Après avoir été diffusée pour la première fois en 2020, l'émission Qui veut être mon associé ? est de retour depuis le 5 janvier 2022 avec une deuxième saison animée par Xavier Domergue (qui remplace Julien Courbet).
Chaque mercredi, nous rencontrons donc plusieurs candidats entrepreneurs venus présenter et vendre leur projet d'entreprise afin d'obtenir des fonds d'investissement de la part du jury composé de chefs d'entreprise présents sur le plateau. Les entrepreneurs promettent une certaine somme d'argent à investir en échange de parts dans l'entreprise. Mais une fois l'accord conclu, peuvent-ils revenir sur leur décision ?
Les investisseurs de Qui veut être mon partenaire ?
Les sept investisseurs qui composent le jury de l'émission sont eux-mêmes des entrepreneurs à succès en France, qui souhaitent investir dans de nouveaux projets attractifs et innovants. Ils sont là pour accompagner, conseiller et financer des entreprises prometteuses afin qu'elles puissent grandir et réaliser leurs rêves.
Voilà donc les investisseurs de Qui veut être mon associé ?
Delphine André:
Présidente du Groupe Charles André (CGA), un acteur européen du transport et de la logistique au service de l'industrie.Éric Larchevêque : Ingénieur fondateur de Ledger, la neuvième licorne française, dans le domaine de la sécurité des crypto-actifs. Dans le monde de l'entrepreneuriat, une licorne désigne une start-up de moins de dix ans dans le domaine des nouvelles technologies et valorisée au moins un milliard de dollars avant d'être cotée en bourse. Marc Simoncini : fondateur d'Angell, une entreprise dont l'objectif est de révolutionner la mobilité urbaine. Il fait partie des 20 entrepreneurs préférés des Français (selon Forbes en octobre 2021).Anthony Bourbon : fondateur et président de Feed, une entreprise dédiée à la nutrition. Il a déjà investi dans plus de 45 start-ups.Sophie Mechaly : Fondatrice de Paul & Joe, une marque de prêt-à-porter mondialement connue.Jean-Pierre Nadir : Fondateur de FairMoove.fr, le premier site de distribution de voyages dédié au tourisme responsable.Isabelle Weill : Présidente d'IWCorp, une société de services qui travaille au développement de projets dans l'immobilier, la technologie, les cosmétiques et la santé.View thisposton InstagramApostblockquote>Qui veutêtre mon partenaire
?Les projets des candidatsLes candidats
ont des profils différents, hommes et femmes, de tous âges et de toutes classes sociales
.Mais quel est leur point commun ? Ce sont des passionnés qui souhaitent développer une idée, un objet, un service ou un business et créer leur propre entreprise.
Certains des candidats qui participent à l'émission en sont encore au stade théorique et conceptuel et souhaitent concrétiser leur idée. D'autres ont déjà mis leur projet sur les rails et ont pour objectif de développer et d'étendre leur activité de start-up.
Mais que deviennent alors les projets de ces entrepreneurs ? Si l'on se base sur la première saison de l'émission Qui veut être mon associé ?, les investissements promis à l'écran ont été suivis, dans la plupart des cas, par des actes et des collaborations fructueuses. Selon M6, plus de 5 millions d'euros ont été investis personnellement par les sept entrepreneurs du jury dans les projets présentés par les candidats lors de la deuxième saison.
View thisposton InstagramApostblockquote>Les promesses d'investissement sont-ellestoujours tenues ?
En tant que spectateur, on ne sait pas vraiment ce qui se passe une fois qu'un accord est confirmé entre le ou les investisseurs et le candidat. Un accord est conclu devant la caméra, mais les promesses d'investissement sont-elles toujours tenues ou les parties impliquées (investisseurs ou entrepreneurs) peuvent-elles revenir sur leurs engagements ?
En fait, l'accord conclu pendant l'émission n'équivaut pas à un engagement définitif. Chaque partie peut revenir sur sa décision, soit en renégociant les conditions, soit en se retirant complètement.
Après la levée de fonds et afin de vérifier l'authenticité de ce qui a été annoncé lors de l'émission, investisseurs et entrepreneurs se réunissent pour une séance de "due diligence". Selon Eric Larchevêque, l'accord final peut prendre d'autant plus de temps que le deal est important en termes d'argent et de travail. De plus, il arrive que des investisseurs fassent marche arrière après cette réunion, comme Marc Simoncini, qui a transformé un investissement en don, ou Éric Larchevêque, qui a finalement investi dans six projets sur les sept deals réalisés pendant l'émission. Il arrive aussi qu'à l'inverse, les entrepreneurs eux-mêmes se retirent, comme l'entreprise La Vie est Belt.
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