Deux anciennes Claudettes de Claude François parlent de son comportement toxique

Deux anciennes Claudettes de Claude François parlent de son comportement toxique

Claude François reste l'un des plus grands noms de l'histoire de la musique française. Mais plus de quarante ans après sa mort, ses anciennes danseuses, les Claudettes, dénoncent un comportement extrême du chanteur.

Jusqu'à aujourd'hui, on l'écoute toujours avec plaisir. Claude François, décédé en 1978, a fait danser la jeunesse française pendant près de vingt ans. Des titres cultes, des chorégraphies légendaires et des danseuses que tout le monde connaissait... Pourtant, la relation qu'il entretenait avec ses "Claudettes" a été récemment mise en lumière et le moins que l'on puisse dire, c'est que le chanteur était très intransigeant et parfois limite.

Le comportement de Claude François

Claude François a fait se lever la France pendant les années de boom ou lors de ses nombreux concerts. Aussi génial qu'il ait pu être, "Cloclo" pouvait cacher un côté sombre. Ce sont deux de ses anciennes chanteuses, Ketty et Carole, qui se sont exprimées sur la scène de TPMP en mars 2022. Les Claudettes ont fait des confessions intimes concernant leur relation avec l'artiste.

Ce dernier pouvait parfois se montrer très dur à leur égard et n'hésitait pas à tenir des propos racistes. Comme le résume un article de nos consœurs de Femme Actuelle, Ketty est revenue sur une déclaration choquante du chanteur : "Il a dit : 'Si j'ai engagé une Noire, ce n'est pas pour qu'elle soit plus raide qu'une Blanche'". La femme, devenue par la suite restauratrice, a également raconté un jour où elle était arrivée une heure en retard à une répétition. Claude François lui aurait alors dit : "Retour sur ton cocotier".

Claude François est exigeant

Ces remarques choquantes n'ont malheureusement pas été les seules pour les deux Claudettes, qui ont tout de même tenu à préciser que le chanteur n'était "pas raciste" et qu'il pouvait se montrer "très généreux". Carole, elle, s'est souvenue d'une autre anecdote forte. Claude François l'aurait licenciée un jour où elle était très malade, mais aussi parce qu'elle avait "un trou dans son collant".