1. Yann Barthes ne regarde pas les reportages avant leur diffusion.
Et il ne le fait pas par paresse, bien au contraire. Il ne participe pas à la conférence de rédaction matinale de 9h30 parce qu'il veut être le plus frais possible au moment de la diffusion et poser les questions les plus naturelles. La spontanéité est la clé du ton de l'émission.
2. Quotidien n'est pas tout à fait en direct.
C'est ce qu'on appelle le "time-delay" ou le léger différé. En fait, il y a un décalage de 5 minutes entre l'enregistrement et la diffusion de l'émission. Pourquoi faisons-nous cela ? C'est une soupape qui offre un filet de sécurité en cas de problème majeur dans l'émission en direct, et qui donne à la régie le temps de reprendre le contrôle, bis....
Dans le jargon, on appelle cela "faire le ménage". La rédaction assure toutefois qu'elle ne remettra jamais l'émission sur pied.
3. le logo de Quotidien n'est pas simplement un Q.
Si vous regardez rapidement, vous verrez un beau Q coloré, un hommage direct au nom de l'émission, mais ce n'est pas tout. Prenez un peu de recul et imaginez que le Q est en réalité un ... microphone. Le micro est une marque de fabrique de Quotidien et un symbole de reportage. Il fallait aussi qu'il soit bien placé !
4. Yann Barthès est surnommé Complicus.
De la part de ses proches ou de ses collaborateurs, ce surnom circule, révèle Gala. Pourquoi en est-il ainsi ? Parce qu'il est très professionnel et qu'il est très méthodique dans son travail. Il cherche à chaque fois le moindre détail, ce qui le rend un peu... peut le rendre ennuyeux. Il répète ses interviews et écrit tous ses textes seul. Mais c'est aussi ça la clé du succès : travailler dur.
5. Quotidien ne s'est pas toujours appelé Quotidien (quotidien).
Ce n'est pas un scoop, mais pour les plus jeunes : Quotidien existait auparavant sur Canal Plus et s'appelait Le Petit Journal. Depuis 2011, Yann Barthès dirige le format, d'abord sous le nom de Voix-off, puis de Face Cam.
C'est d'ailleurs lui qui coproduit l'émission avec sa société appelée Bangumi. Et Bangumi signifie : "émission de télévision"... en japonais, la grande passion de Yann Barthès.