Comme vous le savez, ce n’est pas la première fois qu’on parle de la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game sur Allo Trends, et à chaque fois ça vous captive toujours autant ! En même temps, on vous comprend, les contenus qu’on y trouve sont tout simplement uniques. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.
Vous commencez à en avoir l’habitude, à chaque nouvelle sortie de vidéo sur la chaîne Youtube de Dernieres Nouvelles Game, on essaye de vous la proposer dans les plus brefs délais sur notre site. Nous vous invitons à découvrir sans plus tarder la vidéo Nombre de cônes orangeMontréal et le ministère des Transports dans l'obscurité en vous rendant sur le player juste ici !
Gros buzz pour le moment pour cette dernière vidéo de Dernieres Nouvelles Game, en effet le nombre de vues que comptabilise la vidéo est actuellement bien supérieur à la normale. C’est pour cette raison qu’on imagine que si ça continue dans ce sens, la vidéo pourrait bien se retrouver très rapidement en tendance Youtube.
Grâce à Internet, on peut aisément parler aux vidéastes pour leur poser toutes les questions qu’on a en tête, ou bien même leur faire part de critiques (constructives s’il vous plaît!). Vous avez 2 grands moyens pour parler à un Youtuber, le moyen le plus commun est en utilisant l’adresse email qui est affiché sur sa chaîne Youtube (dans la partie “A propos”). Cependant, tous les youtubers n’ont pas forcément le temps de répondre à chacun d’entre vous, c’est pour cela que vous pouvez aussi essayez de les contacter sur leurs réseaux sociaux.
N'hésitez pas à nous faire un retour sur les réseaux sociaux si vous avez apprécié lire cet article à propos de la vidéo Nombre de cônes orangeMontréal et le ministère des Transports dans l'obscurité. Nous espérons vous retrouver au plus vite sur Allo Trends, d’ici là vous allez pouvoir regarder d’autres vidéos de Dernieres Nouvelles Game en cherchant un peu sur notre plateforme dédiée. Si vous avez déjà fait le tour, allez sur Youtube, le contenu y est quasi infini !
Il est maintenant temps de nous quitter, merci d’avoir lu cet article, on se revoit très vite sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Nombre de cônes orangeMontréal et le ministère des Transports dans l'obscurité publiée par la chaine Youtube Dernieres Nouvelles Game :
#Nombrecônes #orange #Montréalministère
https://gotopnews.com/post/1651178
Les cônes sont partout, mais on ne connaît pas vraiment leur nombre. Le ministère des Transports et Ville Montréal ne savent pas pour l'instant combien de bouteilles oranges circulent dans les rues métropole, majorité étant responsabilité d'entrepreneurs privés engagés pour réaliser les chantiers. Pour beaucoup, la situation montre que les autorités n'utilisent pas toutes les technologies à leur disposition. La Chambre commerce du Montréal métropolitain a récemment dévoilé une étude soulignant la surabondance de cônes signalisation au centre-ville. Malgré les nombreuses données compilées par les auteurs, une question restait sans réponse : combien sont-ils ? « Les entrepreneurs peuvent mettre les cônes en place eux-mêmes ou faire affaire avec un sous-traitant, mais dans tous les cas, Montréal n'est pas en mesure préciser le nombre de cônes loués », répond le porte-parole la Ville, Hugo Bourgouin, dans un courriel envoyé à La Presse. Dans le gouvernement Legault, l'histoire est relativement la même. « Le ministère des Transports ne connaît pas le nombre total utilisé ni le coût d'achat ces équipements, qui sont la propriété d'entrepreneurs privés, ou municipalités, et qui sont généralement inclus dans les contrats gestion la circulation. », admet le porte-parole de du MTQ, Louis-André Bertrand. La CCMM a toutefois relevé qu'en an, 94 % des artères du centre-ville avaient été bloquées à un moment ou à autre. L'étude a également montré qu'un quart de ces cônes seraient "inutiles", c'est-à-dire "abandonnés" ou "sans but". Par exemple, au centre-ville, 57 % de la rue Peel est bordée de cônes, et il y a des panneaux orange sur 100 % du parcours. Rue Saint-Urbain, des gestes barrières sont en place depuis neuf ans, montre l'étude. C'est qu'à Montréal, la « majorité » des cônes sont installés par des entrepreneurs généraux, qui obtiennent un contrat de travail de la Ville. « Le nombre cônes utilisés dépend l'ampleur et complexité chantiers », précise M. Bourgouin, qui rappelle au passage que nombreux autres donneurs d'ordre participent à l'attribution des contrats, dont le MTQ, la Commission services électriques, Société transport Montréal , Hydro-Québec, Bell ou Énergir. Une technologie à moderniser Pour l'expert en planification des transports Pierre Barrieau, la situation illustre surtout que les technologies de suivi de chantier sont déficientes au Québec. « Aux États-Unis, dans certaines villes, chaque élément de signalisation doit être muni d'un code-barres ou d'un dispositif RFID, ce qui permet de collecter des données à distance. Il permet aux citoyens de savoir, en temps réel : à qui appartient ce cône, combien de temps il sera là, et à quoi il sert », explique-t-il. Il permet également aux inspecteurs la ville de savoir rapidement si un équipement a le droit d'être sur la voie publique, et ainsi supprimer les fameux cônes ou panneaux qui traînent pour rien. Lorsque le cône n'est pas déclaré, il est retiré et l'entrepreneur est condamné à une amende. Pierre Barrieau, expert en planification des transports De telles pratiques sont "simples à mettre en oeuvre", plaide le spécialiste, même s'il reconnaît qu'elles nécessiteraient des adaptations dans l'industrie. « Bien sûr, il y aurait des entrepreneurs mécontents ou inquiets, surtout si on leur demandait d'enregistrer leur matériel sur une interface web, par exemple, comme cela se fait ailleurs. Mais en soi, c'est une mesure qui n'est pas complexe à mettre en place », précise M. Barrieau, qui estime qu'une telle mesure coûterait à la Ville environ 1 million de dollars. Un sommet en vue Au CCMM, le président Michel Leblanc est d'accord. « Il existe des solutions et dans de nombreux cas, elles ont été mises en œuvre ailleurs. Et là, il faut s'organiser pour rattraper ce retard. Cela passe par l'identification des cônes, par la responsabilisation des entreprises qui exploitent les sites. Il faut décider collectivement de changer les choses », dit-il. PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain Pour lui, le Sommet sur les chantiers de la Ville, qui doit se tenir au printemps, sera une occasion en or. « Je m'attends à ce que la Ville propose déjà de nombreuses solutions et que ce soit une opportunité de générer un soutien pour ces solutions. Tous les signaux que nous recevons de l'industrie sont positifs : les entreprises sont prêtes à revoir leurs façons de faire, mais encore faut-il que la technologie soit prête », insiste M. Leblanc. La mairesse de Montréal, Valérie Plante, dit avec raison qu'elle aspire à « pouvoir changer la culture du cône orange en milieu urbain ». « Pour le moment, c'est le MTQ qui régit la taille et la distance entre les cônes. Ce sont des ingénieurs, c'est comme ça. Mais que ce soit l'aut