Comme le rappellent nos confrères du Parisien dans un article paru dimanche 27 février 2022, des changements importants vont intervenir dès demain dans la vie quotidienne en ce qui concerne les restrictions sanitaires. Le gouvernement a en effet annoncé de nouveaux assouplissements, comme la fin du port du masque dans les lieux soumis au carnet de vaccination. Dans les musées, les cinémas et les restaurants, le masque ne sera plus obligatoire. Il restera toutefois obligatoire sur le lieu de travail, dans les magasins ou dans les transports. Un décret publié le samedi 26 février 2022 précise toutefois que le préfet de département pourra continuer à imposer le port du masque "si les circonstances locales le justifient".
Une rentrée scolaire facilitée
Le protocole de santé dans les écoles de niveau 2 évolue. Comme l'avait annoncé le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, le 11 février 2022, le port du masque ne sera plus obligatoire pendant la récréation. En revanche, à l'intérieur, il restera obligatoire pour les personnels et les élèves de plus de 6 ans.
En ce qui concerne les cas de contact en classe, un enfant déclaré cas de contact ne devra plus effectuer qu'un seul test (PCR, antigène ou autotest) deux jours plus tard avant de pouvoir retourner en classe si celui-ci est négatif. Ces mesures sont justifiées, selon le gouvernement et le Haut Conseil de la santé publique, par la diminution de l'épidémie et la baisse régulière du nombre d'hospitalisations depuis le pic de fin janvier 2022. En cas d'autotest positif, une PCR ou une recherche d'antigène doit être réalisée pour confirmation.
🇫🇷🦠FLASHne| À partir de lundi, le #masque
s'assouplissent, découvrez ce qui va changer dès demain !sera plus obligatoire dans les lieux soumis au #passageàlavaccination.
(@CerfiaFR) February 26, 2022Les restrictions sanitaires
👉Mais il restera toujours obligatoire dans les transports.
(Gouvernement) #COVID19-Cerfia
Bientôt la fin du carnet de vaccination ?
Le Premier ministre avait indiqué que le carnet pourrait être supprimé en cas de baisse de l'épidémie. Le gouvernement estime en tout cas qu'il y a "des raisons d'espérer" que "fin mars, début avril, nous pourrons lever le carnet de vaccination", parce que la situation sanitaire se sera améliorée, avait indiqué le porte-parole Gabriel Attal. "Il y a des raisons d'espérer que d'ici cet horizon, la situation se sera suffisamment améliorée pour que nous soyons en mesure de lever ses mesures ultimes", avait-il ajouté. "Nous avons toujours dit que ces mesures seraient levées dès que la situation sanitaire le permettrait".