Éric Zemmour : il aimerait que cette femme politique célèbre devienne Premier ministre

Éric Zemmour : il aimerait que cette femme politique célèbre devienne Premier ministre

Dans une interview pour Elle, Éric Zemmour a évoqué son éventuel futur gouvernement ? peut-être avec Marion Maréchal à sa tête.

Les élections présidentielles approchent à grands pas. Les 10 et 24 avril auront lieu le premier et le deuxième tour des élections. Les candidats et candidates se préparent à l'élection. Parmi eux, il y a bien sûr Eric Zemmour, qui fait régulièrement parler de lui dans les médias.

Son point de vue sur les femmes

Mercredi 16 février, il a répondu aux questions du magazine féminin Elle. L'ancien polémiste en a profité pour évoquer sa vision des femmes, du féminisme et de la place qu'elles devraient occuper dans son gouvernement s'il est élu président de la République à la place d'Emmanuel Macron, qui n'a pas encore officialisé sa candidature.

" Je trouve que la parité est humiliante pour les femmes. [...] Je crois au mérite, c'est la seule valeur que je connaisse. Dans mon gouvernement, il y aura bien sûr des femmes. Il peut même y en avoir plus que d'hommes !", a-t-il d'abord avoué.

Une femme Premier ministre ?

Eric Zemmour pourrait même nommer une femme Premier ministre à la tête du gouvernement, comme il l'a dit. Et pas n'importe qui, puisqu'un nom très connu a été évoqué au cours de l'entretien. Interrogé sur la possibilité de faire de Marion Maréchal un Premier ministre, Éric Zemmour n'a pas esquivé la question, bien au contraire. Il s'est même montré joueur. "Bien sûr que ce serait envisageable [...] Ce n'est pas parce que c'est une femme qu'elle ne pourrait pas être Premier ministre !", a-t-il affirmé. Pour qu'il puisse la promouvoir, il faudrait toutefois qu'elle rejoigne son parti et fasse campagne à ses côtés.

Récemment, le candidat avait évoqué la possibilité de faire de Christine Kelly l'une de ses ministres. Edith Cresson a été le seul Premier ministre de la Cinquième République et est restée en poste du 15 mai 1991 au 2 avril 1992 sous François Mitterrand.