Et oui, encore un article aujourd’hui à propos de la chaîne Youtube Une autre enquête sur le climat de travail toxique dans la violence domestique SOS, vous commencez à en avoir l’habitude vous qui suivez assidûment Allo Trends depuis tant d'années déjà ! L'intérêt pour cette chaîne ne cesse de croître au fil des années et nous sommes très heureux de vous la partager une nouvelle fois. C’est pour cette raison que l’on vous en parle en ce jour car cette nouvelle vidéo pourrait piquer votre intérêt.
En effet, la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles a décidé aujourd’hui de poster une nouvelle vidéo qui porte le titre de “Une autre enquête sur le climat de travail toxique dans la violence domestique SOS”. Évidemment, vous pouvez dès à présent la retrouver en lecture intégrale sur notre site pour votre plus grand plaisir !
Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube Dernières Meta-Nouvelles qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.
Vous avez une question à faire part à l’auteur de cette vidéo ? Ou peut-être tout simplement un message à faire passer. Pour parler à un youtuber (c’est comme ça qu’on appelle les créateurs de contenus sur la plateforme Youtube), rendez-vous directement sur sa chaîne, dans la partie “A propos” plus précisément. Si il ne vous répond pas, réessayez sur ses réseaux sociaux : Facebook, Instagram ou Twitter par exemple !
Toute la rédaction souhaite que vous ayez aimé cet article, ainsi que la vidéo Une autre enquête sur le climat de travail toxique dans la violence domestique SOS que vous avez découvert aujourd’hui à nos côtés. Vous avez déjà regardé la vidéo en entier ? Pensez à checker notre site pour trouver d’autres contenus liés à Dernières Meta-Nouvelles, on en a pas mal de disponible et de nouvelles vidéos arrivent très prochainement, faites nous confiance !
Il est maintenant temps de nous quitter, merci d’avoir lu cet article, on se revoit très vite sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Une autre enquête sur le climat de travail toxique dans la violence domestique SOS publiée par la chaine Youtube Dernières Meta-Nouvelles :
# #Uneautre #enquêteclimat #travailtoxique
https://gotopnews.com/post/44039
Une deuxième enquête en moins de cinq ans sera menée à la violence domestique SOS, tandis que la direction actuelle fait face à des allégations de harcèlement psychologique, de violence au travail et de climat toxique, a appris notre bureau d'enquête. "Il s'agit d'une enquête sur laquelle l'employeur doit procéder. Mais je ne pourrai pas vous en dire plus car il est vraiment sous la couverture confidentielle. Nous ne voudrions pas interférer ou interférer dans cette enquête", a commenté Marie-Sylvie Poissant, président du conseil d'administration de SOS Domestic Violence, brièvement. Cette demande d'enquête survient à la suite des révélations de notre bureau d'enquête en avril dernier, à l'effet des employés et des anciens employés de l'organisation qui ont subi ou témoin de harcèlement et de harcèlement et de manque de respect de la gestion de la violence domestique SOS. Le syndicat avait également dénoncé l'atmosphère de travail dans une lettre adressée l'année dernière à deux ministres québécois. Les employés ont décrit un climat "caractérisé par des manœuvres de manipulation, de harcèlement administratif et de répression". Après avoir lu cette missive, le Québec avait offert la gestion de la violence domestique SOS pour faire appel au ministère du Travail pour mettre en place un processus de médiation. Le syndicat a également favorisé cette avenue. Entreprise spécialisée Cette solution n'a pas été conservée par le conseil d'administration. Selon nos informations, un avocat du cabinet spécialisé dans les ressources humaines de Relais Congseil a été mandaté pour déterminer si les allégations destinées aux employés de la Direction de la violence domestique SOS ont été fondées et si oui, quelles actions seront prises. Soyez prudent, le syndicat des employés de la violence domestique SOS a appelé à émettre "certaines réserves" face à cette enquête. Laurent Thivierge, chef du dossier du CSQ, fait valoir que les employés ont également demandé une réunion avec le conseil d'administration afin d'obtenir des réponses à leurs questions. Deuxième enquête Il s'agit de la deuxième enquête en cinq ans pour la violence domestique SOS. En 2017, l'ancien directeur général de l'organisation Joane Turgeon, a été licencié pour avoir harcelé des collègues au travail, a révélé notre bureau de l'enquête en septembre dernier. Ce licenciement s'est produit à la suite d'une enquête du cabinet Expert Relais Conseil, la même qui a été conservée pour cette enquête sur la nouvelle direction. Référence du Québec En matière de violence domestique et psychologique, invitée experte dans plusieurs médias et devant le tribunal, Joane Turgeon enseigne depuis trente ans à la Faculté d'éducation permanente de l'Université de Montréal. Celui qui est également psychologue était toujours cet automne à la tête de deux cours. Suspendu ... et réintégré Dans le sillage de notre rapport, l'Université de Montréal a suspendu Joane Turgeon alors que "les vérifications nécessaires pour clarifier la situation", a déclaré un porte-parole de l'établissement. Sans tambour ni trompette, le professeur a rétabli ses fonctions le 10 octobre. "Veuillez noter que Mme Turgeon ne répondra à aucune question sur les raisons de cette absence", lira un e-mail envoyé à ses étudiants et signé par le directeur du programme à la Faculté de formation permanente de l'UDEM. Cette décision a surpris les femmes qui soutiennent avoir subi des gestes de harcèlement de Joane Turgeon, lorsqu'elle était à la tête de la violence domestique SOS. C'est que certains d'entre eux avaient d'abord été leurs étudiants avant d'être embauchés par SOS Domestic Violence. "Elle recrutait à l'université", a déclaré une source, qui souhaite garder l'anonymat par peur des représailles. L'Université de Montréal a refusé de commenter le dossier de Mme Turgeon, évoquant sa confidentialité.