L'annonce d'une future paternité ou maternité est généralement une source de joie, mais une question surgit rapidement : Mais quel sera le prénom de l'enfant ? Qu'il soit cliché, classique, révolutionnaire ou même avant-gardiste, le choix du prénom est une étape décisive. L'état civil permet un large choix, mais certains prénoms sont heureusement interdits.
Prénoms interditsQuand on parle de
naissance, on a tous en tête une série de prénoms. Pour certains, le futur enfant portera l'acronyme d'une star du football, pour d'autres celui d'un grand nom de cinéma, comme Kevin dans les années 1990 grâce au génial Kevin Cosner. Mais ne vous trompez pas dans le choix du prénom, car il accompagnera la vie de votre enfant du début à la fin. En France, certaines règles encadrent cette charge parentale. Le prénom ne doit pas être une insulte.
Il ne doit pas non plus aller à l'encontre de l'intérêt personnel de l'enfant. Le prénom ne doit pas "porter atteinte au droit d'une autre personne à la protection de son nom de famille". Oubliez donc les Mbappé, Griezmann et Zidane, comme ce fut le cas pour les familles après la victoire à la Coupe du monde 2018. Le prénom ne doit pas non plus être le nom de l'un des deux parents. L'alphabet français doit être utilisé.
A lire aussi : Et les prénoms à la mode en 2050 seront.... seront.Quelques exemples de prénoms interditsComme nous l'avons déjà mentionné
, les prénoms attribués en référence à des stars du football français ont été refusés. Des noms de marque comme Nutella ou Mini-Cooper ont été interdits, car ils n'étaient pas considérés comme étant dans l'intérêt de l'enfant. Michael Jackson, Prince-William ou Titeuf ont été rejetés par la justice, obligeant les parents à modifier leur choix. De plus, s'ils ne se décident pas, le juge aux affaires familiales peut décider à leur place. Certains prénoms sont d'ailleurs ciblés pour des fraudes redoutables.