Comme il y a quelque temps, vous aviez été très nombreux à vous rendre sur un de nos articles qui parlait d’une des dernières vidéos de la chaîne SUB-TIL productions, on en remet une couche aujourd’hui car nous savons combien ça vous fait tout particulièrement plaisir. Parfois on hésite à écrire un article car on ne sait pas s' il vous plaira, mais aujourd'hui nous savons que cette vidéo vous intéressera.
La chaîne Youtube SUB-TIL productions a publié aujourd’hui une nouvelle vidéo qui s’appelle Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 2. Vous voulez découvrir cette vidéo et la regarder en streaming, vous êtes chanceux on vous l’a mis de côté !
La vidéo est actuellement en vogue sur le web et pourrait se retrouver au top dans les tendances de la plateforme de VOD de Google. Après son upload il y a à peine 30 minutes par la chaîne Youtube SUB-TIL productions, beaucoup d’internautes ont commencé à la regarder avec grand intérêt. C’est d’ailleurs souvent comme ça sur cette chaîne qui publie régulièrement des vidéos semblables à celle dont nous vous parlons aujourd’hui.
N’oubliez pas que vous pouvez contacter l’auteur de cette vidéo pour lui faire part de vos remarques et conseils ou bien même pour le questionner sur le sujet de son contenu. Si vous souhaitez faire des retours au créateur de la vidéo, n'hésitez pas à contacter l’auteur en vous rendant dans la section “A propos” de sa chaîne youtube. Ou bien en tentant de le joindre sur ses réseaux sociaux tout simplement, c’est quand même bien pratique des fois twitter !
Toute la rédaction souhaite que vous ayez aimé cet article, ainsi que la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 2 que vous avez découvert aujourd’hui à nos côtés. Lorsqu'on écrit un article et qu’on voit qu’il fait des vues car il plaît à notre communauté, on a qu’une hâte, c’est de réussir à vous convaincre de revenir nous lire plus souvent ! Alors faites nous plaisir et repassez régulièrement sur Allo Trends pour suivre d’autres vidéos de SUB-TIL productions.
Nous on se retrouve très prochainement pour un nouvel article sur Allo Trends, à bientôt !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 2 publiée par la chaine Youtube SUB-TIL productions :
Admirateur des films de Robert Flaherty, Jean Rouch donne une nouvelle impulsion au cinéma ethnographique en filmant avec une caméra 16 mm des faits sociaux précis. Son Initiation à la danse des possédés (1948) est remarquée dans des festivals, et les films qui vont suivre connaissent souvent une exploitation commerciale. Jean Rouch n'est pas seulement un homme d'étude. Son mérite est de joindre à ses observations anthropologiques un bagage technique et une méthode d'approche de plus en plus personnelle. En effet, il est son propre opérateur, enregistre les événements dans leur continuité - sans couper les très longs plans séquences - et tourne au coeur de l'action, la caméra à la main. Les Maîtres fous (1954), extraordinaire document sur les rites de possession de la secte des Haoukas au Niger, est à cet égard la référence du cinéma selon Jean Rouch. Le film, critiqué pour sa minutie d'entomologiste, déclenche la controverse. Il se justifie par l'emploi d'un ton direct et improvisé, et par un commentaire explicatif visant à la précision et à l'objectivité. Afin de désamorcer les critiques, le cinéaste déploie un regard dans toutes les directions avec La Pyramide humaine (1959), où, au lycée d'Abidjan, les Blancs sont autant observés que les Noirs, et avec Petit à petit (1970), où il soumet les Parisiens au regard d'un Nigérien. Ce faisant, Jean Rouch développe un cinéma plus subjectif, comme en témoigne son entreprise majeure, Chronique d'un été (1960), en collaboration avec Edgar Morin, une enquête sociologique dans le Paris de l'été 1960, et ses essais de " cinéma vérité " aux limites de la fiction comme La Punition (1960) et Gare du Nord (1964, sketch de Paris vu par). Par la suite, l'Afrique demeure son sujet de prédilection, qu'elle soit traditionnelle ou soumise à l'influence néocoloniale. Si son humanisme dénué de toute idéologie emporte toujours la sympathie, Jean Rouch ne retrouve pas le souffle des Maîtres fous.