Et oui, la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game a encore le droit à un article sur Allo Trends aujourd’hui, et en même temps c’est tout à fait logique vu la passion que met notre communauté à chaque fois qu’une nouvelle vidéo est disponible sur internet. Parfois on hésite à écrire un article car on ne sait pas s' il vous plaira, mais aujourd'hui nous savons que cette vidéo vous intéressera.
Pour regarder la vidéo Parlons de l'expression "les gens avec le pénis" qui a été postée aujourd’hui par la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game, cliquez sur la vidéo juste en haut. Vous pourrez ainsi la découvrir en streaming gratuitement directement sur notre site !
La vidéo est actuellement en vogue sur le web et pourrait se retrouver au top dans les tendances de la plateforme de VOD de Google. Après son upload il y a à peine 30 minutes par la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game, beaucoup d’internautes ont commencé à la regarder avec grand intérêt. C’est d’ailleurs souvent comme ça sur cette chaîne qui publie régulièrement des vidéos semblables à celle dont nous vous parlons aujourd’hui.
Parfois lorsqu’on regarde une vidéo sur internet, on peut avoir des retours à faire au créateur de contenu. Pour lui parler d’un souci ou bien d’une erreur que l’on a découverte par exemple. Beaucoup de gens galèrent à contacter les créateurs de contenus sur internet, mais sur Youtube c’est pourtant très simple, il suffit juste de se connecter sur la chaîne en question, et d’aller dans la partie “A propos” pour trouver l’adresse email que vous cherchez ! Cependant Twitter reste toujours une très bonne alternative qui fonctionne relativement bien pour entrer en contact avec un Youtuber.
Vous avez maintenant toutes les informations sur la vidéo Parlons de l'expression "les gens avec le pénis", on espère que ça vous convient et que vous y avez trouvé votre intérêt. Avant de se dire au revoir, on vous rappelle quand même que vous pouvez regarder d’autres vidéos de Dernieres Nouvelles Game en naviguant sur Allo Trends. Bien qu’on ait pas encore autant de contenus que Youtube, on y travaille chaque jour pour vous offrir le meilleur d’internet !
Nous on se retrouve très prochainement pour un nouvel article sur Allo Trends, à bientôt !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Parlons de l'expression "les gens avec le pénis" publiée par la chaine Youtube Dernieres Nouvelles Game :
#Parlons #expression #personnespénis
https://gotopnews.com/post/1676242
C'est mercredi, jour des confessions selon l'horoscope ouzbek, alors je plonge... Je viens de m'habituer au mot "auteur". Au début, ma langue a trébuché sur « auteur », ça voulait dire « auteur ». Puis je m'y suis habitué. C'est comme le nom Horace : j'ai une amie qui a donné un ancien nom à son enfant . Chaque fois que son prénom percolait la surface des choses, je pensais à un poète né avant Jésus-Christ ou un obscur ministre québécois du XIXe siècle… Dans le passé, pour décrire quelqu'un de particulièrement stupide, j'utilisais le mot "mongol". Ça ne plaisait pas à tout le monde et ça me valait parfois des tomates de lecteurs en colère. Mais j'aimais bien « mongol » : tout Québécois né avant 1990 comprend cette expression. Puis, un jour, une dame m'a envoyé une photo de son fils adolescent atteint du syndrome de Down et d'un commis d'épicerie, magnifique dans son costume IGA - ou peut-être que c'était Metro -, me disant comment il se levait chaque matin, fier d'aller faire ses valises la commande des clients… « Savez-vous ce qui le rend triste, monsieur Lagacé ? Quand les gens se réfèrent à lui comme un Mongol… » Je n'ai plus jamais utilisé le "mongol". J'ai l'âge de me souvenir que « estropié » est tombé en désuétude : le mot « handicapé » s'est peu à peu imposé. Mais au bout de quelques années, des militants se sont levés et ont traité de "handicapés" en grommelant : Oui, mais le handicapé, ce n'est pas seulement un handicapé, vous savez, c'est avant tout une personne ! L'expression « personne handicapée » est donc entrée dans le langage. J'hésite à l'utiliser et j'ai été critiqué pour cela. Je pense que les handicapés font très bien le travail. Sans oublier que la plupart de mes lecteurs ne sont pas des idiots à plein temps : ils savent que les « handicapés » sont des « gens ». Je pensais qu'on était arrivé, avec « personne handicapée », à la fin du lexique pour désigner les personnes sont en fauteuil roulant, qui se déplacent avec une canne ou ont perdu un index… Sauf que non : on me reproche maintenant de ne pas utiliser « personne vivant avec un handicap » ! Au risque périlleux de passer pour un vilain chroniqueur quinquagénaire ignorant ses privilèges blancs nés dans une famille où personne n'était arrivé au cégep, je dois vous dire que "personne vivant avec un handicap", voire "personne vivant en itinérance" , vous ne lirez jamais ça ici. Pour quelle raison ? Parce que j'écris des colonnes de journaux, pas des formulaires du ministère de l'Inclusion. Mon refus ne vient pas d'un esprit de contradiction. Cela dépend de deux choses. Un, je veux être lu1. Tout ce qui alourdit ma prose sape cet objectif. Deux, j'ai une limite de mots ici. Plus je m'approche des 1000 mots, plus le regard du patron s'assombrit. Donc je n'écrirai jamais aux élèves parce que ça alourdit le texte, ni aux pompiers parce qu'il y a très, très peu de pompiers. Mais j'écris toujours infirmières parce qu'il y a beaucoup plus d'infirmières que d'infirmiers. Regardez l'université Stanford, qui s'est couverte ridicule3 en engendrant une liste mots à éviter sur campus, dont le titre ressemblait à une initiative rééducation culturelle menée par Parti communiste chinois : The Toxic Language Elimination Initiative. . Il a été proposé, par exemple, de bannir les mots chef gourou tribu américains liste noire » et même elle »… Voir Marianne qui citait en janvier4 une lettre « inclusive » mairie de Paris : « Vous recevrez la visite d'un agent recenseur recruté par mairie votre arrondissement et muni, à cet effet, d'un plan officiel. Plus loin : « Lorsque l'enquêteur viendra chez vous, il vous demandera de répondre par voie électronique. » Disons l'énumérateur, point, on comprendra que le féminin inclut le masculin, vive l'évolution. Mais ces points qui traditionnellement indiquent la fin d'une phrase que l'on plante au milieu d'un mot, je n'y vois qu'une verrue, désolé. Et c'est assez ironique quand on sait qu'Anne Hidalgo se dit "maire de Paris" et non "maire de Paris". Je comprends qu'il faut sensibiliser. Mais peut-on arrêter de penser que tout le monde est si sensible ? Dans le même ordre d'idées, parlons des "personnes avec des pénis", un terme qui commence à apparaître ici et là. Je comprends très bien la fluidité genres, mais comme la grande majorité des personnes qui ont un pénis sont hommes, je vais écrire "hommes", et les personnes avec un pénis qui ne se définissent pas comme "homme" s'en remettront, espérons-le. Ou choisissez de ne pas me lire. Et je n'écrirai pas non plus "personne vivant avec un pénis" ni - n'essayez même pas - "pénis en situation de personne"5. Et si une personne insiste pour que j'utilise iel en la désignant, foncez, pas de problème. Si Stéphane portant une barbe et une moustache me dit de m'identifier en tant que femme, même chose : St