"Rester, sans armes, sans munitions, c'est du suicide" : un Français raconte le ardement de la base

Une nouvelle vidéo de Dernières Meta-Nouvelles est apparue sur Youtube le 21 mars 2022 et elle a reçu un gros accueil de la part des internautes.

Et oui, la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles a encore le droit à un article sur Allo Trends aujourd’hui, et en même temps c’est tout à fait logique vu la passion que met notre communauté à chaque fois qu’une nouvelle vidéo est disponible sur internet. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.

Pour regarder la vidéo "Rester, sans armes, sans munitions, c'est du suicide" : un Français raconte le ardement de la base qui a été postée aujourd’hui par la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles, cliquez sur la vidéo juste en haut. Vous pourrez ainsi la découvrir en streaming gratuitement directement sur notre site !

On pourrait retrouver dans les prochaines heures ce contenu dans l’outil tendance de Youtube vu le démarrage qu’elle fait ! Depuis que la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles l’a postée, beaucoup d’internautes ne parlent plus que de ça sur les réseaux. Attendons cependant quelques heures avant d'être fixé sur le succès au nom de cette vidéo.

N’oubliez pas que vous pouvez contacter l’auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos remarques et conseils ou bien même pour le questionner sur le sujet de son contenu. C’est pour cela que Youtube a mis en place une section "À propos" qui vous permettra de contacter tous vos youtubers préférés ainsi que toutes les chaînes dont vous avez besoin. Dans l'hypothèse où malgré ces conseils vous n’arrivez pas à joindre la chaîne souhaitée, il vous reste les réseaux sociaux comme twitter où il est très simple d’envoyer un message pour faire remonter une information.

N'hésitez pas à nous faire un retour sur les réseaux sociaux si vous avez apprécié lire cet article à propos de la vidéo "Rester, sans armes, sans munitions, c'est du suicide" : un Français raconte le ardement de la base. Nous avons d’autres vidéos de Dernières Meta-Nouvelles sur Allo Trends, vous pouvez les découvrir dès maintenant en utilisant la barre de recherche. Vous devriez vous débrouiller, c’est assez facile d’accès même pour un débutant !

C’est fini, on remballe ! A bientôt pour un nouvel article sur votre site préféré : Allo Trends évidemment !

À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo "Rester, sans armes, sans munitions, c'est du suicide" : un Français raconte le ardement de la base publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :

Alan Berger, 57 ans, venait de rejoindre une armée internationale formée à l'appel du président Volodymyr Zelensky lorsque la Russie a attaqué le camp non loin de la Pologne le matin du 13 mars. Le Monde a recueilli son témoignage.
#C #suicide #rester
Alain Beigel, dans le quartier de Belleville, à Paris, le 18 mars, cinq jours après l’attaque de la base de l’OTAN de Iavoriv, à l’ouest de l'Ukraine, où il était stationné. ED ALCOCK POUR « LE MONDE »

Encore sous le choc, Alain Beigel ne se considère ni comme un « héros », ni comme un « survivant ». Il est pourtant un peu des deux à la fois. Cet homme de 57 ans, cinéaste de profession, a vécu l’enfer lors de son rapide passage dans la légion internationale en cours de constitution en Ukraine. Il fait partie des quelques Français présents sur la base militaire de Iavoriv, lors de son ardement, dimanche 13 mars, par des missiles russes – l’attaque aurait fait 35 morts, d’après les autorités ukrainiennes, 180, selon le ministère russe de la défense.

Alain Beigel est arrivé la veille sur les lieux pour s’engager aux côtés des soldats ukrainiens, en réponse à l’appel du président Volodymyr Zelensky. Portant de fines lunettes rondes et noires, il se dit scandalisé par « l’agression fasciste de Poutine contre un pays souverain, une jeune démocratie en train de s’émanciper d’un passé soviétique très lourd ». Par « romantisme » sans doute, et aussi par « souci d’être utile », ce volontaire a quitté Paris, contre l’avis de ses proches, sur un vol pour Cracovie, avant de rejoindre en train la frontière ukrainienne. Un minibus l’a alors amené sur la base de Iavoriv, en compagnie d’un Anglais, d’un Espagnol et d’un Néo-Zélandais.

Avant l’invasion russe, l’immense site, bien connu de Moscou pour avoir abrité une base soviétique du temps de la guerre froide, était ces dernières années associé à l’OTAN afin d’y entraîner l’armée ukrainienne. Il sert aussi depuis le début de la guerre de centre de recrutement des volontaires étrangers. Avant de signer « pour toute la durée de la guerre », samedi, Alain Beigel avait bien eu quelques hésitations sur sa condition physique ou son aptitude au combat, vite emportées par « la fraternité » perçue dans la journée entre les volontaires, qu’ils soient américains, polonais, britanniques ou français.

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Frappe brutale et inattendue

Ce dimanche 13 mars au matin, Alain Beigel se lève tôt, ses sept compagnons de chambrée dorment encore. Il descend à l’entrée du bâtiment pour fumer. « Aux environs de 5 h 30, j’ai perçu un sifflement qui allait crescendo jusqu’