Comme vous le savez, ce n’est pas la première fois qu’on parle de la chaîne Youtube SUB-TIL productions sur Allo Trends, et à chaque fois ça vous captive toujours autant ! En même temps, on vous comprend, les contenus qu’on y trouve sont tout simplement uniques. C’est pour cette raison que l’on vous en parle en ce jour car cette nouvelle vidéo pourrait piquer votre intérêt.
Voici donc aujourd’hui la dernière vidéo de la chaîne youtube SUB-TIL productions. Elle s’appelle Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 4 et comme vous vous en doutez, elle intéresse déjà beaucoup les internautes. Vous pouvez la retrouver juste ici.
Et comme on pouvait s’y attendre, la dernière vidéo de la chaîne Youtube SUB-TIL productions fait un tabac sur les premiers retours qu’on a pu lire ! Elle réussit à intéresser de nombreux internautes, ce qui n’est pas toujours facile au vu de la quantité de contenus qu’on trouve maintenant sur internet ainsi que sur les applications telles que TikTok, Facebook ou Instagram.
Parfois lorsqu’on regarde une vidéo sur internet, on peut avoir des retours à faire au créateur de contenu. Pour lui parler d’un souci ou bien d’une erreur que l’on a découverte par exemple. Première solution pour contacter l’auteur de cette vidéo, c’est sur Youtube que ça se passe : Essayez de trouver son adresse email dans “A propos”. Si vous n’avez pas de réponse, vous pouvez réessayer de le contacter mais sur une autre plateforme. Twitter semble être un moyen assez simple pour interpeller un Youtuber à propos d’un de ses contenus.
On est bientôt à la fin de la news sur la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 4, toute l’équipe Allo Trends espère que vous l’avez trouvé intéressante à lire. Lorsqu'on écrit un article et qu’on voit qu’il fait des vues car il plaît à notre communauté, on a qu’une hâte, c’est de réussir à vous convaincre de revenir nous lire plus souvent ! Alors faites nous plaisir et repassez régulièrement sur Allo Trends pour suivre d’autres vidéos de SUB-TIL productions.
Les amis, c’est déjà la fin de ce petit édito, à bientôt pour un nouvel article sur Allo Trends !
À titre informatif, vous pouvez retrouver ci-dessous la description de la vidéo Jean ROUCH: Cinéma et ethnologie PART 4 publiée par la chaine Youtube SUB-TIL productions :
Admirateur des films de Robert Flaherty, Jean Rouch donne une nouvelle impulsion au cinéma ethnographique en filmant avec une caméra 16 mm des faits sociaux précis. Son Initiation à la danse des possédés (1948) est remarquée dans des festivals, et les films qui vont suivre connaissent souvent une exploitation commerciale. Jean Rouch n'est pas seulement un homme d'étude. Son mérite est de joindre à ses observations anthropologiques un bagage technique et une méthode d'approche de plus en plus personnelle. En effet, il est son propre opérateur, enregistre les événements dans leur continuité - sans couper les très longs plans séquences - et tourne au coeur de l'action, la caméra à la main. Les Maîtres fous (1954), extraordinaire document sur les rites de possession de la secte des Haoukas au Niger, est à cet égard la référence du cinéma selon Jean Rouch. Le film, critiqué pour sa minutie d'entomologiste, déclenche la controverse. Il se justifie par l'emploi d'un ton direct et improvisé, et par un commentaire explicatif visant à la précision et à l'objectivité. Afin de désamorcer les critiques, le cinéaste déploie un regard dans toutes les directions avec La Pyramide humaine (1959), où, au lycée d'Abidjan, les Blancs sont autant observés que les Noirs, et avec Petit à petit (1970), où il soumet les Parisiens au regard d'un Nigérien. Ce faisant, Jean Rouch développe un cinéma plus subjectif, comme en témoigne son entreprise majeure, Chronique d'un été (1960), en collaboration avec Edgar Morin, une enquête sociologique dans le Paris de l'été 1960, et ses essais de " cinéma vérité " aux limites de la fiction comme La Punition (1960) et Gare du Nord (1964, sketch de Paris vu par). Par la suite, l'Afrique demeure son sujet de prédilection, qu'elle soit traditionnelle ou soumise à l'influence néocoloniale. Si son humanisme dénué de toute idéologie emporte toujours la sympathie, Jean Rouch ne retrouve pas le souffle des Maîtres fous.