Comme vous le savez, ce n’est pas la première fois qu’on parle de la chaîne Youtube SANTÉ ZEVO sur Allo Trends, et à chaque fois ça vous captive toujours autant ! En même temps, on vous comprend, les contenus qu’on y trouve sont tout simplement uniques. Parfois on hésite à écrire un article car on ne sait pas s' il vous plaira, mais aujourd'hui nous savons que cette vidéo vous intéressera.
Pour ne rien vous cacher, quand on a vu que la chaîne Youtube SANTÉ ZEVO avait publié une nouvelle vidéo qui s'appelait Affaire Delphine Jubillar : cette voiture suspecte que les gendarmes n’ont pas pu..., nous n’avons pas hésité une seconde à vous la partager pour que vous puissiez la découvrir !
Cette vidéo fait actuellement le buzz sur internet et pourrait peut être se retrouver dans les tendances de Youtube. Elle a été publiée il y a quelques heures par le vidéaste de la chaîne Youtube SANTÉ ZEVO qui publie très régulièrement des vidéos similaires au contenu dont nous vous parlons aujourd’hui.
Des internautes peuvent parfois rencontrer des problèmes avec une vidéo, ou bien tout simplement avoir envie de transmettre des informations suite à une erreur dans le montage par exemple. Par contre, même si vous trouvez l’adresse email d’un Youtuber en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne Youtube, rien ne vous garantit qu’il va vous répondre… Essayez dans ce cas de le contacter sur les réseaux sociaux, la plupart utilisent Twitter, d’autres Instagram, les plus vieux sont quant à eux toujours sur Facebook !
Vous avez maintenant toutes les informations sur la vidéo Affaire Delphine Jubillar : cette voiture suspecte que les gendarmes n’ont pas pu..., on espère que ça vous convient et que vous y avez trouvé votre intérêt. Le saviez-vous ? Sur Youtube, vous pouvez trouver d’autres vidéos de SANTÉ ZEVO qui ont pu être uploadé par d’autres utilisateurs et qui ne sont pas encore référencés sur Allo Trends. Si jamais vous êtes curieux, allez y faire un tour, on ne sait jamais !
Et voilà c’est déjà fini, on se revoit très bientôt sur Allo Trends pour un nouvel article. Bisous bisous !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Affaire Delphine Jubillar : cette voiture suspecte que les gendarmes n’ont pas pu... publiée par la chaine Youtube SANTÉ ZEVO :
Affaire Delphine Jubillar : cette voiture suspecte que les gendarmes n’ont pas pu...
Alors qu'une deuxième demande de remise en liberté a été déposée par les avocats de Cédric Jubillar, ce dernier, mis en examen pour homicide volontaire sur conjoint en juin dernier et incarcéré à la maison d’arrêt de Seysses, en Haute-Garonne, continue de clamer son innocence. Très présent dans les médias, l'un de ses conseils, maître Jean-Baptiste Alary, pointe du doigt un dossier vide. Accordant une interview à nos confrères de Femme Actuelle, l'avocat de Cédric Jubillar a révélé de nouveaux éléments du dossier.Dans cet entretien, il évoque notamment une automobile roulant à toute vitesse le soir de la disparition de Delphine Jubillar, cette nuit de décembre 2020. Une piste que l'avocat aurait aimé creuser. En vain. "Aujourd’hui, huit mois après les faits, il est clair que c’est foutu" regrette-t-il, "il y a eu une expertise et un processus d’amélioration d’image sur la séquence de cette voiture qui roule à toute vitesse, mais ils n’ont pas réussi à identifier la plaque d’immatriculation. La voiture roule beaucoup trop vite".Dans les colonnes de Midi Libre, maître Jean-Baptiste Alary avait également déploré qu'une autre piste n'ait pas été étudiée davantage. Les aveux troublants d'un autre homme que son client Cédric Jubillar, qui s'accusait du meurtre de l'infirmière. Il déclarait notamment, dans un sms envoyé à son ex-compagne : "J'ai bien tué Delphine, car elle était en couple et qu'elle n'a pas voulu quitter son mari et ses enfants pour moi. On s'est vus, on s'est disputés, je suis sorti de mes gonds, je ne me suis pas reconnu. Je l'ai frappée, frappée, frappée. Elle est morte et je l'ai enterrée dans le travers," avait-il confié. Réitérant ses propos quelques jours plus tard, toujours par sms."Que je sache son alibi n'a pas été vérifié, ni le bornage de son téléphone. Et aucune perquisition n'a eu lieu à son domicile. C'est une piste à creuser. Quand on est tombé là-dessus dans le dossier, j'ai cru que je tombais de ma chaise. Ils n'ont travaillé que dans l'unique objectif monomaniaque de la culpabilité du mari" avait déploré l'avocat. Selon La dépêche, cette piste n'avait pas été prise au sérieux par les enquêteurs. L'homme avait reconnu avoir menti.
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