Beaucoup d’entre-vous nous suivent depuis bien longtemps sur Allo Trends, et vous savez déjà que nous partageons très régulièrement les nouveaux contenus vidéos de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles dont notre communauté est extrêmement friande. Parfois on hésite à écrire un article car on ne sait pas s' il vous plaira, mais aujourd'hui nous savons que cette vidéo vous intéressera.
Nous vous proposons aujourd’hui de retrouver la dernière vidéo de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles qui s’appelle tout simplement Pénurie de police à Nunavik | Jour et nuit pendant quatre semaines. Si vous l’avez apprécié, n'hésitez pas à like le contenu pour ainsi soutenir l’auteur de la vidéo !
Là vidéo est à peine postée depuis moins d’une heure qu’elle fait actuellement extrêmement parler d’elle sur le web. D’habitude les nouvelles vidéos de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles font bien moins parler. Bientôt en tendances ? C’est en tout cas tout le mal qu’on lui souhaite vu le boulot que fait cette chaine depuis de nombreuses années déjà !
Il peut exister une hypothèse où vous avez besoin de contacter le vidéaste auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos critiques, remarques ou bien conseils. Par contre, même si vous trouvez l’adresse email d’un Youtuber en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne Youtube, rien ne vous garantit qu’il va vous répondre… Essayez dans ce cas de le contacter sur les réseaux sociaux, la plupart utilisent Twitter, d’autres Instagram, les plus vieux sont quant à eux toujours sur Facebook !
Et voilà, on arrive bientôt à la fin de cet article, vous venez de découvrir tout ce qu’on savait à propos de la vidéo Pénurie de police à Nunavik | Jour et nuit pendant quatre semaines. Le saviez-vous ? Sur Youtube, vous pouvez trouver d’autres vidéos de Dernières Meta-Nouvelles qui ont pu être uploadé par d’autres utilisateurs et qui ne sont pas encore référencés sur Allo Trends. Si jamais vous êtes curieux, allez y faire un tour, on ne sait jamais !
Nous on se retrouve très prochainement pour un nouvel article sur Allo Trends, à bientôt !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Pénurie de police à Nunavik | Jour et nuit pendant quatre semaines publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :
# #Pénuriepolice #Nunavik #Journuit
https://gotopnews.com/post/517953
Appelée jour et nuit, une policière du Service de police du Nunavik a eu du mal à dormir pendant les quatre semaines qu'elle a travaillées en août dernier dans la communauté de Quaqtaq. La pénurie de personnel policier qui touche le nord du Québec depuis plus d'un an n'est toujours pas réglée, et a même atteint un niveau "alarmant" l'été dernier, reconnaît le chef de police du Nunavik, Jean-Pierre Larose. Ariane Lacoursière La Presse
Ce dernier souligne que la pénurie d'effectifs policiers au Nunavik dure depuis des mois et que l'été a été « particulièrement difficile ». Se déclarant « épuisée physiquement et émotionnellement » et « déplorant le manque de repos durant son séjour […] dans la communauté inuite de Quaqtaq », une policière du Service de police du Nunavik a fait un signalement à la Commission des normes, de l'équité, santé et sécurité au travail en août. Dans le rapport obtenu par La Presse grâce à la Loi sur l'accès aux documents des organismes publics et sur la protection des renseignements personnels, on peut lire que cette policière était « débordée » et qu'elle dormait « très peu » puisqu'elle devait « intervenir de jour selon son horaire régulier et être disponible pour intervenir sur appel auprès des policiers en appui à la Sûreté du Québec ». «Ces derniers ne sont pas autorisés à intervenir seuls, selon une consigne de la SQ et non du service de police nordique», est-il écrit dans le rapport de la CNESST. Il y avait 25 patrouilleurs au Service de police du Nunavik l'été dernier, « alors qu'il devrait y en avoir 63 pour couvrir les 14 villages », précise-t-on. "Ainsi, 6 villages sont actuellement en sous-effectif", est-il également indiqué. L'inspecteur de la CNESST, Patrick Bourdages, mentionne également que le chef de police Jean-Pierre Larose « est alarmé par la situation et qu'il veut agir en augmentant le nombre d'employés et/ou en trouvant une façon que son personnel en place puisse avoir des périodes de repos suffisantes pour leur sécurité". M. Larose souligne que plusieurs corps policiers manquent d'effectifs au Québec. Mais la situation est "encore plus critique" dans le Nord. Le Service de police du Nunavik a demandé l'aide de la Sûreté du Québec il y a plus d'un an. Baptisé « Opération CERF », le projet permet l'envoi de patrouilleurs de la SQ vers le Nord. « Une carrière au Nord, une vie au Sud »
Si "la situation était très préoccupante" l'été dernier, elle s'est améliorée depuis, selon M. Larose. Les efforts de recrutement ont été intensifiés. Des policiers à la retraite ont été embauchés. Il y a présentement 55 patrouilleurs au Service de police du Nunavik, 16 autres à la SQ et 9 sergents. « On réfléchit à des primes d'attractivité, dit M. Larose. Un projet pilote est également en place et permet d'offrir aux patrouilleurs de deux villages des horaires de deux semaines de travail suivis de deux semaines de repos, contrairement aux horaires de cinq semaines consécutives de travail utilisés jusqu'à présent. "On veut essayer d'offrir une carrière dans le Nord, tout en ayant une vie dans le Sud", explique M. Larose, qui estime qu'il y a un "engouement" pour ces nouveaux horaires. M. Larose ajoute que des « lignes directrices organisationnelles » ont été modifiées depuis l'été. Alors qu'auparavant il était exigé qu'au moins un patrouilleur du Service de police du Nunavik assiste à chaque intervention, ce n'est plus le cas. "Cela donne du repos à nos policiers", a-t-il déclaré. Recrutement difficile
« Le recrutement et la rétention des employés sont parmi les principaux défis » du Service de police du Nunavik, peut-on lire dans un rapport intitulé Services policiers et inuits du Nunavik – Mieux se connaître pour mieux s'entraider, publié dans janvier 2020 par la Chaire de recherche en relations avec les sociétés inuit de l'Université Laval. M. Larose ne s'en cache pas : le maintien de l'ordre dans le Nord, bien que très stimulant, est difficile. « Un an dans le Nord équivaut à trois ans dans le Sud », dit-il. La région est confrontée depuis de nombreuses années à des problèmes sociaux majeurs. Les taux de violence et de criminalité sont beaucoup plus élevés que dans le reste de la province. Extrait du rapport Services policiers et inuits du Nunavik – Mieux se connaître pour mieux s'entraider
Les candidats restent en poste en moyenne six mois au Nunavik. « La rétention est difficile. C'est un éternel recommencement », dit M. Larose. "Parmi les facteurs qui contribuent à un taux de violence élevé, il faut ajouter la pauvreté, les traumatismes intergénérationnels, mais aussi le manque et le surpeuplement des logements", peut-on lire dans le rapport de la Chaire de recherche de l'Université Laval. Lors de sa création en 1996, le Service de police du Nunavik souhaitait devenir un service de police autochtone.