Depuis le temps que vous nous suivez sur Allo Trends, vous commencez à avoir l’habitude qu’on vous parle de la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game, et de ses vidéos si virales qui font systématiquement parler d’elle sur le web, et même au-delà ! On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.
En effet, la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game a décidé aujourd’hui de poster une nouvelle vidéo qui porte le titre de “Sexe contre le loyer à bas prix”. Évidemment, vous pouvez dès à présent la retrouver en lecture intégrale sur notre site pour votre plus grand plaisir !
La vidéo est actuellement en vogue sur le web et pourrait se retrouver au top dans les tendances de la plateforme de VOD de Google. Après son upload il y a à peine 30 minutes par la chaîne Youtube Dernieres Nouvelles Game, beaucoup d’internautes ont commencé à la regarder avec grand intérêt. C’est d’ailleurs souvent comme ça sur cette chaîne qui publie régulièrement des vidéos semblables à celle dont nous vous parlons aujourd’hui.
Vous rencontrez des soucis avec ce contenu ? Vous avez repéré une erreur dans la vidéo que vous souhaitez faire remonter au monteur ? Lorsqu’on souhaite envoyer un petit mot à un créateur de contenu sur internet, le plus souvent on utilise son adresse email tout simplement ! Vous pouvez l’obtenir en vous rendant sur sa page Youtube, rubrique “A propos”. Mais attention, ils ne lisent pas tous leur boite mail, dans ce cas passez par Twitter.
N'hésitez pas à nous faire un retour sur les réseaux sociaux si vous avez apprécié lire cet article à propos de la vidéo Sexe contre le loyer à bas prix. Vous avez déjà regardé la vidéo en entier ? Pensez à checker notre site pour trouver d’autres contenus liés à Dernieres Nouvelles Game, on en a pas mal de disponible et de nouvelles vidéos arrivent très prochainement, faites nous confiance !
Hâte de découvrir des nouveaux contenus en votre compagnie, à la prochaine sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Sexe contre le loyer à bas prix publiée par la chaine Youtube Dernieres Nouvelles Game :
#Sexecontre #loyerprix
https://gotopnews.com/post/1505176
Avec une inflation écrasante et la crise du logement sans précédent, les organismes craignent une augmentation des personnes vulnérables qui devront accepter des gestes à caractère sexuel en échange d'un coût de loyer moindre pour éviter d'être ramassées dans la rue. « Dans les petites , on voit qu'il y a des gens qui ne se cachent même plus d'offrir une chambre en échange de relations [sexuelles], la crise est tellement forte », lance Marjolaine Deneault, du Regroupement des Comités Logement et Associations Locataires Québec . Selon elle, le phénomène n'est pas nouveau. Le Journal avait également abordé cette question en 2018. Or, la rareté des logements et le budget toujours plus serré des ménages précaires sont propices à ce phénomène, qui s'apparente à de la prostitution forcée. « Ce problème existe et perdure parce qu'il y a des locataires qui n'ont plus d'autres options, déplore Mme Deneault. Il y a des gens qui préfèrent endurer ça plutôt que de finir dans la rue. forcé d'être nu Le Journal en a également fait l'expérience sur des sites comme Kijiji et Facebook Marketplace. Nous avons mis deux fausses d'un étudiant et d'un étudiant infirmier. Chacun d'eux, baptisés Ludivine et Thomas, indique qu'ils recherchent sérieusement une chambre à louer pour la somme maximale de 700 $ par mois dans le Grand Montréal. En moins d'une journée, elles ont reçu plus d'une douzaine de messages d'hommes plus âgés leur proposant un lit en échange de services sexuels explicites ou implicites. Dans tous les cas, le logement était à louer pour une fraction du prix ou offert gratuitement. "Ça ne marchera de toute façon parce que tu ne peux pas vivre ici si tu n'es nudiste", dit Daniel au téléphone. Ce quadragénaire de la Côte-Nord a même offert à Thomas un toit gratuit, s'il acceptait de coucher avec lui dans son petit trois et demi. "Je ne te violerai pas" Les offres de logement envoyées à Ludivine étaient sérieuses au départ. En revanche, choses se sont mal passées au téléphone ou dans les mails avec hommes qui proposaient des chambres à louer dans leur appartement. « Nous sommes peut-être tous les deux célibataires, mais je ne te dirais pas de venir ce soir. Ne t'inquiète pas, je ne sauterai pas dessus et je ne te violerai pas, si c'est ça qui fait peur", assure Maxime au téléphone. Ce dernier venait de proposer à Ludivine pour 300 dollars par mois de coucher avec lui, dans le même lit, puisque le logement ne comporte qu'une seule chambre. Marc, un ingénieur qui n'a pas sa langue dans sa poche, propose carrément à l'étudiant de tout lui payer. «Je voulais vous proposer de payer votre logement, dans un rapport de Sugar Daddy. Parce que je n'ai pas d'appartement… Avec tout le respect que je vous dois », propose-t-il dans l'un des mails adressés à la jeune femme. Le Journal a également trouvé plusieurs petites proposant une chambre pour "uniquement des femmes" ou "uniquement pour des hommes". A trois reprises, l'annonceur nous a proposé une réduction de loyer en échange de faveurs sexuelles. Capture d'écran tirée de Facebook Personne à l'abri Le Centre d'éducation et d'action femmes de Montréal dénonce que propriétaires ou locataires profitent personnes vulnérables au Québec. «Cela ne ressemble pas à voir cela dans une société riche comme la nôtre. Je pense que les gens doivent aussi comprendre qu'aucune femme n'est à l'abri de cette situation dans notre société. On le voit dans nos sondages, ils viennent de tous les horizons », explique Julie Leblanc, organisatrice communautaire au CÉAF. Mais existe-t-il des solutions pour mettre fin à ce genre de commerce illicite ? « Nous avons besoin de plus de logements sociaux financés par l'État pour les personnes à faible revenu. Mais le gouvernement de François Legault a coupé dans le programme AccèsLogis à cette fin, et c'est un drame historique », lâche Mme Leblanc. ►Le prix moyen d'un appartement d'une chambre à Montréal a dépassé les 1 500 $ en juillet 2022, selon la plateforme Rentals.ca Phénomène en hausse, selon une organisation Le Centre d'éducation et d'action des femmes de Montréal confirme que le phénomène du « sexe à louer » est en hausse puisqu'ils n'ont jamais vu autant de personnes précaires frapper à leur porte. « Je sais qu'il y en a d'autres dans cette situation. Nous sommes vraiment dans un terrain très fertile pour vivre ce genre d'abus sexuel. [...] En neuf ans de travail dans la communauté, la situation économique des femmes précaires est sans précédent. C'est du jamais vu pour nous », déclare Julie Leblanc, organisatrice communautaire au CÉAF. Un comité de son organisation a notamment étudié de 2013 à 2021 les violences sexuelles vécues par les femmes locataires et colocataires. Malheureusement, la pandémie a mis fin à ce programme. « Ce qu'on a remarqué, c'est qu'elle accepte à contrecœur une relatio