Comme vous le savez, ce n’est pas la première fois qu’on parle de la chaîne Youtube Santé Naturelle 365 sur Allo Trends, et à chaque fois ça vous captive toujours autant ! En même temps, on vous comprend, les contenus qu’on y trouve sont tout simplement uniques. On est sûr que cette vidéo va vous intéresser, c’est bien pour cela que nous avons pris la décision de faire cet article.
Aujourd'hui, 27 mars 2023, la chaîne Youtube Santé Naturelle 365 a publié un nouveau contenu qui porte comme titre École d’hier et d’aujourd’hui : Était-ce vraiment mieux avant ?. Si vous souhaitez regarder cette vidéo en streaming, vous êtes tombé au bon endroit !
Très bons retours pour le moment pour la dernière vidéo de la chaîne Youtube Santé Naturelle 365, même si c’est souvent le cas sur les commentaires qu’on retrouve sur cette chaîne que les internautes adorent depuis bien longtemps déjà. Si les retours continuent à être aussi positifs, l'algorithme de Google pourrait décider de la proposer à de nombreux internautes.
Parfois lorsqu’on regarde une vidéo sur internet, on peut avoir des retours à faire au créateur de contenu. Pour lui parler d’un souci ou bien d’une erreur que l’on a découverte par exemple. C’est pour cela que Youtube a mis en place une section "À propos" qui vous permettra de contacter tous vos youtubers préférés ainsi que toutes les chaînes dont vous avez besoin. Dans l'hypothèse où malgré ces conseils vous n’arrivez pas à joindre la chaîne souhaitée, il vous reste les réseaux sociaux comme twitter où il est très simple d’envoyer un message pour faire remonter une information.
Vous avez maintenant toutes les informations sur la vidéo École d’hier et d’aujourd’hui : Était-ce vraiment mieux avant ?, on espère que ça vous convient et que vous y avez trouvé votre intérêt. Nous croisons les doigts pour que vous reveniez très vite sur Allo Trends pour suivre les prochaines vidéos de Santé Naturelle 365, pensez à aller faire un tour aussi sur Youtube pour trouver d’autres contenus exclusifs.
C’est fini, on remballe ! A bientôt pour un nouvel article sur votre site préféré : Allo Trends évidemment !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo École d’hier et d’aujourd’hui : Était-ce vraiment mieux avant ? publiée par la chaine Youtube Santé Naturelle 365 :
École d’hier et d’aujourd’hui : Était-ce vraiment mieux avant ? |Invicta Men's Pro Diver Stainless Steel Quartz Watch: https://amzn.to/3zkrZSD . Please help me with an order to maintain the system, thanks a lot.| Marie Duru-Bellat. À l’école comme au collège, les élèves sont assez obsédés par leur apparence et leur tenue. C’est une façon d’exprimer leur individualité, leur personnalité… D’aucuns pensent qu’en portant l’uniforme, les différences et les inégalités seront gommées, mais il faudrait que les familles l’achètent, ce qui n’est pas simple pour les plus défavorisées. En 2018, à Provins, l’uniforme a été recommandé dans les écoles primaires, mais peu de parents y ont souscrit, faute d’argent et d’obligation… L’idée a finalement été abandonnée. Aujourd’hui, il est imposé dans un tiers des établissements d’outre-mer, avec succès : la tenue unique met en condition, les élèves sont plus concentrés sur le travail, moins sur leurs apparences. Marie Duru-Bellat. Aujourd’hui, filles et garçons étudient les mêmes programmes, ont les mêmes enseignants, les mêmes diplômes, ce qui n’était pas forcément le cas quand la mixité n’existait pas : les filles apprenaient les arts ménagers, mais peu de matières intellectuelles. Aujourd’hui, des expériences de nonmixité sont régulièrement menées, particulièrement au collège : les jeunes filles disent apprécier car elles se sentent plus tranquillisées, moins « ennuyées » par les garçons, plus libres de prendre la parole. Néanmoins, elles reconnaissent qu’il ne faut pas que cela dure trop longtemps car elles apprécient de côtoyer les garçons. Des collèges ont séparé filles et garçons dans des matières jugées plus « masculines » comme les mathématiques ou les sciences, où les filles se sentent moins à leur place et donc prennent moins la parole. Lire aussi : Après qu’il arrive toujours en retard, une école punit un petit garçon Antonella Verdiani. Certes, les coups de règle sur les doigts, le bonnet d’âne et d’autres châtiments corporels n’existent plus et c’est une bonne chose ! Toutefois, ils ont été remplacés par la « violence éducative ordinaire ». Ce sont des mots adressés de façon blessante, des notes rendues devant toute la classe, avec comme message « Nul » ! Ce n’est pas plus facile à vivre que les coups de règle ! Marie Duru-Bellat. Les élèves aiment savoir où ils en sont, mais on n’est pas obligé de théâtraliser avec un tableau d’honneur. S’il ne faut pas supprimer les évaluations, mieux vaut réfléchir au message qui les accompagne : expliquer à chacun les notions incomprises, puis les retravailler. Un message formateur est plus intelligent qu’un classement ! En France, on note avec une dureté qui n’existe pas au Royaume-Uni, en Scandinavie, en Espagne et en Italie. Dans ces pays, l’école est beaucoup plus bienveillante. Antonella Verdiani. On peut très bien se passer des notes pour évaluer. Dans certaines écoles canadiennes, mais aussi de France, les élèves pratiquent l’autoévaluation. Ils apprennent également à travailler en groupe et à s’entraider. Ce qui est important. Des enfants en classe. Source : spm Antonella Verdiani. La tablette ne remplace pas le stylo ; les deux sont complémentaires. Toutefois, apprendre à écrire manuellement stimule des zones du cerveau qui favorise l’apprentissage, plus que l’utilisation du clavier. Il ne faut donc pas faire l’impasse. Cependant, il ne faut pas supprimer tout cet univers tactile et le plaisir qu’il procure ! Antonella Verdiani. Les outils numériques ont de réels atouts, à condition que l’on sache s’en servir. Aujourd’hui, on manque de méthode ! Les élèves ne sont pas assez formés aux nouveaux systèmes, aux recherches sur Internet… Il faut leur apprendre à chercher, à confronter les sources, à vérifier les informations avec discernement. De plus en plus d’enseignants le font, mais pas assez. Les jeunes sont plus rapides que les adultes, certes, mais ils ne savent pas reconnaître une source réelle d’une fake news. Des enfants étudient