Brigitte Macron : après la rumeur transphobe, la première dame rompt le silence

Brigitte Macron : après la rumeur transphobe, la première dame rompt le silence

La première dame, Brigitte Macron, a été victime d'une rumeur transphobe il y a quelques semaines. Depuis, elle a décidé de porter plainte et s'est exprimée aujourd'hui sur cette affaire choquante.

Brigitte Macron traverse une période compliquée. Il y a quelques semaines, une rumeur infondée a vu le jour sur les réseaux sociaux, selon laquelle la première dame était à l'origine un homme et avait changé de sexe et de nom. L'affaire transphobe a été largement relayée en quelques jours, obligeant les médias à prouver qu'il s'agissait d'une fake news choquante. Mercredi midi, Brigitte Macron s'est à nouveau exprimée sur cette affaire sur le plateau de TF1.

Brigitte Macron et la rumeur transphobe

Une rumeur transphobe infondée a collé aux basques de Brigitte Macron ces dernières semaines, suite à son changement de nom, de sexe et d'identité. Cette histoire, qui a pris de l'ampleur sur les réseaux sociaux, a été initialement lancée par des militants d'extrême droite pour nuire à la Première dame.

L'épouse d'Emmanuel Macron était ce midi l'invitée du 13h de TF1 chez Jacques Legros pour évoquer le lancement de la campagne des Pièces Jaunes, lancée par Bernadette Chirac dans le passé. L'ancienne professeure de théâtre est revenue sur cette histoire transphobe : "Bien sûr, c'est un mensonge, mais cela m'a permis de comprendre ce que je voulais pour les mineurs. Je demande que nous soyons plus prudents en n'ayant pas de réseaux sociaux avant l'âge de 13 ans. Je demande qu'on ait enfin des modérateurs qui parlent français. Je demande que lorsqu'on est mineur, on puisse retirer des contenus extrêmement rapidement.

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Elle réaffirme sa volonté de porter plainte.

Après avoir appelé à mettre en place des formations à l'école et dès le primaire sur la notion de cyberharcèlement et les enjeux des réseaux sociaux, la première dame a réaffirmé sa volonté de porter plainte contre les auteurs de ces fake news transphobes : "Oui, je vais porter plainte, mais c'est un peu long. Il faut les captures d'écran, il faut l'intégralité des propos rapportés (...) j'ai mis cinq jours et demi à tout retracer, avec des avocats qui sont rompus à cela", a déclaré Brigitte Macron dans l'émission de Jacques Legros.

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