Vous avez encore été très nombreux sur les réseaux sociaux ces dernières semaines à nous demander de vous partager des nouveaux contenus issus de la chaîne Youtube Art du Backgammon, continuez à nous envoyer des messages ça nous fait très plaisir de savoir que nos contenus vous plaisent. Parfois on hésite à écrire un article car on ne sait pas s' il vous plaira, mais aujourd'hui nous savons que cette vidéo vous intéressera.
Comme bien souvent lorsque la chaîne Youtube Art du Backgammon poste un nouveau contenu sur internet, vous pouvez le trouver sur notre site. Pour regarder la toute dernière vidéo qui s’appelle “NPD-PLC AllianceDéchirure l'accord présente des risques, disons les politologues”, c’est juste en haut !
De nombreuses personnes parlent de cette nouvelle vidéo depuis plusieurs heures sur les réseaux sociaux et elle a également fait naître de nombreux commentaires sur les forums qu’on trouve sur la toile. D’ailleurs la chaîne Youtube Art du Backgammon n’en est pas à son coup d’essai en publiant une vidéo qui fait sensation. Nous savons bien que vous êtes souvent très intéressés par ce type de contenu.
Vous rencontrez des soucis avec ce contenu ? Vous avez repéré une erreur dans la vidéo que vous souhaitez faire remonter au monteur ? Pour obtenir l’adresse email d’un influenceur qui fait des vidéos sur internet, rendez vous sur la partie “A propos” de sa chaîne Youtube. Si malgré vos efforts, vous n’obtenez pas de réponse, essayez de le joindre sur un autre support. Twitter est très pratique pour contacter facilement les youtubers.
Nous espérons que vous avez apprécié cet article, et que la vidéo NPD-PLC AllianceDéchirure l'accord présente des risques, disons les politologues a répondu à toutes vos attentes. Lorsqu'on écrit un article et qu’on voit qu’il fait des vues car il plaît à notre communauté, on a qu’une hâte, c’est de réussir à vous convaincre de revenir nous lire plus souvent ! Alors faites nous plaisir et repassez régulièrement sur Allo Trends pour suivre d’autres vidéos de Art du Backgammon.
Il est maintenant temps de nous quitter, merci d’avoir lu cet article, on se revoit très vite sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo NPD-PLC AllianceDéchirure l'accord présente des risques, disons les politologues publiée par la chaine Youtube Art du Backgammon :
# #NPDPLCAllianceDéchirure #laccordprésente #risques
https://gotopnews.com/post/1205111
Les troupes de Jagmeet Singh pourraient avoir beaucoup à perdre si elles décidaient, dans les premiers mois de 2023, de déchirer l'entente qui les lie aux libéraux, estiment plusieurs politologues consultés par La Presse canadienne. L'équipe dirigée par Justin Trudeau devra probablement réfléchir à deux fois avant de baisser les bras. Émilie Bergeron et Michel Saba La Presse canadienne « sont en meilleure position en ce moment pour négocier leur appui avec les libéraux qu'ils ne pourraient l'être à la suite d'une prochaine élection », analyse Geneviève Tellier, professeure à l'École d'études politiques de l'Université d'Ottawa. Selon elle, se retirer de l'entente équivaut à un jeu qui n'en vaut pas la chandelle pour M. Singh. Le chef du Nouveau Parti démocratique a déclaré qu'au cours de la dernière semaine de travaux parlementaires avant les vacances, il était prêt à mettre fin à cette entente de « soutien et de confiance » s'il concluait à une inaction de la part du libéraux sur la santé. Le « coût politique » d'un retrait de l'accord est « plus lourd pour les néo-démocrates qu'il ne peut l'être pour les libéraux », plaide François Rocher, un autre politologue de l'Université d'Ottawa. Les sondages, note-t-il, ne montrent pas de montée du NPD, « bien au contraire ». En fait, ce serait une «dissuasion» pour M. Singh. Et les résultats de la récente élection partielle dans la circonscription de Mississauga-Lakeshore, en banlieue de Toronto, sont carrément « troublants », selon son collègue Tellier. Le NPD y a vu son appui fondre de moitié. Néanmoins, c'est de la "bonne guerre" pour le chef du NPD de se poser en véritable chef d'un parti d'opposition et de travailler activement à se "détacher symboliquement" du gouvernement Trudeau en le critiquant sur des dossiers essentiels comme la santé, nuance Daniel Béland, directeur. de l'Institut d'études canadiennes de l'Université McGill. Mais attention : "c'est un exercice d'équilibriste", ajoute-t-il. En allant « trop loin », les libéraux pourraient lui reprocher de nuire à l'adoption de mesures progressistes. Et M. Singh dépend des négociations entre Ottawa et les provinces. Toutes les provinces et tous les territoires réclament depuis plus de deux ans une augmentation des transferts fédéraux en santé afin que la contribution d'Ottawa passe de 22 % à 35 % des coûts totaux de leurs systèmes publics respectifs. Le gouvernement fédéral, pour sa part, veut des garanties de « résultats » avant d'augmenter le Transfert canadien en matière de santé. Affrontement Trudeau-Poilievre Le premier ministre Justin Trudeau, qui est au coude à coude avec le chef conservateur Pierre Poilievre dans les sondages, doit y réfléchir à deux fois avant de succomber à la tentation de plonger le pays dans une élection dans l'espoir d'obtenir lui-même...' une majorité. " doivent faire attention car ils ont déjà été accusés en 2021 d'avoir déclenché des élections pour rien", prévient le professeur Béland. En effet, les libéraux sont sortis de cette élection avec à peu près le même nombre de sièges à la Chambre des communes qu'auparavant. Quoi qu'il en soit, Mme Tellier n'écarte pas le scénario d'une élection en 2023. Si tel était le cas, "ce sont peut-être les libéraux qui jugeraient que le moment est favorable", dit-elle. Mais un trouble-fête pourrait surgir dans le courant de l'année prochaine : l'économie. C'est le premier élément que la professeure Tellier, spécialisée en finances publiques, mentionne qu'elle surveillera. "Ce n'est pas politique, mais il y aura des répercussions politiques", dit-elle. Va-t-on vivre une récession économique et surtout est-ce que la Banque du Canada va continuer à augmenter ses taux directeurs? » En ce moment, les partis politiques sont "clairement" divisés sur un axe gauche-droite, note-t-elle. Les libéraux et les néo-démocrates campent à gauche et, à l'inverse, les conservateurs à droite. Selon elle, le "défi" sera de "reconquérir" le centre de l'échiquier politique. « Est-ce que Pierre Poilievre va édulcorer un peu son vin, puis se recentrer un peu plus pour aller chercher ces électeurs qui lui manquent au risque de déplaire beaucoup plus à droite à certaines franges de son parti ? se demande-t-elle. Le politologue rapporte que les deux derniers chefs conservateurs l'ont essayé et que « ça a été un échec ». M. Poilievre a un simple "travail de définition" à entreprendre en 2023 "pour faire connaître les thèmes sur lesquels il entend insister au-delà de l'inflation", juge M. Rocher. Le professeur titulaire à l'École d'études politiques de l'Université d'Ottawa souligne que le chef conservateur devra nécessairement reconsidérer sa position sur l'utilisation de la Loi sur les mesures d'urgence, à l'hiver 2022, après que le « convoi de la liberté » aurait paralysé le ce