Et oui, encore un article aujourd’hui à propos de la chaîne Youtube Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 9, vous commencez à en avoir l’habitude vous qui suivez assidûment Allo Trends depuis tant d'années déjà ! L'intérêt pour cette chaîne ne cesse de croître au fil des années et nous sommes très heureux de vous la partager une nouvelle fois. Et c’est ainsi que nous avons pris la décision de vous partager en ce jour ce dernier contenu qui pourrait éveiller votre intérêt.
Quand nous avons vu pour la première fois la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 9 de la chaîne SUB-TIL productions, nous savions que notre communauté aimerait la regarder en streaming au plus vite. Nous nous sommes donc empressé d'écrire cet article pour le publier dans les plus brefs délais.
Depuis plusieurs heures, beaucoup d’internautes parlent de cette nouvelle vidéo sur les réseaux sociaux et elle fait aussi réagir les gens sur de nombreux forums de discussion. Ce n’est pas la première fois que la chaîne Youtube SUB-TIL productions sort une vidéo qui fait parler d’elle, et nous connaissons votre grand intérêt pour ce style de contenus.
Avez-vous un problème avec cette vidéo ? Ou bien avez-vous vu une petite erreur dans le contenu que vous venez de regarder ? Première solution pour contacter l’auteur de cette vidéo, c’est sur Youtube que ça se passe : Essayez de trouver son adresse email dans “A propos”. Si vous n’avez pas de réponse, vous pouvez réessayer de le contacter mais sur une autre plateforme. Twitter semble être un moyen assez simple pour interpeller un Youtuber à propos d’un de ses contenus.
Vous avez maintenant toutes les informations sur la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 9, on espère que ça vous convient et que vous y avez trouvé votre intérêt. Vous avez déjà regardé la vidéo en entier ? Pensez à checker notre site pour trouver d’autres contenus liés à SUB-TIL productions, on en a pas mal de disponible et de nouvelles vidéos arrivent très prochainement, faites nous confiance !
Il est maintenant temps de nous quitter, merci d’avoir lu cet article, on se revoit très vite sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 9 publiée par la chaine Youtube SUB-TIL productions :
Admirateur des films de Robert Flaherty, Jean Rouch donne une nouvelle impulsion au cinéma ethnographique en filmant avec une caméra 16 mm des faits sociaux précis. Son Initiation à la danse des possédés (1948) est remarquée dans des festivals, et les films qui vont suivre connaissent souvent une exploitation commerciale. Jean Rouch n'est pas seulement un homme d'étude. Son mérite est de joindre à ses observations anthropologiques un bagage technique et une méthode d'approche de plus en plus personnelle. En effet, il est son propre opérateur, enregistre les événements dans leur continuité - sans couper les très longs plans séquences - et tourne au coeur de l'action, la caméra à la main. Les Maîtres fous (1954), extraordinaire document sur les rites de possession de la secte des Haoukas au Niger, est à cet égard la référence du cinéma selon Jean Rouch. Le film, critiqué pour sa minutie d'entomologiste, déclenche la controverse. Il se justifie par l'emploi d'un ton direct et improvisé, et par un commentaire explicatif visant à la précision et à l'objectivité. Afin de désamorcer les critiques, le cinéaste déploie un regard dans toutes les directions avec La Pyramide humaine (1959), où, au lycée d'Abidjan, les Blancs sont autant observés que les Noirs, et avec Petit à petit (1970), où il soumet les Parisiens au regard d'un Nigérien. Ce faisant, Jean Rouch développe un cinéma plus subjectif, comme en témoigne son entreprise majeure, Chronique d'un été (1960), en collaboration avec Edgar Morin, une enquête sociologique dans le Paris de l'été 1960, et ses essais de " cinéma vérité " aux limites de la fiction comme La Punition (1960) et Gare du Nord (1964, sketch de Paris vu par). Par la suite, l'Afrique demeure son sujet de prédilection, qu'elle soit traditionnelle ou soumise à l'influence néocoloniale. Si son humanisme dénué de toute idéologie emporte toujours la sympathie, Jean Rouch ne retrouve pas le souffle des Maîtres fous.