déjà que la vidéo Monsieur Legault, nous ne pouvons plus nous permettre de payer trois et demi vous a plu, ou qu’elle a répondu en temps cas à vos attentes. Avant de se dire au revoir, on vous rappelle quand même que vous pouvez regarder d’autres vidéos de Dernières Meta-Nouvelles en naviguant sur Allo Trends. Bien qu’on ait pas encore autant de contenus que Youtube, on y travaille chaque jour pour vous offrir le meilleur d’internet !
Hâte de découvrir des nouveaux contenus en votre compagnie, à la prochaine sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Monsieur Legault, nous ne pouvons plus nous permettre de payer trois et demi publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :
# #MonsieurLegault #pouvons #permettrepayer
https://gotopnews.com/post/517985
Bien que les élections soient derrière nous, il est temps de voir l'établissement de mesures réelles qui aideront la population québécoise à faire face à la crise du logement à long terme. Ce n'est surtout pas avec des promesses à moitié complices que notre Premier ministre parviendra à surmonter les difficultés immobilières de la province. En effet, 15 000 logements sociaux à construire lors de son dernier mandat, seulement 7 900 logements de cette nature ont vu la lumière de la société résidentielle au Québec. Votre opinion
nous intéresse. Avez-vous une opinion à partager? Un texte entre 300 et 600 mots que vous aimeriez nous soumettre? Apprendre encore plus
Pas facile de se tenir debout
Comme beaucoup de jeunes Québécois, c'est avec une grande impatience que je me demande comment je vais me permettre de louer un appartement sans engloutir toutes mes économies. Nous voyons donc l'émergence d'un dilemme pour les jeunes qui sont souvent obligés de s'installer dans la métropole pour le travail ou les études, mais qui ont du mal à trouver un logement conforme et abordable. Étant donné que le loyer moyen pour trois et demi à Montréal dépasse 1 500 $, un calcul simple permet de constater qu'un salaire annuel de 60 000 $ serait nécessaire pour atteindre l'objectif de la société hypothécaire et de logement canadienne qui stipule que le coût du logement devrait représenter moins de 30% des revenus d'un ménage. Pour les étudiants qui ont un revenu limité et qui se consacrent sérieusement à leurs études, il s'agit d'un scénario complètement irréaliste. Le paiement du loyer dans le contexte où les prix grimpent partout provoquent nécessairement un stress supplémentaire chez les jeunes qui pourraient être découragés en traversant cette nouvelle étape de leur vie. Solutions pour "impossible"
Il est temps pour nos élus de devenir créatifs dans leur développement de solutions et de redresser la situation concernant les conséquences de Covid-19 serait un bon début. Comme nous le savons tous, la diminution du tourisme et du travail au bureau a laissé plusieurs établissements vacants. Il y a donc une opportunité en or ici d'essayer d'équilibrer le marché immobilier en convertissant ces espaces qui accumulent la poussière avec un logement abordable. Une autre option serait de se baser sur des modèles du monde qui ont eu des avantages positifs. Dans le cadre de son rapport 2020, l'OCDE souligne notamment le modèle de Vienne, qui se distingue par la construction de logements semi-sociaux où les organisations doivent réinvestir tous leurs bénéfices dans la création de nouveaux bâtiments. Par conséquent, revisiter la réglementation de la planification et du développement de la ville pour permettre aux promoteurs à but non lucratif comme utiles pour construire des logements étudiants libérerait des appartements dans tous les centres universitaires du Québec. Cela céderait la place aux familles qui n'ont pas encore eu la chance de trouver leur "maison". Un avertissement pour le Québec
Nos homologues d'anglais semblent avoir encore pire, compte tenu du début des loyers dans certaines grandes villes du Canada. C'est le cas pour Toronto, où les loyers ont connu une augmentation de 24,5% au cours de la dernière année, ce qui entraîne une dépense moyenne de 2 667 $ par mois pour ses résidents. Si nous ne voulons pas que le Québec se termine comme les autres provinces canadiennes dont les marchés locatifs sont encore moins favorables aux jeunes, nous avons besoin de solutions à long terme. Un chèque de 400 à 600 $, c'est bien de recevoir, mais cela ne résout pas le problème. Vanessa gaillant-mambro
Une maîtrise en option de science politique et des affaires internationales à l'Université de Montréal