C'est devenu quelque chose d'indispensable. Que ce soit pour le travail ou pour le divertissement, ouvrir et surfer sur son ordinateur est aujourd'hui une tâche quotidienne. Pourtant, certaines pratiques que l'on croit banales sont illégales et peuvent vous attirer de nombreux ennuis.
Pratiques illégales
Bien que vous puissiez trouver presque tout sur Internet, des derniers films Netflix aux conseils pour mieux éduquer votre animal de compagnie, tout ce que vous faites ou regardez n'est pas légal. Le New-York Posta a révélé une liste de choses inoffensives faites sur Internet et qui peuvent coûter cher. Avez-vous déjà regardé des films ou des séries en streaming sur des plates-formes interdites ? C'est contraire à la loi, notamment à l'ancienne Hadopi, devenue Arcom en France.
Après plusieurs rappels à l'ordre non suivis d'effet, il se peut que vous receviez une demande de suppression ou que les autorités soient saisies. Une autre pratique courante consiste à consulter des services payants qui sont gratuits à l'aide d'un bloqueur ou d'extensions. Consulter des contenus payants sans avoir payé le montant au préalable s'apparente à du vol.
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Images non libres de droits
Au cours de vos études et pour parler de votre passion, vous devrez peut-être utiliser des sites comme Wordpress ou une page Facebook personnalisée. Pour illustrer vos contenus, vous utiliserez probablement des images de Google Images, qui ne vous appartiennent pourtant pas, comme le rapportent nos collègues américains. Si certaines de ces images appartiennent à des photographes, vous risquez même de payer une lourde amende pour utilisation illégale et violation des droits d'auteur.
Une autre interdiction inconnue est le partage des codes Netflix dans les conversations. La plateforme de streaming envisagerait même de réduire l'accès à ses comptes. Ce serait même un "crime fédéral" d'utiliser les codes de quelques autres... Une autre chose courante qui peut coûter cher est le téléchargement de vidéos YouTube au format MP3 et MP4. Cela figure tout simplement dans les conditions générales du service de Google.
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